➢ La chute : il s'agit d'une conclusion courte qui termine l'article en ouvrant sur un autre sujet. Elle peut aussi adopter un ton particulier (interrogation, note d'humour, etc.) ; ➢ La signature du journaliste.
La chute, qui est la dernière phrase de l'article, sert à marquer la fin du texte. Elle prend souvent la forme d'une question, d'une comparaison ou d'une phrase-clé reprise du corps de l'article. À la différence d'une conclusion, elle doit être brève et frappante.
Une chute fait appel à une fin soudaine, parfois brutale, qui doit surprendre le lecteur. L'exigence d'une chute c'est que, comme toute fin, elle doit paraître logique, crédible ; une fois la surprise passée, l'évidence doit s'imposer. Tout lecteur de nouvelle s'attend à une chute.
Les titres : doivent inciter lire ; doivent être concis, accrocheurs, originaux. Les intertitres : doivent ménager un circuit de lecture au lecteur. Le chapeau : doit résumer brièvement l'essentiel de l'article. L'attaque (début de l'article) : doit accrocher l'attention du lecteur, l'inciter à poursuivre.
Le corps de l'article. Le corps de l'article est là où vous faites état des aspects intéressants de votre recherche, après avoir posé le décor et avant d'en résumer les implications.
La brève est un genre journalistique de presse écrite qui consiste, comme son nom l'indique, en un texte très court (7 lignes maximum). Elle livre en trois ou quatre phrases une information très concise, sans titre. La brève doit répondre à la règle des cinq w et à la question « comment ? ».
Il existe différents types d'articles : > La brève ou le filet : Texte court (10 lignes maximum) qui livre en 3 ou 4 phrases une dépêche d'agence. > Le compte rendu : rapportant un débat, un évènement, une manifestation sportive, culturelle... > Le reportage: récit journalistique qui privilégie le témoignage direct. >
Il doit commencer par une attaque et finir par une chute. L'attaque peut être une citation, une énumération, une anecdote, un chiffre clé… qui contextualise et lance le sujet. La chute est la dernière phrase de l'article. Celle-ci doit marquer les esprits et conclure l'article par une ouverture.
Une chute est définie comme étant un événement à l'issue duquel un individu se trouve par inadvertance sur le sol ou sur toute autre surface située à un niveau inférieur de celui d'origine. Bien que majoritairement bénins, les traumatismes liés aux chutes peuvent parfois être graves voire mortels.
Quelle est l'orthographe du mot chute ? Avec ou sans accent circonflexe sur le u ? Ce mot s'écrit sans accent circonflexe : chute .
La chute. La chute est la dernière phrase de la nouvelle, tout le récit etnd vers elle. Souvent brutale, et inattendue, la chute vise à produire le plus grand effet sur le lecteur: surprise, indignation, sourire.... Elle peut aussi donner à réfléchir.
1. Action de tomber, de perdre l'équilibre, d'être entraîné vers le sol : Faire une chute. 2. Action de se détacher de son support naturel : Chute des feuilles.
On entend par chute un événement à l'issue duquel une personne se retrouve, par inadvertance, sur le sol ou toute autre surface située à un niveau inférieur à celui où elle se trouvait précédemment. Les traumatismes dus aux chutes peuvent être mortels (1), même si, le plus souvent, ce n'est pas le cas.
Il existe trois types de chutes : la chute lourde, la chute molle et la chute syncopale. Dans le cas de la chute lourde, celle-ci survient suite à la perte d'équilibre et s'associe à un choc rapide contre le sol.
QUI – QUOI – OÙ – QUAND – POURQUOI – COMMENT, qui constituent la règle d'or de tout article. intertitres (mise en valeur d'une idée, reliée à un sujet) et une chute : conclusion, interrogation ou note d'humour. Le plan de l'article peut être chronologique ou explicatif (causes, conséquences).
La structure type d'un article
Les paragraphes. La conclusion.
L'introduction comporte une accroche indiquant le thème que vous allez évoquer, l'article que vous allez commenter (vous pouvez tout à fait le citer s'il n'est pas trop long), le contexte de l'article, sa date, son auteur, la raison de sa création, la question à laquelle il répond, puis l'annonce du plan (I) et (II).