Le principe de prudence s'applique aux enregistrements comptables réalisés par une entreprise. Ce principe, en comptabilité consiste à anticiper toute perte probable, dès que cette perte est envisagée, et ne pas tenir compte des profits, même s'ils sont probables, avant qu'ils ne soient actualisés.
Le principe de régularité assure l'application des règles et procédures comptables, tandis que la sincérité repose sur la bonne foi des acteurs en ne dissimulant aucune information essentielle.
Le coût historique est une notion de comptabilité qui sert à établir le bilan comptable. C'est la valeur qu'a un bien ou un actif quand une entreprise l'acquiert. Sa particularité, due au principe du coût historique, est qu'il n'évolue pas au fil du temps. Il n'est donc jamais calculé à sa juste valeur.
Nous en donnons alors la définition suivante : la convention comptable est un ensemble de procédures préétablies, permettant aux agents de résoudre des problèmes de représentation comptable, en guidant leurs comportements dans un espace normé.
Pour tenir sa comptabilité et produire ses comptes, l'entreprise doit obligatoirement appliquer plusieurs principes comptables : principe de prudence, principe de continuité d'exploitation, principe d'indépendance des exercices, principe d'intangibilité du bilan d'ouverture…
(1) La convention de l'entité ; (2) La convention de l'unité monétaire ; (3) La convention de l'indépendance ou séparation des exercices ; (4) La convention du coût historique ; (5) La convention de réalisation du revenu ; (6) La convention de rattachement des charges aux produits ; (7) La convention de l'objectivité ; ...
4- Le principe de prudence
C'est LE PRINCIPE COMPTABLE le plus important en comptabilité. C'est un principe comptable qui incite à ne pas transférer des incertitudes (des pertes probables ou certaines) sur un exercice comptable futur.
Le principe de non-compensation est un principe comptable en vigueur pour la comptabilité des entreprises en France. Il interdit aux entreprises de réaliser des compensations financières entre les postes de charges et ceux de produits, de même qu'entre les postes d'actif et ceux de passif.
Les quatre états financiers principaux sont le bilan, le compte de résultats, l'état des flux de trésorerie, et l'état des bénéfices non répartis. Généralement, ceux-ci offrent des informations sur la dernière période et la période antérieure, afin d'avoir une base de comparaison.
Les conventions comptables sont destinées à guider le préparateur des comptes dans l'évaluation et la présentation des éléments devant figurer dans les états financiers. Elles ont un caractère de généralité moins grand que les postulats comptables et peuvent varier d'un pays ou d'un espace géographique à un autre.
La notion de partie double implique que chaque écriture dans un compte doit trouver une contrepartie « symétrique » dans un autre compte ; Ainsi, tout montant porté en comptabilité sera transcrit deux fois : une fois au débit d'un compte, et une seconde fois au crédit d'un autre compte.
L'amortissement est un terme comptable qui définit la perte de valeur d'un bien immobilisé de l'entreprise, du fait de l'usure du temps ou de l'obsolescence.
Selon le principe de l'intangibilité du bilan d'ouverture, ses écritures doivent reprendre le bilan de clôture N-1. Cela signifie que les deux bilans doivent concorder et ne présenter aucune différence.
La convention de l'importance significative guidera le préparateur des états financiers dans les travaux de regroupement des comptes au bilan, à l'état de résultat et à l'état de flux de trésorerie. Elle guidera aussi le choix des notes à présenter.
Pour les noms non-comptables on utilise le plus souvent un article défini (le, la, les) ou un article partitif (du, de la, des). Ces noms restent le plus souvent au singulier. Exemples : du verre, de l'amour, de la joie, du raisin, du liège, du béton, etc.
Il peut trouver des exceptions, notamment pour l'annulation d'une créance avec une dette lorsque les créances sont réciproques, qu'elles visent la même espèce, qu'elles soient liquides et exigibles et qu'aucune mesure d'interdiction de compensation ne pèse sur les entreprises concernées (procédure collective, décision ...
En France, il existe 10 principes fondamentaux en matière de comptabilité. Ils ont été définis par le Code de commerce, et c'est sur ceux-ci que repose la profession de tous les comptables.
Il assure le suivi des débiteurs et des créditeurs. Le comptable s'occupe également des rapports et des déclarations d'impôts. Le contrôle est également une mission comptable. Le professionnel se charge de l'administration et de la gestion financière de la structure où il travaille.