L'épuisement émotionnel est un état de surcharge face à l'effort. On ne parle pas uniquement d'excès professionnels, mais aussi de la charge d'assumer des conflits, des responsabilités ou des stimuli de type émotionnels ou cognitifs. L'épuisement émotionnel n'arrive pas du jour au lendemain.
Grâce à toutes ces données le cerveau se préoccupe de nous tenir ou plutôt de maintenir notre équilibre vital et crée de la fatigue qui selon Timothy Noakes devient une émotion plutôt qu'un événement physique.
Si vous sentez que vous êtes épuisé psychologiquement, c'est probablement que cela fait un long moment que vous assumez trop de tâches et que le vase est sur le point de déborder. Si vous le pouvez, commencez par vous délester de tâches quotidiennes pour vous gagner de la place dans votre emploi du temps.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Pour vous libérer de toute cette fatigue mentale, commencez par vous éloigner des environnements bruyants au profit du calme et de la sérénité. Télévision, appareils électroménagers… Tenez-les à distance quelque temps et profitez-en pour vous essayer à des activités plus zen comme le yoga ou la méditation.
L'insomnie et le manque de sommeil sont liés à des difficultés d'endormissement, et à des réveils nocturnes répétés, causés par le stress, les pensées négatives, l'anxiété et la souffrance mentale. Il arrive aussi qu'un état dépressif génère un besoin excessif de sommeil (hypersomnie).
«Blocage émotionnel» est un terme couramment utilisé dans l'espace du développement personnel, mais que signifie-t-il réellement ? L'expression peut être définie comme des blessures émotionnelles refoulées ou non cicatrisées subies par des expériences de vie antérieures.
Les personnes qui souffrent de fatigue nerveuse présentent une grosse fatigue physique, des troubles du sommeil, des troubles de la concentration et une hyperémotivité. “Elle survient quand nous n'avons pas écouté et nourri nos propres besoins sur le long terme.
D'abord il s'agit de prendre conscience de son état émotionnel, de le ressentir et de l'accepter. Ce travail de conscience de soi et d'écoute de l'intérieur est la première étape nécessaire à l'identification de ses besoins non satisfaits et à la démarche de changement.
Somatiser désigne un phénomène inconscient par lequel une personne exprime son angoisse dans et par son corps. Sa souffrance psychologique « déménage » dans son corps qui devient alors source de douleur.
Une détente émotionnelle
Installez-vous confortablement en fermant les yeux. Baissez la tête en direction de votre poitrine. Ressentez la zone de votre corps allant de la gorge jusqu'à votre bas-ventre, c'est ici que sont enfermées vos tensions émotionnelles quand vous en avez.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.
La colère (Nu) est associée au Foie. La joie (Xi) est associée au Coeur. La tristesse (You) est associée au Poumon. Les soucis (Si) sont associés à la Rate/Pancréas.
Les symptômes de la dépression saisonnière apparaissent tout particulièrement vers la fin de l'automne et persistent jusqu'à l'arrivée du printemps, et ce, à chaque année. Le diagnostic se pose lorsque vous souffrez de ces maux depuis au moins deux années consécutives.
Pourquoi on a envie de rien ? Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet. Ils doivent également être arrêtés de manière progressive.
Le système immunitaire s'affaiblit, le système nerveux flanche, une fatigue musculaire apparaît…et la fatigue s'installe. Ou plutôt l'épuisement. Car c'est bien de cela qu'il s'agit.
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.