La maltraitance affective inclut : Les réprimandes sévères en criant ou en hurlant. La dévalorisation des capacités et des accomplissements de l'enfant. L'encouragement de comportements déviants ou délictueux, tels que commettre des infractions ou consommer de l'alcool ou de la drogue.
Quatre types de maltraitance sont généralement répertoriés: maltraitance physique, maltraitance sexuelle, maltraitance émotionnelle (maltraitance psychologique) et manque de soins.
On parle de violence psychologique lorsque la violence n'atteint pas directement le corps, mais l'intégrité mentale/morale de la victime : harcèlements moraux, insultes, humiliations, menaces, intimidations, comportement autoritaire ou paranoïaque de la part de l'agresseur…
Symptômes physiques et psychosomatiques :
– Hématome, Griffures, Brulures, Morsures, Fractures – Maux de ventre, vomissement – Fatigue – Maux de tête – Eruptions cutanées – Plaies, Lésions Des changements comportementaux et émotionnels peuvent questionner par rapport à l'âge chronologique ou développemental.
La maltraitance infantile peut débuter très tôt, avant même la naissance de l'enfant. "Il y a des femmes qui, enceintes, se font du mal en buvant de l'alcool, fumant, consommant des drogues et par conséquent en font à l'enfant.
Violence verbale.
La plus fréquente, elle est étroitement liée à la violence psychologique. L'auteur·e utilise sa voix comme une arme, soit par les propos tenus, soit par le ton utilisé.
Plusieurs signaux peuvent indiquer qu'une personne est victime de maltraitance même si la liste n'est pas exhaustive… La personne : Apparaît effrayée, méfiante ; Présente des symptômes de dépression, insomnie, perte d'appétit, perte d'intérêt, pleurs…
La maltraitance peut prendre plusieurs formes :
Les violences physiques ( coups, blessures, bousculades,...) Les violences morales et psychologiques (injures, exclusion,...) Les violences médicamenteuses (abus ou privations de médicaments...) Les violences actives ( privation de liberté ou de soins...)
L'adulte soumis à la maltraitances infantile sera davantage exposé à des troubles psycho comportementaux, car le stress généré par la maltraitance aura des répercussions sur : La santé : pathologies cardiovasculaires, cancer, suicide, … L'humeur : dépression, tristesse, anxiété…
L'abus émotionnel est un comportement psychologiquement destructeur de la part d'une personne en position de pouvoir, d'autorité ou de confiance, qui comprend une attaque continue sur l'estime de soi d'une personne.
Les violences au sein du couple sont un ensemble d'actes, de propos et comportements par lequel votre partenaire ou ex-partenaire veut vous contrôler, vous dominer et vous détruire. Ces violences sont interdites et punies par la loi.
Le harcèlement moral dans le couple peut prendre différentes formes. Il peut s'agir notamment d'une attitude méprisante constante, se manifestant par des injures, moqueries répétées sur l'apparence physique du conjoint ou son soi-disant manque d'intelligence, par des yeux levés au ciel quand il parle, des soupirs, etc.
Faible estime de soi
Leur enfance a marqué le cours de son développement émotionnel. Par conséquent, le profil psychologique d'un maltraitant met en évidence un manque important d'estime de soi. Ce manque de respect et d'amour envers soi-même peut être la cause ou la conséquence de mauvais traitements.
Les victimes sont principalement des personnes âgées (83 %), en particulier de plus de 80 ans et des femmes (67 %). Les signalements concernant les maltraitances envers les adultes en situation de handicap sont limités (17 % des situations signalées).
Le premier niveau, c'est lorsque la mère n'est pas disponible psychiquement pour son petit. Elle a du mal à se projeter en tant que maman. Elle n'est pas maltraitante, mais elle n'est pas maman, elle est juste mère. Souvent cela s'explique par le fait que cette femme souffre, suite à un vécu compliqué.
Il dénote d'un manque d'intelligence émotionnelle, et il peut aussi entraîner de graves conséquences sur l'autre personne. Cela revient à des tentatives de contrôle et d'humiliation de l'autre. Dans tous les cas, cela n'a rien de positif dans une relation. Ignorer quelqu'un, c'est le mépriser et même l'annuler.
Elle peut être le fait de membres de la famille, du voisinage ou de professionnels mais aussi de dysfonctionnements organisationnels ou managériaux survenant au sein de l'établissement ou du service. La maltraitance peut être le fait de violences ou de négligences et n'est pas nécessairement volontaire.
Un enfant maltraité est un enfant victime de négligences graves, de mauvais traitements, d'exploitation ou de violences sexuelles, de la part de ses parents ou des personnes qui en ont la charge. la maltraitance physique, qui porte atteinte au corps comme des coups, des brûlures, des fractures etc.…
Facteurs de risque
Les caractéristiques individuelles qui augmentent le risque de commettre un acte de maltraitance comprennent la maladie mentale, l'usage de substances psychoactives ainsi que la dépendance (souvent financière) de l'auteur des actes de maltraitance à l'égard de la victime.
Le harcèlement moral est difficile à prouver, cependant de nouveaux modes de preuves sont admis. Par exemple : échanges de SMS, mails, messages laissés sur le répondeur, etc. Vous pouvez porter plainte ou saisir le JAF afin de demander une ordonnance de protection afin de vous protéger de votre conjoint violent.
Quand un mot blesse, il y a violence. On ressent un coup au cœur, pouvant engendrer un mal-être plus ou moins profond, plus ou moins intense. La douleur vient du fait que les mots nous touchent dans notre intimité et notre intégrité. C'est notre être tout entier qui est touché en plein cœur par ces mots.
User de cruauté mentale : bouderie, indifférence, silence, exigence excessive par rapport aux tâches, prendre des décisions pour l'autre, etc. ; Faire croire à une personne qu'elle est stupide, bonne à rien, etc.
Il y a aussi un aspect physique des lésions cérébrales impliquées. Lorsqu'elles subissent un abus émotionnel constant, les victimes subissent un rétrécissement de l'hippocampe et un gonflement de l'amygdale, ces deux circonstances conduisent à des effets dévastateurs.