Dans sa forme la plus ramassée, prendre refuge consiste simplement à réciter à haute voix : « Je prends refuge dans le bouddha, je prends refuge dans le
Les Trois Refuges (sanskrit : त्रिशरणा, IAST : triśaraṇā (« trois refuges ou abris, protections ou points d'appui») ; Pali : saranam gacchami) sont les Trois joyaux au cœur de la pratique bouddhiste, en lesquels les bouddhistes cherchent refuge pour échapper aux souffrances du samsâra.
Dans le bouddhisme, ces joyaux sont le Bouddha historique Shakyamuni, le Dharma (l'ensemble des enseignements du Bouddha et des bodhisattvas et des patriarches), et le Sangha composé des quatre catégories d'êtres nobles et des laïcs (upasika).
Le bouddhisme est ouvert à tous, sans distinction de sexe, de classe ou de nationalité. Le bouddhisme séduit en tant que religion certes, mais aussi en tant que philosophie et art de vivre. Pour devenir bouddhiste, nul besoin de s'adonner à l'étude du sanscrit ou de faire de multiples voyages en Asie.
Par exemple, tourner le dos à une statue de Bouddha, c'est considéré comme étant particulièrement irrespectueux. En conséquence : pas de selfie devant l'Éveillé, ni même de photo de vous tout sourire devant la statue prise par votre ami, sinon il peut y avoir sanction.
On ne pose jamais pour une photo devant une statue ou une peinture du Bouddha. Lui tourner le dos est est en effet considéré comme un manque de respect.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
Le bouddhisme est, avec le jaïnisme, la seule religion traditionnelle non théiste. Le bouddhisme considère que tous les êtres sensibles deviendront inévitablement un jour un bouddha[1] à l'égal de tous les bouddhas passés, présents et futurs. Or un bouddha n'est pas (un) Dieu. Selon le bouddhisme, Dieu n'existe pas.
Le monachisme bouddhiste regroupe des moines (bhikkhu), littéralement et des nonnes (bhikkhuni) qui appartiennent au sangha, la communauté monastique bouddhique. Du vivant du Bouddha déjà, cette communauté s'est établie dans des monastères.
Lorsque vous placez une statue de Bouddha Amitabha ou toute autre statue de déité dans votre maison, assurez-vous de choisir un emplacement vraiment dédié à un lieu de révérence. Cela signifie que vous ne devriez jamais placer un bouddha dans une chambre, une salle de bain ou une cuisine.
évitez de mettre la statue dans les pièces d'eau : salle de bain, w.c qui sont des lieux de nudité. évitez également les chambres à coucher, lieu de nudité. Selon la culture bouddhique et chinoise, dormir avec avec une statue telle qu'elle soit, tournée vers le lit est synonyme de malchance.
Il est aussi possible d'avoir une statue de bouddha chez soi pour symboliser la prospérité, la richesse, la plénitude ainsi que la sagesse. Par ailleurs, avoir une statue de bouddha chez soi peut être aussi lié à une pratique spirituelle, à une communion avec l'illuminé, à partir de la méditation.
Pourquoi placer une statue de Bouddha dans votre jardin ? Avoir une représentation de Bouddha sous forme de statues, dans votre jardin, lui apportera une touche élégante et relaxante et le remplira d'ondes positives.
- Le Bouddha rieur, possède lui une image tout autre, il est plutôt associé au bonheur et à l'abondance. Le terme porte-bonheur lui sied donc particulièrement bien! c'est un bouddha que l'on offre pour attirer la bonne fortune. Si vous avez besoin de chance, Budaï pourrait bien être votre allié!
Dans le bouddhisme oriental et en Asie orientale, les grandes oreilles sont considérées comme de bons augures, car elles sont synonymes de sagesse et de compassion. C'est peut-être l'une des raisons pour lesquelles le Bouddha est représenté avec de longues oreilles, car il est l'illuminé, le compatissant.
Extinction de tous les désirs de ce monde, qui libère l'homme de sa condition de souffrance, de l'illusion (maya) et de l'ignorance (avidya). [Le nirvana est fondamental dans le bouddhisme, qui l'emploie pour décrire la bodhi, état d'extinction de tout désir, cause fondamentale de la naissance et de la renaissance.]
On y trouve des légumes racine, des herbes, plantes et champignons sauvages à profusion. Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir.
Le Dharma est la voie enseignée par le Bouddha. Il se manifeste sous deux formes : les enseignements consignés par écrit et la réalisation de grands maîtres grâce à leur pratique. Le Bouddha à travers son enseignement nous indique le chemin de la libération de toute forme de souffrance.
Le premier d'entre eux est de s'abstenir de mentir, ou plutôt, doit-on dire, de tromper. Le bouddha historique lui-même pouvait donner des réponses différentes en fonction de l'interlocuteur auquel il s'adressait.
La roue dharmachakra est le symbole le plus connu du bouddhisme où elle représente, comme dans le jaïnisme, l'enseignement de la doctrine et l'union de toutes choses. Elle peut apparaître comme motif dans l'empreinte de pied Bouddha.
Le bouddhisme a lui aussi ses dieux. Pourtant, contrairement à l'hindouisme, les bouddhistes ne vénèrent pas ces dieux. L'idée même d'un Dieu créateur est obsolète. Dieu n'est qu'en fait l'ensemble du monde, il n'est en rien créateur ou protecteur des hommes, il représente le tout et le rien, l'universel.
Quelles que soient les religions, les statues à l'effigie des divinités sont souvent réputées pour porter bonheur. Le bouddhisme ne déroge pas à cette règle. Pour les pratiquants de cette religion et de cette philosophie de vie, il est évident qu'une statue Bouddha délivre des ondes positives et apporte de la chance.