Le code du Bushido est le code de conduite des samouraïs. C'est un ensemble de règles morales que les samouraïs s'efforçaient de suivre durant toute leur vie mais aussi leur mort, car la mort avait autant d'importance pour eux que la vie.
Les principes du bushido mettaient l'accent sur l'honneur, le courage, l'habileté dans les arts martiaux et la loyauté envers le maître du guerrier (daimyo) par-dessus tout. Il est quelque peu similaire aux idées de chevalerie que les chevaliers suivaient dans l'Europe féodale.
Rappelle-toi la devise du samouraï : L'honneur ou le déshonneur ne sont pas dans l'épée, mais dans la main qui l'empoigne.
Les valeurs des guerriers
On retrouve de manière exacerbée chez les samouraïs un certain nombre de valeurs : la loyauté, la fidélité, le courage physique, une forme de frugalité voire d'abnégation. Mais au-dessus de tout il y a le respect et en particulier le respect de l'honneur…
La voie du guerrier est indissociable de la vie du samouraï. Ce dernier doit se conduire selon un code nommé Bushido. Ce code d'honneur repose sur sept vertus essentielles : honnêteté, courage, bonté, respect, sincérité, honneur et loyauté.
L'influence du Bushidō
Musashi Miyamoto (1584-1645), devenu une figure emblématique du folklore japonais.
L'esprit qui animait le commandant Hirose représente exactement l'esprit Bushido de notre armée et de notre marine. « Tous nos hommes devant l'ennemi, nous en sommes sûrs, au cas d'une défaite, seraient unanimes dans leur refus d'accepter la liberté sous de telles conditions.
Les Samouraï n'ont pas disparu au cours du XIXe siècle en même temps que l'ère Edo. Ils existent toujours ! Et ils sont beaucoup plus présents qu'on ne le croît dans les Arts Martiaux, comme dans la vie quotidienne. Ils continuent de régir la pratique, voire même de reprendre la main sur celle-ci.
À partir du Xe siècle, le samouraï était un cultivateur ou un artisan qui servait un seigneur pendant la guerre (qui était très fréquente à l'époque entre les différents clans qui se partageaient le Japon). Pour ses services il recevait un salaire en riz. Déjà, il portait les deux sabres.
Kurusan Yasuke (son nom d'origine demeure incertain) aurait été un guerrier originaire de l'ethnie Makua du Mozambique. tip! Enlevé par des trafiquants d'esclaves à la fin du 16eme siècle, il est vendu à des négriers portugais qui vont l'emmener jusqu'en Inde, à Goa, alors colonie portugaise.
Les samourais jouèrent un rôle déterminant dans les luttes de pouvoir qui déchirèrent le Japon féodal. Régie par un code éthique très strict, entièrement vouée à leur maître, leur vie était réputée ne tenir qu'à un fil, à l'image de la fleur de cerisier qui devint leur emblème.
Sun Tzu est sans conteste le guerrier chinois le plus célèbre de l'histoire. Sun Tzu était général sous le roi He Lu de l'État de Wu. À la tête de l'armée Wu composée de 30 000 soldats, Sun a vaincu l'État de Chu qui comptait 200 000 soldats !
Pour être en mesure de vous battre comme un samouraï, vous devez commencer par atteindre les bases de la force et de l'endurance. Le samouraï ne peut pas se battre pour défendre ceux qu'il aime s'il est trop faible ou en mauvaise forme pour offrir de la résistance.
C'est à l'origine une méthode d'utilisation de cheveux pour tenir un casque de samouraï stable au sommet de la tête dans la bataille, puis elle devient un symbole de statut dans la société japonaise.
Ninja (忍者) est un terme japonais moderne ( XX e siècle) servant à désigner une certaine catégorie d'espions ou de mercenaires, actifs jusqu'à la période d'Edo ( XVII e siècle), traditionnellement appelés shinobi (忍び, littéralement « se faufiler »).
Définition. Les samouraïs étaient une classe de guerriers apparue au 10e siècle au Japon qui fit partie de la force militaire jusqu'au 19e siècle. Soldats d'élite hautement entraînés, capables de manier l'arc et le sabre, les samouraïs étaient une composante essentielle des armées japonaises à l'époque médiévale.
Dans le Japon moderne de l'ère Meiji, alors que la caste des samouraïs vit ses dernières heures, le plus respecté d'entre eux se soulève en 1877, dans une rébellion désespérée.
Le 22 février 1877, jour qui marque la fin des samouraïs, ces guerriers japonais aux armures magnifiques et au sens de l'honneur implacable.
Japon : Kawagoe, le village de samouraïs.
Le samouraï est un job introduit dans la seconde extension de Final Fantasy XIV, intitulée Final Fantasy XIV: Stormblood. Elle débute au niveau 50 et peut être débloquer dans la cité d'Ul'dah. Par-delà les mers, aux confins orientaux des terres connues, se trouve le pays insulaire de Hingashi.
Shangdi. Shangdi était le dieu suprême de la loi, de l'ordre, de la justice et de la création. Il est également connu comme Empereur de Jade, Empereur Jaune, ou Yu Huang Shang-Ti, bien qu'il y ait parfois des distinctions importantes faites entre ces noms et Empereur de Jade peut signifier une autre divinité.
Univers. Contrairement à la mythologie chinoise antique, on ne trouve dans la religion d'aujourd'hui aucun dieu créateur. Les personnages des mythes anciens ne sont d'ailleurs plus que de lointaines figures légendaires, rares étant celles qui disposent encore de temples (Shennong, Xiwangmu, occasionnellement Nuwa).
Cao Cao ordonne la mise à mort par strangulation tandis que Lü Bu maudit Liu Bei pour son ingratitude. Tandis qu'il est traîné vers l'échafaud, son général, Zhang Liao, lui reproche de ne pas accepter sa mort stoïquement. Après son exécution, sa famille est envoyée à la capitale.
Entre le XIIe et le XVIe siècle, le Japon ressemble étrangement à notre Moyen Age occidental : des guerriers, les samouraïs, servant leur seigneur et exerçant leur pouvoir sur les paysans, des fiefs, des châteaux...
Le samouraï disposait de toute une panoplie d'armes blanches, dont le célèbre katana (long sabre qu'il était le seul à pouvoir porter), mais aussi le wakizashi, un petit sabre qui ne quittait jamais le guerrier, sans oublier le tanto, un poignard notamment utilisé pour la cérémonie du seppuku.