Le certificat de rétablissement correspond à un test PCR ou antigénique positif au Covid qui prouve que l'on a été infecté par le virus. Le risque de contagiosité de ces personnes étant moindre, elles peuvent utiliser ce certificat comme pass sanitaire.
Le certificat de rétablissement est l'une des preuves qui permet d'avoir un « pass vaccinal » valide. Il prouve que vous avez été testé positif au Covid-19 : c'est le résultat positif de ce test RT-PCR ou antigénique.
Ainsi, les personnes qui ont été testées positives au Covid-19 plus de trois mois après leur schéma vaccinal initial complet peuvent utiliser leur certificat de rétablissement dans le cadre du « pass vaccinal ».
Les résultats Le résultat d'un test antigénique positif réalisé par un professionnel de santé est un justificatif de prise en charge pour les tests RT-PCR de confirmation. Ceci est également valable pour les autotests positifs réalisés sous la supervision d'un professionnel de santé.
Comment interpréter le résultat de l'autotest ?
Le résultat est positif si deux bandes colorées apparaissent au niveau des zones C et T.
Le résultat est négatif si une bande colorée apparaît uniquement dans la zone de contrôle C.
Si la ligne de contrôle C n'apparaît pas, le résultat est invalide.
Le délai d’incubation (période entre la contamination et l’apparition des premiers symptômes, s'ils apparaissent) de la Covid-19 est de 3 à 5 jours en général, mais peut s’étendre jusqu’à 14 jours.
On considère qu'une personne a de la fièvre lorsque sa température est supérieure à 38°C le matin ou 38,3°C le soir (pour les enfants, cliquez ici).
Les différents tests. Actuellement, il existe deux catégories de tests : les tests de dépistage, pour rechercher la présence du virus (RT-PCR, test antigénique, autotest) ; les tests sérologiques, pour rechercher la présence d'anticorps.
Les différents tests
À noter que le test de référence pour détecter le virus du Covid-19 est le test PCR sur prélèvement nasopharyngé. > La liste des tests autorisés en France est disponible sur le site du ministère des solidarités et de la santé : https://covid-19.sante.gouv.fr/tests.
Le certificat de rétablissement est l'une des preuves qui permet d'avoir un « pass sanitaire » valide. Il prouve que vous avez été testé positif au Covid-19 : c'est le résultat positif de ce test RT-PCR ou antigénique. Ce résultat doit dater de plus de 11 jours et de moins de 6 mois.
Si le test est positif ou si la personne ne réalise pas de test, son isolement est maintenu à 10 jours. Le respect des gestes barrières (port du masque et mesures d'hygiène) est à respecter les 7 jours suivant la sortie d'isolement du cas positif.
Si vous présentez des symptômes post-Covid persistants, il vous faut :
En l’état actuel des connaissances, selon le Haut Conseil de la Santé Publique, les malades guéris peuvent à nouveau rentrer en contact avec d’autres personnes après la levée de l’isolement strict.
Dans le cas d’une infection au COVID-19, le paracétamol est recommandé. Si vous êtes déjà sous anti-inflammatoires ou en cas de doute, demandez conseil à votre médecin ou consultez le site https://www.covid19-medicaments.com.
Le « pass sanitaire » sera obligatoire pour les mineurs âgés de 12 à 17 ans à compter du 30 septembre.
les tests sérologiques quantitatifs réalisés dans un laboratoire de biologie médicale, sur prélèvement sanguin (prise de sang) ; les tests rapides d'orientation diagnostique sérologique qualitatifs, réalisés par un professionnel de santé, sur prélèvement d'une goutte de sang au bout du doigt.
On les regroupe habituellement en plusieurs « rubriques » : neurologiques, fatigue, troubles cardiaques respiratoires, douleurs musculaires ou articulaires, atteinte du gout de l'odorat, du système digestif, troubles cutanés…
Les personnes contacts à risque, quel que soit leur statut vaccinal, ne doivent plus s'isoler. Elles doivent réaliser un test (TAG, RT-PCR ou autotest) à J+2 de la notification du statut de contact, et appliquer de manière stricte les mesures barrière dont le port du masque.
Les symptômes secondaires à des allergies respiratoires peuvent selon les situations ressembler à la Covid-19, notamment la toux et les difficultés respiratoires lors des crises d'asthme. Cependant, on ne trouve ni fièvre, ni courbatures dans les allergies.
De manière générale, l'auto-médication par anti-inflammatoires doit être proscrite : il semblerait que les anti-inflammatoires non stéroïdiens puissent être un facteur d'aggravation de l'infection.
Dans le cas d'une infection au COVID-19, le paracétamol est recommandé.
➜ Dans le cas d'une infection au COVID-19, le paracétamol est recommandé. Si vous êtes déjà sous anti-inflammatoires ou en cas de doute, demandez conseil à votre médecin ou consultez le site https://www.covid19-medicaments.com.
Prendre sa température corporelle permet de déceler l'apparition de la fièvre. On considère qu'une personne a de la fièvre lorsque sa température est supérieure à 38°C le matin ou 38,3°C le soir (pour les enfants, cliquez ici). En général la fièvre n'est pas en elle-même dangereuse.
Les symptômes d’une grippe pandémique sont similaires à ceux de la grippe saisonnière : fièvre élevée (> à 38°C), courbatures, fatigue, toux et gêne respiratoire. La durée d’incubation peut aller jusqu’à sept jours et une personne grippée est contagieuse dès les premiers symptômes et pendant environ sept jours.
« Quand on a eu un Covid-19, quelle que soit sa gravité, hospitalisation ou non, on est à risque de développer, jusqu'à six mois après l'infection, des pathologies mentales comme des dépressions, des troubles anxieux ou des troubles du sommeil, et également des difficultés cognitives. »