En Formule 1, l'aspiration est aussi utilisée. Depuis la saison 2011, un système appelé Drag Reduction System (DRS) est autorisé pour faciliter les dépassements. Utilisé en ligne droite, le DRS consiste à diminuer la traînée par l'ouverture d'une partie de l'aileron arrière.
Par rapport à la voiture en mouvement, le sol se déplace vers l'arrière, ce qui tire l'air vers l'arrière, l'accélérant et augmentant ainsi la différence de pression, donc l'effet de succion.
En effet, il avait été interdit en raison du danger qu'il provoquait en cas de perte d'adhérence, la F1 ayant connu plusieurs accidents dramatiques liés à ce phénomène, et aux violents décrochages qu'il amenait lorsqu'une F1 perdait son grip.
Lightyear présente la version de série de sa 0, une berline électrique fonctionnant à l'énergie solaire. Avec un Cx de 0,175, elle devient officiellement la voiture la plus aérodynamique du monde.
Mais avec lui est réapparu l'effet dit de «marsouinage». Ce phénomène fait osciller violemment la voiture de haut en bas comme un marsouin à la surface de la mer.
Le DRS, drag reduction system, soit un dispositif mobile permettant de réduire la traînée d'une voiture qui freine sa pénétration dans l'air. Concrètement, l'aileron arrière des monoplaces, qui participe à leur tenue de route dans les virages, a été doté d'une sorte de volet (flap).
L'effet Venturi consiste à accélérer le flux d'air en rétrécissant la largeur du tube ou il passe. Si un flux d'air arrive avec un débit d'1 m/s à l'entrée, quand la largeur du matériau est normale, alors quand la largeur se rétrécit, au milieu, le débit doit être le même, soit 1 m/s.
L'efficacité des rafraîchisseurs d'air est appuyée par leurs nombreux avantages : ils sont économiques, à la fois à l'achat mais aussi à l'usage (moins de 100 W pour rafraîchir 20 à 30 m²) ; ils sont fiables, car le mécanisme de fonctionnement est très basique.
En effet, l'effet Venturi augmente la vitesse au col ce qui crée une très légère augmentation de la perte de charge par frottement sur les parois. Cela réduit le tirage et donc le débit d'air disponible pour le refroidissement.
L'essence que devront utiliser les écuries est, en théorie, le même que celui que consomment les voitures de tous les jours : du bon vieux super sans plomb 95 - E10. Évidemment, les F1 et leurs moteurs d'horlogerie n'utiliseront jamais d'essence de supermarché.
Une monoplace de Formule 1 en virage et en accélération peut générer jusqu'à 6G de force gravitationnelle : une pression qui se répercute en conséquence sur le corps du pilote, un peu comme les Top Guns de l'armée de l'air. Cela suffit pour exiger une préparation physique extraordinaire.
L'enclenchement du DRS est réalisé sur le volant de F1 au moment propice. L'utilisation du DRS est cependant régie par un certain nombre de conditions. Le pilote peut activer le mécanisme de réduction de la traînée lorsque : Il se trouve à moins d'une seconde d'un autre pilote qui le précède dans la ligne de détection.
Ainsi, quand les monoplaces s'affaissent trop, les flux d'air autour d'elles se séparent, la pression baisse et la voiture se rehausse, l'effet de succion reprend et ainsi de suite, jusqu'à ce que le pilote freine. Outre la vitesse, les conditions, comme le vent de face, déclenchent aussi le phénomène.
On le sait, les F1 roulent avec une garde au sol assez basse, pour profiter de l'effet de sol (phénomène qui se traduit par une diminution de la pression atmosphérique de l'air qui se trouve entre la monoplace et le sol).
Ce processus fait rebondir la voiture d'avant en arrière, à la manière d'un marsouin qui successivement plonge dans l'eau puis en émerge, d'où le terme de marsouinage pour expliquer ce phénomène de rebondissement.
Cela dit, s'ils avaient besoin d'uriner pendant une course, ils le feraient tout simplement, ils n'ont pas besoin de la distraction d'une vessie pleine et leur combinaison sera de toute façon saturée de sueur.
La tendance sur les circuits européens est l'hébergement de la majorité des pilotes dans de superbes semi-remorques motorhomes extensibles, garées ci et là autour du circuit.
12 millions de dollars.
C'est la valeur d'une Formule1. Ce qui en fait et de loin la voiture la plus chère au monde. L'essentiel du prix est constitué par le moteur hybride évidemment, un V6 turbo d'1,6 litre, estimé à lui seul à 10 millions de dollars environ.
L'article 28.2 a) du Règlement Sportif de la F1 dispose ainsi que "tout pilote ne peut utiliser plus de 3 moteurs (ICE), 3 MGU-H, 3 turbocompresseurs (TC), 2 batteries (ES), 2 unités de contrôle électronique (CE), 3 MGU-K et 8 de chacun des [...]
1984 : toujours afin de limiter l'efficacité des moteurs turbocompressés, la capacité des réservoirs d'essence est ramenée à 220 litres.
Olimpia Splendid 99429 – le modèle aux multiples fonctions
Ce rafraîchisseur d'air est le rafraîchisseur silencieux par excellence. À puissance maximum, il ne dépasse pas les 40 décibels. De quoi avoir un refroidissement puissant mais silencieux.