Le principe de liberté induit l'existence de la liberté d'opinion, d'expression, de réunion, de culte, de la liberté syndicale ainsi que du droit de grève. Le droit de propriété (art. 17 DDHC) a pour corollaire la liberté de disposer de ses biens et d'entreprendre (art. 4).
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
La liberté est la possibilité de pouvoir agir selon sa propre volonté, dans le cadre d'un système politique ou social, dans la mesure où l'on ne porte pas atteinte aux droits des autres et à la sécurité publique. Les différentes formes de liberté : Liberté naturelle : en vertu du droit naturel.
La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui; elle a pour principe la nature, pour règle la justice, pour sauvegarde la loi; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
L'essentiel. La liberté d'opinion (ou liberté de conscience) assure à toute personne la liberté de penser comme elle l'entend. La liberté d'opinion fait partie des droits fondamentaux consacrés dès 1789 dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen.
L'homme libre est en accord avec lui-même et sait ce qu'il veut, par opposition à l'homme aliéné qui ne sait pas ce qu'il veut et ne se reconnaît pas dans ses actes. Pour Bergson, l'acte libre n'est pas nécessairement celui qui est le plus réfléchi, ou dont les motifs sont les plus rationnels.
La liberté implique donc également une responsabilité : celle de ses actes. Pour cause, elle est limitée par les lois de notre société. Par exemple, si par ma liberté je mets en danger ou je dérange quelqu'un, je peux être poursuivi pénalement.
La liberté vous donne l'occasion de ressembler à ce que vous voulez être. Ou faire ce que vous voulez faire - comme le modèle David. Parfois, vous vous sentez obligé de faire des choses ou d'adopter une apparence que vous n'aimez pas, mais la liberté signifie aussi la liberté de choisir et la liberté de dire non!
Toute personne a droit à la liberté et à la sûreté.
La liberté est la valeur première et le corollaire absolu de l'être humain. Elle a donc, comme lui, un passé, un présent et un avenir, même si, selon les époques et les géographies, elle connaît des sorts divers.
la liberté de pensée, de conscience et de religion.
Pour commencer, on peut définir la liberté comme la possibilité qu'a une personne de penser, de s'exprimer et d'agir selon ses valeurs, ses croyances, ses besoins et ses désirs. La liberté permet, par exemple, à une personne de faire des choix.
Chaque enfant a le droit d'exprimer librement ses opinions sur toutes les questions qui concernent sa vie. Aussi, un enfant ne doit pas être victime de pression de la part d'un adulte, qui chercherait à le contraindre ou à l'influencer dans son opinion et qui l'empêcherait de s'exprimer librement.
En janvier 1941, dans son discours sur l'état de l'Union, le président américain Franklin D. Roosevelt décrit quatre libertés fondamentales dont toute personne dans le monde devrait pouvoir jouir : liberté d'expression, liberté de religion, liberté de vivre à l'abri de la peur, et liberté de vivre à l'abri du besoin.
Le principe de liberté induit l'existence de la liberté d'opinion, d'expression, de réunion, de culte, de la liberté syndicale ainsi que du droit de grève.
L'article 4 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789 dispose : "La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes ...
Possibilité, pouvoir d'agir sans contrainte ; autonomie. Pouvoir d'agir, dans une société organisée, selon sa propre détermination, dans la limite des règles. Pouvoir que la loi reconnaît aux individus dans un domaine. Aspect philosophique : caractère indéterminé de la volonté humaine.
Ces limites sont nécessaires car elles permettent d'assurer le bon fonctionnement de la société. Toutes les libertés sont concernées, y compris par exemple la liberté de conscience. Ainsi, dans le cadre de la démocratie française, chacun est autorisé à croire ou non en un Dieu.
Dans l'histoire de l'humanité, la liberté est souvent apparue à travers plusieurs symboles. Les plus connus sont sans doute la statue de la liberté, les chaînes brisées ou encore, surtout en France, l'arbre de la liberté, le bonnet phrygien ou bien sûr, le tableau d'Eugène Delacroix.
Peut-on considérer que si tous les êtres humains qui m'entourent se trouvaient dans une cage et que moi je me situe en dehors, seul, je suis libre ? La réponse est non. L'être humain est un être social et a donc besoin des autres. Sa liberté individuelle n'a de sens que si elle s'appuie sur une liberté collective.
On peut comprendre la liberté comme la possibilité de faire ce que l'on veut et non ce que veut l'autre de nous. Être libre consiste à agir suivant notre volonté, à agir donc indépendamment de toute pression étrangère, c'est justement là toute la complexité du problème de la liberté.
Ce n'est pas une hypothèse, mais une réalité dont nous faisons sans cesse l'expérience. Si la liberté ne se prouve pas, c'est qu'elle s'éprouve. Elle est même souvent une épreuve, car elle nous rend responsable de nos choix. L'homme fait ainsi l'expérience de la liberté dans le doute.
« La liberté des uns s'arrête où commence celle des autres » variante de l'article IV de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 : « La liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ».
Problématique générale
Au sens courant, la liberté est perçue comme l'absence de contrainte qui accompagnerait « la conscience d'un pouvoir indéterminé et la capacité d'un commencement absolu », qui s'exprime plus vulgairement dans l'expression « de pouvoir faire tout ce que l'on désire ».
Montesquieu : "La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent" Si chacun pouvait désobéir à la loi, plus personne ne serait libre, puisque chacun suivrait sa volonté sans règle commune.