Le travail est une des conditions de la dignité humaine, de la possibilité pour l'homme de conquérir sa liberté. Le capital est seulement le fruit du travail, et il n'aurait jamais pu exister si le travail n'avait tout d'abord existé. Le propre du travail, c'est d'être forcé.
C'est pour cette raison que de nombreux philosophes voient dans la division du travail un facteur de cohésion sociale. On peut citer Platon et Aristote, mais également Adam Smith ou Emmanuel Kant. Tous soulignent que la division du travail favorise l'échange.
“On s'attache souvent moins à la femme qui touche le plus qu'à celle qu'on croit le plus facilement toucher.” “La beauté touche les sens et le beau touche l'âme.” “Nombreux sont opiniâtres en ce qui touche la voie une fois prise, peu en ce qui touche le but.”
Le travail, c'est la vie, et sans lui il n'y a que peur et insécurité.
Le travail, c'est la liberté. La liberté, c'est celle des autres. Le travail, c'est celui des autres.
Au sens économique usuel, le travail est l'activité rémunérée qui permet la production de biens et services. Avec le capital, c'est un facteur de production de l'économie. Il est essentiellement fourni par des employés en échange d'un salaire et contribue à l'activité économique.
La persévérance est le chemin de la réussite .
« Je t'aime et je te suis unie comme l'escargot à sa coquille comme une fleur à la terre comme le coeur à la vie je n'imagine plus ma vie sans toi. Tu es de ma maison le toit, je t'aime...sans limite de durée. »
La réponse tient en quelques mots. On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
Il éloigne l'ennui, le vice et le besoin. Il humanise par le lien social qu'il crée et maintient nos capacités intellectuelles en éveil. Il redresse le perverti, moralise le dévoyé, rend l'homme vertueux. Ceux qui choisissent délibérément de ne pas travailler subissent l'opprobre de leurs contemporains.
Le travail, c'est la vie, et sans lui il n'y a que peur et insécurité. Ce n'est pas le travail qui est la liberté : c'est l'argent qu'il procure, hélas !
1Le travail occupe une place essentielle dans nos sociétés, même par son absence. C'est une des bases de l'économie. C'est la source principale des revenus qui autorise l'accès à la consommation. C'est aussi la voie principale de l'insertion sociale.
Les grands auteurs, Zola, Balzac, Hugo, nous ont beaucoup parlé du travail. Prenons l'Assommoir : Zola y décrit à la fois le peuple, les habitudes des ouvriers, les postes de travail. Il va même beaucoup plus loin, en s'emparant aussi des événements post-traumatiques.
En philosophie, c'est le travail comme activité qui intéresse. Pour les philosophes, le travail est d'abord ce par quoi l'être humain transforme ce qui l'entoure pour satisfaire ses besoins (sens 1). La notion s'écarte donc très vite du sens courant. Travailler, c'est agir sur le réel pour le modifier.
La citation la plus belle sur « vie » est : « La vie est un mystère qu'il faut vivre, et non un problème à résoudre. » (Gandhi).
De même un homme peut dire « je t'aime » pendant les rapports sexuels sans le penser ou y avoir sincèrement réfléchi. Pour construire une base solide dans une relation, le temps est essentiel. En effet, il permet de découvrir et de connaître réellement l'autre.
La complicité et le langage corporel
Il s'agit de la complicité, cette relation unique et spéciale qui est plus forte que l'amour. Aimer une personne, ce n'est pas simplement l'aimer.
Platon indique qu'un même individu dans la société ne peut pas produire tous les biens susceptibles de satisfaire tous ses besoins. Il faut donc repartir le travail global afin que chacun puisse remplir une tache bien déterminée. À chaque travail doit donc correspondre la satisfaction du besoin.
Aristote n'assimile pas le travail à la poësis, ni à la praxis, il le considère comme faisant partie des deux catégories, car le travail a une action modificatrice à la fois sur le réel et sur la nature humaine. Aristote préfère à l'idée du travail et à la nécessité l'idée de loisir et de liberté.
Il est essentiel que le lecteur soit en mesure d'établir le lien entre la problématique et les résultats obtenus. La conclusion est à la fois un résumé des grandes lignes et des phases essentielles de la recherche et un bilan des principaux points traités (une synthèse des résultats obtenus).