La peur. Certains enfants ne veulent plus aller à l'école parce qu'ils ont peur : peur d'un professeur, peur de ne pas réussir (trop de retard et de décalage avec les autres), peur de décevoir et de ne pas être à la hauteur des attentes (les leurs comme celles de leur entourage).
Plusieurs raisons peuvent expliquer le refus d'aller à l'école : un manque de confiance en soi, des conflits à l'école ou des difficultés d'apprentissage. Insistez pour que votre enfant aille à l'école et encouragez-le à affronter ses peurs, tout en le rassurant.
Parce que nos méthodes d'enseignement ne sont pas adaptées au fonctionnement du cerveau et de la mémoire. Pour l'auteur, professeur de psychologie cognitive à l'Université de Virginie, nous pouvons aider les élèves à aimer l'école si nous comprenons comment fonctionne leur intelligence.
Soyez compréhensif et ouvert au dialogue, rappelez-lui toutes les bonnes choses de l'école (l'étude, les amis, les sorties, etc.). Il faut, de plus, l'amener à comprendre qu'il n'a pas vraiment le choix : l'école est obligatoire et tous sont tenus d'y aller.
1- Leur faire manger de la nourriture qu'ils n'aiment pas
Mais le contraindre à finir son assiette n'est pas nécessairement la meilleure tactique à adopter pour parvenir à vos fins. "Forcer un enfant à mettre dans sa bouche quelque chose qu'il rejette, c'est presque lui faire violence.
Qu'est-ce que la phobie scolaire ? La principale définition utilisée est celle du Dr Ajuriaguerra, neuropsychiatre, en 1974 : « il s'agit de jeunes qui, pour des raisons irrationnelles, refusent de se rendre à l'école et résistent avec des réactions d'anxiété très vives ou d'angoisse si on les force à y aller ».
- Ils ont le sentiment que l'école ne garanti plus un travail pour l'avenir. - Ils n'ont plus de motivation car ils ne voient pas l'intérêt de ce qu'ils étudient. - Les jeux vidéo, GSM,... et autres distractions, influence l'attention des élèves.
Les enfants français de 11 ans "aiment l'école" à 29% pour les garçons et à 41% pour les filles. Cela signifie donc que 71% des garçons français n'aiment pas l'école - 45% des garçons allemands - et 59% des filles -38% des filles allemandes.
Parmi les facteurs de risque les plus importants, on note: des habiletés intellectuelles et verbales faibles, l'échec et le retard scolaires, une motivation et un sentiment de compétence affaiblies, des aspirations scolaires moins élevées, des problèmes d'agressivité et d'indiscipline, l'absentéisme, ainsi qu'un faible ...
Certains enfants, en opposition au maître, refusent de lui faire plaisir, ne travaillent donc pas. D'autres trouvent trop difficiles les consignes passées et s'enferment dans du refus.
La phobie scolaire, par définition, c'est une terreur irrationnelle qui empêche un enfant ou un adolescent d'aller en classe. On parle aussi de “refus scolaire anxieux”.
Il est important de mettre des mots sur ton vécu et ton ressenti. Il y a toujours des solutions pour que ton année scolaire se passe bien : parler à ton ou ta meilleur(e) ami(e), à tes parents ou prendre éventuellement rendez-vous avec un pédopsychiatre ou psychologue scolaire, ces adultes sont là pour t'aider.
Il se peut même qu'un élève qui ne semble pas motivé éprouve en fait des difficultés à apprendre et ait besoin d'une attention particulière. Bien que la motivation scolaire puisse être une tâche difficile à accomplir pour l'enseignant, les récompenses en valent largement la peine.
La première cause de démotivation invoquée par les élèves eux-mêmes – qu'ils soient ou non décrocheurs, d'ailleurs –, c'est l'ennui. « Beaucoup d'élèves s'ennuient à l'école, c'est une réalité et elle n'a rien d'étonnant !
En tant que parent, vous avez un rôle important à jouer pour donner une image positive de l'école à votre enfant. Intéressez-vous à ce que votre enfant fait en classe et parlez en bien de l'école. Cela lui donnera le goût d'y aller. Évitez de mettre trop de pression pour que votre tout-petit performe à l'école.
Aller à l'école, ça nous permet d'apprendre beaucoup… Mais à l'école, on se fait aussi des amis. L'école, c'est aussi un lieu amusant pour apprendre : on va au cinéma, on fait des sorties, on part en classe découverte)… A l'école, il y a des moments de travail et des moments de récréation, de jeux et c'est bien.
A 15 ans l'intérêt est au plus bas : 12,8 % des filles et 10,6 % des garçons continuent à beaucoup aimer l'école, et ceux qui ne l'aiment pas du tout sont devenus majoritaires : 14,4 % chez les filles, 17,1 % chez les garçons.
Le rôle de l'école est de fournir une culture commune à tous les individus, quel que soit leur milieu d'appartenance, afin que cette éducation puisse leur servir tout au long de la vie. Depuis les années 1950, l'accès à l'école et à l'enseignement supérieur a fortement augmenté.
Réorientation vers une autre classe ou un autre établissement. Mise en place d'un projet personnalisé de réussite éducative (PPRE) Intégration dans un dispositif relais de scolarisation temporaire pour resocialiser et réinsérer le jeune dans un parcours de formation.
On ne peut donc pas arrêter l'école à 14 ans. Et si tel est le cas, l'école est obligée de prévenir le service de contrôle de l'obligation scolaire, le centre PMS et ensuite le service d'aide à la jeunesse. Celui-ci convoquera la famille afin de mettre en place un programme d'aide dans le but de rescolariser le jeune.
Cette inquiétude peut devenir paralysante quand l'estime de soi du jeune est trop basse, et provoquer des comportements d'évitement. L'adolescent se met lui-même en échec en ne travaillant pas. Ainsi, il pourra dire que son échec est la faute de son manque de travail, pas de son manque de talent.
Selon une enquête de l'association Anxiety UK, c'est la phobie sociale qui arrive en tête du classement. Également appelé «anxiété sociale», ce trouble se caractérise par une peur intense d'être confronté à des situations d'interactions sociales. L'individu est particulièrement angoissé à l'idée de parler en public.
L'anxiété sociale touche environ 7 % de la population. L'anxiété sociale est une peur associée à certaines activités sociales ou à de situations de performance où la personne pourrait se sentir observée, embarrassée, humiliée, rejetée ou préoccupée par le jugement des autres.
L'anxiété est ressentie comme une crainte dont la cause est difficile à préciser. Ce sentiment s'accompagne de symptômes . Il est naturel de ressentir un certain niveau d'anxiété dans certaines occasions, par exemple lorsque vous vivez un changement de vie important comme un mariage ou un divorce.
Les quatre principaux indicateurs de la motivation scolaire sont : le choix, la persévérance, l'engagement et la performance. Ces indicateurs, contrairement aux sources de la motivation qui déterminent le niveau de motivation de l'élève, sont des conséquences de la motivation (2).