Le bonheur, ça s'apprend dès le berceau. Les premiers liens qu'un bébé tisse avec sa mère fondent son aptitude au bonheur. C'est sur cette base sécurisante, “le portage psychique”, que le tout-petit développe sa conscience de soi et qu'il peut grandir confiant, serein et heureux !
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
Par exemple : regarder votre enfant et lui parler quand vous changez sa couche. Le toucher, le prendre, le bercer, le porter et être proche de lui pour qu'il sente votre odeur : tout cela aide à développer son sentiment de sécurité et à créer le lien d'attachement. »
Les besoins fondamentaux des bébés, manger, dormir, pouvoir anticiper, être tendrement soigné, être compris, être contenu ne sont ni respectés ni satisfaits.
« Parler bébé », c'est utiliser des mots simples et des phrases courtes en mettant beaucoup d'expression dans la voix. C'est aussi prendre une voix plus aiguë, une intonation exagérée, parler plus lentement et étirer les mots quand vous parlez à votre tout-petit (ex. : « Oooooh! Le beau béééébéééé! »).
Ils sont au nombre de cinq : les besoins physiologiques (ou besoins vitaux), le besoin de sécurité, le besoin d'appartenance, le besoin d'estime de soi et le besoin de réalisation de soi.
Les câlins sont indispensables au bon développement sensoriel et cognitif de bébé. Le sens du toucher (avec les bisous, les câlins) stimule notamment les hormones du bien-être et de la croissance. Quant à son petit cerveau, il a besoin de vos bras pour développer les bonnes connexions.
A quel âge bébé fait des bisous ? – 8 à 10 mois pour le geste avec la main, mais sans faire claquer les lèvres, et si cela fait partie des gestes que vous avez l'habitude de faire. – Pour les bisous sur les joues, les tout premiers bisous sont, disons … baveux !!
Il arrive même que certains bébés rient pendant leur sommeil. Tout comme le sourire aux anges du nouveau-né, ce rire intervient au cours des phases de sommeil paradoxal (ou sommeil agité), qui sont très importantes chez le petit enfant. Elles permettent une activité neuronale intense malgré un relâchement musculaire.
Même si votre enfant dit non, surtout avant 18 mois, il va quand même faire ce que vous lui demandez. Cela s'explique par le fait qu'il ait besoin de réfléchir. Sa première réaction sera de dire non. Puis, toute réflexion faite bébé dira oui car il en aura envie !
Entre 6 et 12 mois : il dit « papa » ou « maman »
Il s'ennuie ou il a besoin d'un câlin
Il a besoin de stimulation. En effet, lorsqu'il ne dort pas, bébé peut rapidement s'ennuyer même avec des jouets à sa portée. Ses pleurs ressemblent alors à des appels entrecoupés de sourires, cris ou vocalises. Il s'arrête de pleurer dès que vous vous intéressez à lui.
Les premiers sourires du bébé résulteraient donc au départ d'une simple contagion des sourires de l'adulte. Une fois en place, le sourire de l'enfant a tendance à persister et à se maintenir du fait de ses bénéfices : le sourire du bébé permet en effet d'obtenir en retour l'attention de l'adulte.
Pourquoi? Pour que votre bébé développe l'habileté de tendre la main et de toucher ce qu'il voit. Pour qu'il se familiarise avec le nom des différentes parties du visage. Le fait d'entendre les mots « oeil », « nez » ou « main » le prépare au moment, où dans un an ou deux, il commencera à prononcer ces mots.
Ils replient leurs jambes vers eux et arrondissent le dos. Dans cette position, ils ressentent moins la douleur, ont un rythme cardiaque plus lent et produisent moins de sons exprimant la détresse. On appelle ce phénomène, la réponse au transport.
Dès la naissance, un bébé reconnaît sa mère et dès les premiers jours, il est en mesure d'échanger avec ses parents à sa manière. Les relations affectives qu'il entretient avec eux vont être primordiales dans son développement.
S'étendre sur son lit ou sur le canapé, coucher son bébé sur soi et se concentrer sur sa respiration. Cela permet de déstresser aussi bien le parent que l'enfant, et il y a toutes les chances que vous vous endormiez soudain les deux, bien au chaud l'un contre l'autre!
Le fœtus apprend les émotions
Le fœtus fait aussi son apprentissage émotionnel dans le ventre de sa maman. Ses émotions se calquent sur celles de sa mère. Si elle rit, il sera heureux, si elle pleure, il ressentira sa détresse. Il ne faut pas oublier qu'un fœtus est beaucoup plus sensible qu'il n'y parait.
Donner de l'affection à travers le jeu
Certains bisous, comme celui du coucher, font partie du rituel. Il est donc important de s'y tenir. Si votre enfant refuse que vous l'embrassiez, instaurez un jeu.
Non, il est impossible que votre bébé ne vous aime pas. Il vous aimera toujours, toute sa vie. Mais il doit aussi acquérir son autonomie et il commence à avoir son caractère. Comme il est toujours avec vous maintenant, de temps en temps il veut n'en faire qu'à sa tête.
La sécurité. C'est à travers les interdits, les frustrations, les limites, les règles, que nous donnons à l'enfant le sentiment de sécurité, mais aussi les bonnes bases de la socialisation.
Recherchant ce qui se cache derrière ces motivations, il met au jour cinq (groupes de) besoins fondamentaux : les besoins physiologiques, les besoins de sécurité, les besoins d'appartenance et d'amour, les besoins d'estime et le besoin d'accomplissement de soi.
Maslow a proposé en 1970 une théorie de la motivation reposant sur cinq besoins humains fondamentaux et hiérarchisés (besoins physiologiques, besoins de sécurité, besoins d'amour, besoins d'estime, besoin d'accomplissement de soi).