Premier enseignement surprenant : pour les achats du quotidien, ces messieurs consomment en moyenne. Dans le détail, les hommes dépensent en moyenne 540 euros par an pour l'habillement, soit 2% de plus que les femmes, mais aussi 7% de plus pour les cosmétiques, la santé et le bien-être.
Le logement représente 36% du budget des femmes (20,5% du budget des hommes) L'alimentation : 23% (19% pour les hommes) L'énergie : 8% (6,5% pour les hommes) Les transports : 7% (6% pour les hommes)
Au lieu du plaisir physique, nous consacrons notre énergie au plaisir mental qui dérive, bien que de manière évanescente, de la mode, de la nouveauté et de l'action même de rechercher de nouvelles sources de stimulation. Ce type de consommation est insatiable, la quête dont il est l'objet, infinie.
Ainsi, il arrive parfois que les gens consomment à l'excès pour fuir leur tristesse, parce qu'ils se sentent seuls, parce qu'ils vivent diverses frustrations. D'autres vont se mettre à faire des achats parce que leurs relations avec autrui ne sont pas satisfaisantes ou parce qu'ils n'ont aucune estime pour eux-mêmes.
Consommer pour consommer ne rend pas heureux
Dans son livre The Price of materialism, Tim Kasser, professeur de psychologie démontre qu'une fois nos besoins de base couverts (manger, boire, se protéger du froid ou de la chaleur), tout ce que l'on consomme en plus, n'apporte pas un surplus de bonheur.
Comme une réponse à ce nœud gordien, le minimalisme, mode de vie qui consiste à se satisfaire de l'essentiel, est revendiqué par de plus en plus de consommateurs. Et les deux mois de confinement imposés par l'épidémie du coronavirus au printemps dernier semblent avoir accéléré cette tendance.
En effet, l'achat est une délectation sans nom, un sentiment presque orgasmique, un plaisir intense. Le plaisir vient également du fait que l'achat d'un objet s'accompagne de multiples promesses.
Comprendre la relation entre émotions et pulsions
On aura besoin d'être consolé, rassuré, et c'est de cette façon que l'on comblera ce besoin. En général, à chaque émotion correspond un besoin à satisfaire et ici ce manque est compensé par l'achat.
La surconsommation alimentaire désigne le fait de jeter des produits alimentaires sans les avoir consommés, mais aussi de manger de la nourriture en trop grande quantité. Ainsi, dans de nombreux pays industrialisés, le niveau de consommation alimentaire des ménages se situe bien au-dessus de leurs besoins réels.
La consommation désigne le fait de consommer (autrement-dit utiliser) des biens et services, généralement dans le but de satisfaire des besoins ou des désirs.
Tout comme les tâches ménagères, les dépenses restent largement « sexuées ». Les sociologues font ainsi état d'une enquête approfondie qui montre que les femmes ont plutôt en charge les dépenses liées au foyer et aux enfants, tandis que les hommes gèrent le patrimoine et les dépenses exceptionnelles.
Boire est alors un moyen de faire « comme les autres », de se sentir mieux dans le groupe : l'alcool devient d'une certaine façon un « facteur d'intégration ». L'alcool est aussi associé aux rencontres, considéré comme un « liant social », car quand on a bu, notre comportement change.
Il a besoin des autres pour exister, et l'alcool lui permet de s'intégrer dans un groupe. Il suffit de payer une tournée pour se faire des amis. Ainsi, si vous allez voir un match dans un bar, vous ne verriez que des consommateurs de bières. Cependant, les hommes font une distinction de leur consommation.
Mais il existe aussi des explications sociales, c'est-à-dire principalement environnementales et comportementales, à l'espérance de vie plus élevée des femmes. Avant tout, les hommes fument plus, boivent plus, mangent moins bien, se droguent plus et conduisent plus dangereusement.
Cette plus grande espérance de vie des femmes peut s'expliquer par plusieurs facteurs. Elles sont moins souvent exposées à des conditions de travail pénibles au cours de leur vie professionnelle (contraintes physiques, travail de nuit, exposition à des produits nocifs...).
N°1 : le four.
C'est l'appareil qui consomme le plus d'électricité dans un logement, plus de 1.000 kWh par an en moyenne. Mais il est possible de réduire la facture en optant pour un four à chaleur tournante ou, encore mieux, pour un four combiné (four + micro-onde).
« Consommer autrement » signifie privilégier les produits « éco-labellisés », certifiés éthiques, locaux, moins polluants. Pour 32 % des Français, il s'agit de « ne plus consommer de produits ou services superflus », et pour 16 %, de « réduire sa consommation en général ».
Car après tout, vivre c'est aussi consommer. Mais j'ai travaillé dur pour échapper à la surconsommation et au matérialisme. C'est quoi la surconsommation ? C'est lorsque l'on commence à acheter des choses inutiles, dont on n'a pas vraiment besoin au quotidien.
Ce qui signifie qu'il fera, par exemple, les actions qu'on lui demande en vue d'éviter la punition.
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Appartenir à un groupe : le souci de reconnaissance ou d'appartenance à un groupe est très important chez les ados. L'acceptation passe par la prise du produit "faire comme tout le monde".
Le shopping stimule la sécrétion de dopamine
En effet, quand nous effectuons du shopping et cédons à l'objet de notre désir, le circuit de récompense dans notre cerveau se met en action. La sécrétion de dopamine, le neurotransmetteur responsable de la sensation de bien-être et de plaisir, est augmentée.
Le principal neurotransmetteur qui produit ces plaisirs est la dopamine. Lorsque vous achetez quelque chose de nouveau, il y a une libération de dopamine appelée « shoppers high ». Ce même neurotransmetteur est, par exemple, libéré en buvant de l'alcool, en jouant dans les casinos ou en fumant.
La consommation d'une voiture se mesure en litre pour 100 kilomètres (L/100 km). Elle détermine l'autonomie du véhicule mais aussi son impact environnemental. En France, la consommation moyenne des voitures, essence et Diesel confondus, est de plus de 6 L/100 km.