L'inhibition est un processus qui se déroule dans le cerveau quand des groupes de neurones relâchent des hormones inhibitrices qui nuisent à l'activation d'autres neurones. la région en question a plus de mal à s'activer ou ne s'activera pas du tout. L'inhibition est surtout en lien avec les apprentissages difficiles.
1. Absence ou diminution d'un comportement qui, dans une autre situation semblable, avait été présent ou plus fort. 2. Processus interne qui est supposé empêcher ou freiner l'apparition d'une réponse et expliquer ce comportement : La timidité provoque chez lui une inhibition de la parole.
L'inhibition comportementale est un facteur de risque de développement de troubles d'internalisation, mais la recherche montre qu'un trouble ne se développe pas chez tous les enfants ayant ce trait tempéramental.
Un déficit au niveau de la capacité d'inhibition est le principal problème des troubles comme celui du TDAH. Le déficit d'inhibition peut se manifester en trois niveaux différents: Niveau moteur: il existe un désordre au niveau de la conduite motrice, qui se manifeste sous forme d'hyperactivité.
La capacité d'inhibition des automatismes se révèle alors essentielle dans les mécanismes d'apprentissages. « Apprendre à résister », selon l'expression empruntée à Olivier Houdé, permet d'acquérir des connaissances et développe notre capacité de raisonnement.
L'inhibition
Peut-on voir sur la carte un objet présent sur la table ? Attention, l'objet doit être identique (même couleur) ! Si aucun objet ne correspond, il faut alors trouver celui qui est en tous points différent de ceux représentés. Permet d'apprendre à gérer l'impulsivité dans un contexte ludique.
Développer le contrôle inhibiteur dès 3 ans est essentiel
À 3 ans, on va commencer par présenter des tâches basiques à l'enfant et on va lui demander de respecter des règles pour maintenir l'ordre dans l'espace de travail. C'est de cette manière qu'on va développer le contrôle inhibiteur et c'est indispensable.
Les personnes atteintes d'un bas niveau d'inhibition latente peuvent présenter les symptômes suivants : syndrome général d'adaptation (stress), migraines ophtalmiques (scotome) suivie de céphalées très douloureuses, des crises d'hypotension, des phénomènes de confusion voire de schizophrénie.
Ainsi, dans ce cas, l'inhibition est la réaction à la peur d'échouer. Et le désir qui y correspond est un perfectionnisme. Et se juger fainéant ou paresseux parce qu'on se sent inhibé renforce le sentiment d'échec qui à son tour nourrit l'inhibition. C'est une boucle infernale dans laquelle on se retrouve prisonnier.
Apprendre l'autocontrôle
L'autocontrôle (la capacité de contrôler ses émotions et ses gestes) est l'une des clés dans la gestion de l'impulsivité. Lorsque vous invitez votre enfant à trouver et à utiliser des stratégies pour s'apaiser, vous lui rendez un très grand service.
L'anxiété sociale touche environ 7 % de la population. L'anxiété sociale est une peur associée à certaines activités sociales ou à de situations de performance où la personne pourrait se sentir observée, embarrassée, humiliée, rejetée ou préoccupée par le jugement des autres.
Le déficit d'inhibition latente, c'est ça. C'est l'incapacité du cerveau à faire ce tri face à tant de stimulations sensorielles. Le cerveau traite toutes ces informations avec la même importance, la personne aura donc beaucoup de mal à se concentrer sur une seule source d'information.
Faire preuve de flexibilité cognitive, c'est d'être capable d'être souple dans sa façon de comprendre les situations et d'y réagir, et cela, en fonction de la réalité.
Les fonctions exécutives sont essentielles, ce sont les compétences cognitives qui nous permettent d'agir de façon organisée pour atteindre nos objectifs. Les experts en relèvent trois principales : la mémoire de travail, le contrôle inhibiteur et la flexibilité cognitive.
Le terme d'impulsivité correspond aux difficultés qu'éprouve une personne pour arriver à se contrôler. Ainsi, l'impulsivité débouche régulièrement sur des actes violents ou des colères. Ces comportements peuvent à leur tour engendrer des conséquences indésirables pour leur auteur.
Les thérapies les plus adaptées pour prendre en charge l'impulsivité sont les thérapies cognitives et comportementales et la thérapie interpersonnelle. La thérapie cognitive basée sur la pleine conscience est également une thérapie adaptée pour apprendre à gérer ses émotions.
La capacité intellectuelle correspond à l'ensemble d'habiletés intellectuelles. Elle rassemble les compétences verbales et visuelles, le raisonnement, les aspects de la mémoire ainsi que la vitesse de traitement et d'exécution de l'information.
Le surdoué voit ce que les autres ne voient pas, entend ce que les autres ne perçoivent pas, ressent fortement et parfois violemment ce qui échappe à la plupart d'entre nous.
Être zèbre est un autre terme pour Haut Potentiel, HP, surdoué ou précoce. Jeanne Siaud-Facchin a introduit ce terme car les zèbres sont difficilement apprivoisables, ils se fondent dans le décor tout en se distinguant de ce décor par des caractéristiques propres à chacun d'eux (leurs rayures)...
Auteur, philosophe, musicien, chanteur (les métiers artistiques en général) Acteur, scénariste. Consultant. Coach en développement personnel ou autre type de coaching.
A la croisée des chemins entre l'anxiété, la timidité et l'introvertisme, l'anxiété sociale est à la fois un trouble à part et un savant mélange des trois. Laurie Hawkes, psychothérapeute, nous guide pour mieux comprendre les subtilités de l'anxiété sociale.
La timidité maladive est une forme de timidité sévère au point de ne plus avoir envie d'entretenir de contacts avec l'extérieur. Les personnes qui souffrent de timidité maladive vont éviter les relations humaines, se renfermer sur elles-mêmes.
Cette peur se manifeste par un désir d'éviter la société, une peur morbide des gens et de leur présence. Considéré comme une forme pathologique de la timidité, le mot anthropophobie vient du grec « anthropo » qui signifie homme, et « phobie » qui signifie peur.