L'approche causale implique une logique d'optimisation et met l'accent sur l'importance de la prévision et de l'analyse préalables pour éviter les mauvaises surprises qui empêcheront l'optimisation. Cela implique une connaissance et une maîtrise des informations et de l'environnement dans lequel se place la décision.
Qu'est-ce qu'une étude causale et quelle est sa finalité ? L'étude causale appartient à la catégorie des études conclusives, car elle vise à mettre en évidence une relation de cause à effet entre deux variables.
Ces deux approches ne s'opposent pas et sont complémentaires. L'approche effectuale est plus efficace en phase de démarrage (en mode conception), l'approche causale quant à elle devient plus pertinente lorsque que le projet est une solution et peut être exécuté.
Résumé Dans l'approche effectuale, la notion de but final disparaît au profit d'une série de buts se présentant comme des étapes intermédiaires établies en fonction des moyens disponibles à un instant donné.
Quels sont les fondements de l'approche effectuale ? Cette approche est dite « causale », car on cherche les causes (moyens) permettant d'obtenir un effet attendu et défini préalablement. Les entrepreneurs partent au contraire des moyens à leur disposition pour définir de nouveaux buts.
La logique causale repose sur le paradigme du choix : la question de la décision est en effet formulée en termes de choix parmi un certain nombre d'options existantes en fonction de critères rationnels.
L'effectuation permet d'avancer non pas en espérant un ROI proportionnel au risque encouru, mais en décidant d'une perte acceptable, quelque chose que l'on accepte de perdre pour faire le prochain pas. Ce principe s'active si l'on peut avoir confiance en sa mise et en sa capacité à rebondir en cas de perte effective.
Concrètement, il s'agit en général d'un groupement de plusieurs salariés.es issus d'une entreprise qui lancent une entité juridique séparée de leur organisation d'origine en s'appuyant sur les ressources initiales de leur employeur. La nouvelle structure a lien avec la structure “mère” en termes de secteur d'activité.
Comme le super-héros, l'entrepreneur, fort de son talent, se donne une mission. Il doit apprendre à développer et maîtriser son superpouvoir. Il prend des risques, mais des risques bornés et contrôlés, et se donne des garanties en protection. Il prend du temps pour affiner le projet.
L'effectuation consiste non pas à partir d'un but pour déterminer ensuite les moyens nécessaires pour l'atteindre, mais au contraire de partir des moyens dont on dispose pour imaginer les effets (buts) possibles, d'où son nom (voir figure 1.2).
L'Effectuation est un paradigme pragmatiste du management issu du domaine de l'entrepreneuriat Partant de la question de recherche « quel est le processus de décision des entrepreneurs ayant réussi ? », la chercheuse Saras Sarasvathy (2001) apporte un éclairage nouveau quant à la manière de concevoir le processus de ...
Un jeune interrogé sur deux estime qu'un entrepreneur a de grandes responsabilités et 43% considèrent qu'il travaille beaucoup. Être autonome (40%), diriger une équipe (39%) et prendre des risques (37%) apparaissent comme les autres termes définissant l'entrepreneur.
Il s'agit d'une étude de dernière phase qui est généralement réalisée lorsqu'un certain phénomène a été découvert et défini. La recherche explicative utilise des ressources secondaires pour formuler le raisonnement derrière l'occurrence d'un événement.
Quelle que soit l'entreprise que l'on crée, il est important de savoir s'entourer des bonnes personnes. Les exemples célèbres de success-stories sont nombreux mais derrière ces grands noms se cachent des collaborateurs essentiels.
Les entrepreneurs n'aiment pas le risque, aucune étude n'a jamais montré cela. Ce que les études montrent, c'est que les entrepreneurs acceptent de prendre des risques, car ils reconnaissent que c'est nécessaire, mais qu'il essaient de les contrôler.
"EFFECTUATION" : L'ENTREPRENEUR NE PRÉDIT PAS L'AVENIR MAIS IL LE CONSTRUIT. Retour sur le séminaire effectuation de la Couveuse Lab des Yvelines : une cinquantaine de personnes ont répondu présent à cette invitation pour échanger sur la démarche entrepreneuriale, à l'Agora à Mantes-la-Jolie.
On écrit « entrepreneuriat » ou « entreprenariat » ? Règle : on écrira toujours « entrepreneuriat » avec -eu et non -a. En effet, « entrepreneuriat » qualifie l'activité de l'entrepreneur, qui s'écrit avec -eu et non -a !
L'entrepreneuriat c'est l'ensemble des activités liées à la création d'une entreprise. En gros, un entrepreneur est un créateur d'entreprise.
Contrairement à l'entrepreneur qui gère une entreprise qu'il a créée avec toute l'énergie, les efforts et les ressources nécessaires au démarrage d'une entreprise, l'intrapreneur met à profit ses qualités entrepreneuriales au sein d'une organisation qui ne lui appartient pas.
L'essaimage désigne le soutien apporté par les entreprises à leurs salariés pour créer leur propre projet entrepreneurial. Dit autrement, l'essaimage d'entreprise regroupe toutes les pratiques mises en place par l'employeur pour favoriser la création d'entreprise par ses propres salariés.
L'intrapreneuriat permet aux salariés de l'entreprise de développer des projets entrepreneuriaux au sein même de leur lieu de travail. Il permet de lutter contre le départ des cadres vers l'entrepreneuriat, ainsi que de développer chez ses salariés de remarquables qualités d'autonomie et de prise d'initiatives.
L'approche est dite « effectuale » parce que l'on peut agir sur les effets (buts) mais pas sur les causes (c'est-à-dire les ressources, qui sont le point de départ).
Les caractéristiques de la personnalité d'un entrepreneur sont variées : la passion, la confiance en soi et la prise de risque, l'ambition, la détermination, le gout du challenge et le leadership. Ces principaux traits de caractère se retrouvent toujours dans le profil type d'un entrepreneur.