Relatif à tout ce qui a trait avec une attitude, un écrit, une parole ou une interprétation proche de la caricature.
La parodie est une forme d'humour qui utilise le cadre, les personnages, le style et le fonctionnement d'une œuvre ou d'une institution pour s'en moquer.
La parodie est le refonctionnement critique de matériel littéraire préformé avec un effet comique 1 (Rose, 59). La parodie est le détournement (ou la déformation) de la lettre d'un texte (ou d'un hypotexte) au moyen d'une transformation minimale, ludique, non-satirique (Genette, 33,37).
La parodie musicale consiste à reprendre une musique ou des paroles existantes (le plus souvent connues) et à les développer, ou simplement à copier le style particulier d'un compositeur ou d'un interprète ou bien, de manière générale, d'un genre musical.
Cette forme de réécriture, s'appuyant souvent sur quelques procédés faciles, risque à terme d'épuiser le genre, son personnel et ses destinataires. Mais au-delà des effets ludiques, la parodie postule un lecteur conscient des formes et invite à s'interroger sur l'expérience de la fiction que le conte permet.
La parodie consiste à réécrire un texte dans un but comique. Pour faire rire le lecteur, l'auteur joue avant tout sur le décalage avec l'œuvre de départ ; une parodie est d'autant plus provocatrice - donc efficace - que l'œuvre initiale est connue de tous et instituée comme chef-d'œuvre.
Le pastiche désigne, de manière exclusive, l'emprunt d'un style pour l'appliquer à un autre objet, tandis que la parodie transforme un texte singulier. Ainsi, James Joyce parodie l'Odyssée dans Ulysse, et Proust pastiche Balzac, Flaubert et Sainte-Beuve dans L'Affaire Lemoine, de manière non parodique.
Faites correspondre le rythme et le flux des paroles et n'essayez pas de faire tenir trop de mots en une seule phrase. Ajouter des mots vous aidera à raconter votre histoire, mais votre parodie ne ressemblera plus à l'original. Essayez de faire rimer vos paroles avec celles de l'original.
pastiche
Œuvre littéraire ou artistique dans laquelle on imite le style, la manière d'un écrivain, d'un artiste soit dans l'intention de tromper, soit dans une intention satirique.
L'humour rend le lecteur plus réceptif aux sujets sérieux. Le rire devient donc une véritable « arme » littéraire pour dénoncer, critiquer, se moquer, stigmatiser. Ainsi, dans Gargantua, Rabelais fait la satire de l'esprit de sérieux : savoir et sérieux ne sont, pour lui, pas compatibles.
Formes : le burlesque, volontiers narratif, consiste à caricaturer les situations, à travestir les individus (humanisation des dieux, animalisation des hommes). Les situations les plus grossières, violemment contrastées, peuvent être racontées de manière mécanique.
Dans la première partie de votre morceau vous pouvez hacher les mots comme si vous parliez, ou chuchoter (en fonction de la chanson) certains mots. Si il y a des notes aiguës vous pouvez les chanter en voix de tête et progressivement vous allez appuyer votre voix et plus utiliser votre voix de poitrine.
Le pastiche est une forme de réécriture qui consiste à imiter un texte, à s'en approcher le plus possible, tout en feignant de ne rien transformer. L'auteur s'attache le plus souvent à imiter le style d'un écrivain, ce qui suppose de savoir identifier puis reproduire les caractéristiques uniques de son écriture.
Donner une nouvelle version d'un texte déjà écrit.
La réécriture a pour but de reprendre des écrits faits au brouillon, de les améliorer tant par le style que par la qualité du contenu, mais également par la suppression de quelques minutes de lecture afin d'en améliorer la compréhension ou l'ajout de personnages.
«Lovin' You» – Minnie Riperton
Grâce à son registre de cinq octaves et demi, Minnie Riperton pouvait atteindre toutes les notes, y compris le registre le plus élevé qu'un être humain puisse atteindre, surnommé le registre du sifflet.
Allumer le feu - Johnny Hallyday. Pour que tu m'aimes encore - Céline Dion. Quand la musique est bonne - Jean-Jacques Goldman. Balance ton quoi - Angèle.
Il est possible de se servir des petits rituels ou des petites manies du collègue pour entamer ce message avec un brin d'humour comme : "Il n'y aura plus la queue à la cantine...", "Je vais enfin récupérer ton bureau !", "C'est vraiment dommage, tu perds les meilleurs collègues !"...