L'un des aspects les plus importants de la réarticulation du développement humain est de souligner le besoin d'équité envers la nature et les autres êtres vivants. Nous ne pouvons pas être développés à moins que nos vies ne soient reconnectées et en équilibre, en coopération et en harmonie avec la nature.
Le développement durable est une notion qui vient de l'extérieur, de l'international. Tout commence véritablement dans les années 1960 avec les premières critiques du mode de croissance productiviste. Le Club de Rome, club d'industriels fondés en 1968, est à la tête de ce mouvement.
Haq, l'objectif du développement humain est d'accroître les possibilités de choix des personnes dans tous les domaines économiques, sociaux, culturels et politiques. Il s'agit d'une approche révolutionnaire car elle conduit à remettre en cause les structures existantes du pouvoir.
Il sert à préserver les ressources pour garantir l'avenir de l'Humanité : réduire l'empreinte laissée par l'homme sur l'environnement et lutter contre le réchauffement de la terre et le changement climatique.
Contrairement au développement économique, le développement durable est un développement qui prend en compte trois dimensions : économique, environnementale et sociale. Les trois piliers du développement durable qui sont traditionnellement utilisés pour le définir sont donc : l'économie, le social et l'environnement.
Elles répondent aux objectifs généraux suivants : éradiquer la pauvreté sous toutes ses formes et dans tous les pays, protéger la planète et garantir la prospérité pour tous (voir : trois piliers du développement durable).
Citoyens, entreprises, collectivités territoriales, gouvernements, institutions, associations, scientifiques : pour réagir et agir face aux menaces qui pèsent sur les hommes et la planète, toutes les parties prenantes doivent se mobiliser.
Le projet territorial de l'Agglo doit répondre aux cinq finalités de développement durable suivantes : Lutter contre le changement climatique. Préserver la biodiversité, protéger les milieux et les ressources. Assurer une cohésion sociale et une solidarité entre les territoires et les générations.
C'est effectivement une façon de traduire le développement durable qui est né d'une triple inquiétude : la poursuite de la croissance, la persistance des inégalités entre les hommes et la reconnaissance des dangers que nos modes de vie font peser sur la planète.
Ainsi, le développement humain résulte de l'interdépendance de ces trois types de facteurs (biologiques, sociaux, cognitifs) étroitement intriqués. S'il est clair que le développement est sous le contrôle de l'ontogenèse physique (plus particulièrement au début de la vie), il deviendrait de moins en moins canalisé.
Le développement humain est un processus personnel et social, en général caractérisé par : une esthétique et une éthique ; la variation des conditions matérielles qui affectant les possibilités de satisfaire les besoins et les désirs.
Le développement humain est le reflet de la qualité de vie des hommes au sein de la société dans laquelle ils évoluent : il inclut la notion de « bien-être », en s'appuyant sur certains articles de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948.
L'objectif du développement durable est de définir des schémas viables qui concilient les trois aspects environnemental, social et économique des activités humaines : « trois piliers » à prendre en compte par les collectivités comme par les entreprises et les individus.
En 1992, le Sommet de la Terre à Rio, tenu sous l'égide des Nations unies, officialise la notion de développement durable et celle des trois piliers (économie/écologie/social) : un développement économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement soutenable.
Après le terme d' « écodéveloppement », apparaît dès 1980 le concept de « développement durable », proposé par l'Union internationale pour la conservation de la nature.
Il est « Brundtland » parce qu'on y réalise aussi des actions touchant, entre autres, la démocratie, le partage, la coopération, l'équité, la solidarité, le respect, la paix et les droits humains, autant de préoccupations majeures apparaissant dans le Rapport Brundtland ».
Ces indicateurs se rapportent aux quatre piliers du développement durable : économique, social, environnemental et institutionnel.
faire évoluer les modes de vie vers un modèle plus durable ; garantir la santé et le bien-être de toutes et tous ; inciter les citoyens à participer pour atteindre les ODD ; travailler pour la transformation durable des sociétés, la paix et la solidarité à l'échelle internationale.
Tout en se focalisant sur les processus actuels, il à fixé et confirmé les objectifs environnementaux suivants : réduction de la consommation énergétique, d'eau et papier. meilleure gestion et réduction des déchets. amélioration de la mobilité durable.
17 Objectifs de développement durable (ODD) ont été fixés. Ils couvrent l'intégralité des enjeux de développement dans tous les pays tels que le climat, la biodiversité, l'énergie, l'eau, la pauvreté, l'égalité des genres, la prospérité économique ou encore la paix, l'agriculture, l'éducation, etc.
Le développement implique, en plus de la croissance, une meilleure satisfaction des besoins fondamentaux (alimentation, santé, éducation), une réduction des inégalités, du chômage et de la pauvreté, comme François Perroux l'a montré.
Les Objectifs de développement durable (ODD) ont été adoptés par l'Organisation des Nations unies. Ils constituent l'Agenda 2030, qui associe à chaque objectif des cibles à atteindre à l'horizon 2030, en vue d'« éradiquer la pauvreté, protéger la planète et garantir la prospérité pour tous ».
- L'éveil de conscience de l'état de sous-développement du pays ; - L'identification des problèmes majeurs qui bloquent le décollage du pays ; - La détermination des projets globaux et spécifiques à court terme et à long terme.