En effet, l'avion peut être alimenté par le groupe auxiliaire de puissance (APU, Auxiliary Power Unit), dont le démarrage se fait avec les batteries, et qui assure ensuite la production d'électricité, le redémarrage des moteurs et la pressurisation de la cabine.
L'électricité des avions fonctionnent grâce à deux circuits électriques principaux et un circuit de secours. Ces deux circuits situés sur les côtés de l'appareil sont reliés à un générateur qui produit l'électricité de l'avion en se servant de l'énergie mécanique fournie par un des moteurs.
Le kérosène est le carburant pour avions le plus utilisé. Il sert aux jets civils et militaires, aux avions à turbopropulsion et aux hélicoptères entraînés par des moteurs à turbines. Il entre en ébullition autour de 150 °C –250 °C et, comme le diesel, appartient à la catégorie des distillats de densité moyenne.
Le carburant utilisé pour les avions est le kérosène.
Le carburant est stocké à l'intérieur des ailes de la plupart des avions, petits et grands.
Pourquoi ces délestages ? C'est une question de sécurité pour l'avion et ses passagers. Ces opérations n'ont en général lieu que lorsqu'un avion long courrier (donc lourd) doit rebrousser chemin peu après le décollage.
Issu du raffinage du pétrole, il résulte du soutirage pendant la distillation d'une coupe avec un point initial (PI) de distillation compris entre 150 °C et 180 °C , et un point final (PF) de distillation entre 225 °C et 250 °C .
La voiture, évidemment ! Avec 61% des consommations du transport routier d'après l'ADEME, elle se place devant les véhicules utilitaires légers (20%), les camions (14%), les bus et autocars (4%) et les deux-roues (1,5%).
Avion vs voiture, qui est le plus polluant ? Selon le simulateur “Mon Impact Transport” de l'Ademe, sur un trajet de 500 km, la voiture individuelle émet plus de 50 % de CO2 que le même trajet en avion.
En cause : le kérosène, un mélange d'hydrocarbures issu du raffinage du pétrole, servant à alimenter les turboréacteurs et les turbopropulseurs des avions. En fonction des différentes phases d'un vol, l'avion va brûler plus ou moins de kérosène.
Capacité maxi de carburant : 26 000 litres de kérosène répartis en 3 réservoirs : 1 dans chaque aile de 4 900 litres, et 1 dans le fuselage de 16 200 litres au niveau de l'emplanture des ailes, ce qui représente 20 tonnes de carburant.
Une fois que l'appareil a atteint son altitude de croisière, il entame généralement la phase la plus longue du vol, la croisière. L'avion brûlera alors plus de 80% de son réservoir de kérosène avant d'entamer la phase de descente où environ 5% de kérosène sera utilisé.
Ta main, comme l'aile d'un avion, pousse l'air vers le bas, et par réaction, elle se pousse elle-même vers le haut. Ces deux effets combinés génèrent ce qu'on appelle la portance. Mais cette portance ne peut apparaitre que si l'avion avance, et plus il est lourd plus il doit avancer vite.
Son avion concept est basé sur une technologie de pile à combustible (PAC) qui transforme l'hydrogène en électricité, alimentant des moteurs électriques à hélices. Avantage, un avion à PAC n'émet que de l'eau et aucun gaz nocif, CO2, NOx ou particules. L'avion concept est comparable en taille à l'ATR72-600.
L'APU est un petit turboréacteur embarqué, situé en général à l'arrière du fuselage, qui permet à l'avion d'être autonome en air lorsqu'il est en escale (compresseur haute pression) et en électricité (génératrice courant alternatif 115 V 400 Hz).
Asu peut faire référence à : Asu, la plus septentrionale des îles Hinako, situées à l'ouest de l'île indonésienne de Nias, dans la province de Sumatra du Nord ; Asu, une langue bantoue parlée en Tanzanie.
En termes d'émissions de CO2 par voyageur et par km, l'avion se place tête du classement des transports les plus polluants. Ses émissions sont 45 fois supérieures à celle du TGV, 10 fois supérieures à celle du bus.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
Selon ses chiffres, un passager en avion émet 285 grammes de CO2 par kilomètre, contre 158 grammes en voiture et seulement 14 grammes en train.
Des émissions qui explosent
L'aérien représente 3,4 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. À titre de comparaison, l'avion émet 285 grammes de CO2 par kilomètre, la voiture 158, le train 14. Le nombre de passagers transportés est également en forte augmentation depuis plusieurs années.
L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) confirme qu'un avion est aujourd'hui nettement plus émetteur de gaz à effet de serre qu'un train.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
Le cours actuel est de 48,70 $ le baril soit une baisse de 45% par rapport à celui de l'été dernier. Cela devrait se traduire par un prix d'achat du kérosène aux alentours de 0,48 € du litre.
Le kérosène est un produit pétrolier issu du raffinage du pétrole brut. Il fait partie des coupes moyennes, comme le gazole, qui sont extraites du pétrole brut lorsque celui-ci est soumis à une distillation atmosphérique. Sa qualité est améliorée par différents traitements visant notamment à en extraire le soufre.