Le stress / l'anxiété peuvent avoir un impact sur la production de lait et sur votre réflexe d'éjection. Être malade peut également diminuer votre lactation. De plus, le fait que vous soyez mal en point peut entraîner une baisse de la fréquence des tétées, ce qui peut également avoir un impact sur la production.
Certaines plantes comme le persil et la menthe sont réputées pour bloquer la montée de lait. Il faut infuser une poignée de l'une ou de l'autre plante dans de l'eau frémissante et en boire un verre plusieurs fois par jour.
Consommation de préparations commerciales pour nourrissons ou allaitement au biberon; Refus du sein (débit trop rapide, mamelon plat ou grand); Somnolence ou sommeil prolongé entre les boires (jaunisse, prématurité, prise de certains médicaments); Faible succion ou succion difficile au sein (prématurité, maladie);
Stimulation des seins
Cela permet aussi d'éviter les engorgements (voir Engorgement). Si le bébé n'est pas prêt à téter, vous pouvez stimuler par l'expression manuelle ou avec un tire-lait (voir Pour avoir une bonne production de lait).
La montée laiteuse est favorisée par la libération d'hormones, comme la prolactine, de même que par des contacts peau à peau avec votre bébé, une tétée précoce, puis des tétées fréquentes (8 fois et plus par 24 heures, le jour et la nuit) et efficaces.
Si vous prévoyez d'exprimer régulièrement votre lait, vous avez tout intérêt à investir dans un tire-lait double. La double expression augmente les taux de prolactine, l'hormone responsable de la production du lait, dans votre corps.
On est stressée au boulot, donc on bloque le réflexe d'éjection du lait et on tire moins de lait. Les seins sont donc moins drainés et petit à petit produisent moins. Pensez à tout faire pour vous détendre pour tirer votre lait.
Après la montée de lait, il est probable que du lait coule de vos seins, même lorsque votre bébé n'est pas en train de téter. Ces fuites de lait sont fréquentes lors des premières semaines d'allaitement et peuvent être désagréables. Heureusement, elles s'estompent généralement après quelques semaines.
Canaux lactifères bloqués ou “bouchon de lait”
Vous aurez mal aussi lorsque votre bébé tétera, quand un ou plusieurs canaux lactifères seront bouchés. En cas de canal lactifère bloqué, le lait stagne à l'intérieur et ne peut plus sortir. Cela crée un engorgement et le lait est très difficile à extraire.
Les fruits secs oléagineux (amandes, noix, noix de macadamia et noix de cajou) : ils sont riches en vitamines et minéraux. Les oléagineux vont également permettre à la mère de retrouver de l'énergie.
Mises au sein
Cette réaction positive du bébé à la mise au sein est encourageante et peut simplifier les choses ! Des mises au sein fréquentes – de 8 à 14 fois par 24 heures dans l'idéal – permettront de stimuler la lactation de manière importante.
Leur consommation peut en effet favoriser la tolérance de l'enfant. N'hésitez donc pas à manger des fruits à coques, fruits de mer, œufs et autres aliments parfois à l'origine d'allergies.
À partir de quand puis-je consommer des tisanes d'allaitement ? La consommation de tisanes d'allaitement peut se faire dès les dernières semaines de grossesse afin de préparer et stimuler doucement la production de lait dans votre corps.
Il est tout à fait possible de boire un café lorsque vous allaitez au sein ou via un tire-lait. Les professionnels de santé recommandent 200 mg par jour max de caféine (soit l'équivalent de 3 tasses) pour les femmes enceintes et les femmes qui allaitent.
Vos seins ne semblent plus remplis et arrêtent de couler entre les tétées. En fait, si votre bébé prend bien du poids, c'est que votre lactation est bien établie et qu'elle s'est adaptée aux besoins de votre bébé.
S'il ne draine pas correctement les seins, il boira moins et les seins produiront également moins de lait. Pour comprendre ce mécanisme, faites appel à une consultante en lactation habituée à observer ce type de comportement.
Aucun aliment n'augmente la production de lait maternel. Mangez de façon régulière et en quantité suffisante. Vous pouvez aussi prendre des collations, selon votre appétit.
Elle pourra suggérer un ajustement de votre position d'allaitement ou de la prise de votre bébé pour allaiter plus efficacement. Vous pouvez également essayer d'avoir plus de contacts peau à peau avec votre bébé avant et après les tétées afin de stimuler l'ocytocine, l'hormone qui favorise l'écoulement de votre lait.
Allaitement : Les épices déconseillées
Ce que vous devez éviter, c'est la consommation des épices fortes comme le piment, le paprika ou encore le curcuma.
Pour chaque jour il faut prévoir 825 ml de lait maternel en moyenne ou environ 110 ml par repas.
Premièrement, oui, vous pouvez manger des sushis, des fromages et des charcuteries. Les risques de toxi–infection sont toujours présents avec ces aliments, mais il n'y a pas de risque pour le bébé allaité, puisque ces micro-organismes ne passent pas dans le lait maternel.
Il vaut mieux tirer le lait dès la naissance et toutes les 3 heures, la nuit incluse. Si votre enfant ne reçoit que du lait maternel, il faut absolument s'entraîner à tirer son lait et constituer des réserves pour les premiers jours de séparation et pour avoir une marge de sécurité.