L'environnement familial, la vie affective et émotionnelle de l'enfant, le soutien des pairs et la stimulation offerte par l'enseignant expliquent souvent mieux les différences individuelles de réussite. Les enfants ont besoin d'être encouragés, entourés, soutenus, accompagnés dans leur scolarisation pour réussir.
Les habitudes de vie (comme l'alimentation et l'activité physique) et l'estime de soi sont également fondamentales pour le développement des jeunes et sont intimement liées à leur réussite éducative. Les facteurs scolaires sont très importants pour la persévérance et la réussite éducative des jeunes.
Reconnaître ses points forts
Arrêtez de vous focaliser sur ses mauvais résultats. Il faut savoir reconnaître les points forts de son enfant. En plus d'être motivant, cela augmente son estime de lui-même et lui permet d'avoir plus confiance en lui et d'avancer.
L'une des principales clés de réussite, c'est de définir ce qu'est la réussite pour vous. En sachant ce que vous voulez atteindre, ce à quoi vous aspirez, vous allez plus facilement construire vos étapes et débloquer les clés pour vous y amener.
La réussite scolaire représentant une nécessité pour certains, elle peut être source de pression et de conflits entre les parents et leurs enfants lors des devoirs. Qui plus est, beaucoup de parents éprouvent des difficultés à comprendre les devoirs des enfants et donc à les accompagner de manière adéquate.
Cette fois, nous nous intéressons, plus particulièrement, à l'influence exercée par trois facteurs sur la performance individuelle des élèves : l'état d'esprit et les attitudes des élèves par rapport à l'école, les pratiques pédagogiques et le recours aux technologies de l'information.
Réussir scolairement c'est donc être capable de réussir ce que réussissent le plus grand nombre d'élèves d'un même niveau scolaire en termes de curriculum (CP, CE1, CM2, 6e, etc.).
Difficultés durables, troubles des apprentissages, estime de soi et confiance en soi fragile, défaut de motivation, difficultés familiales. Autant de facteurs qui jettent parfois un peu d'ombre au tableau des résultats des élèves et peuvent rendre le parcours scolaire chaotique.
Elle est considérée comme l'un des meilleurs moyens d'améliorer la qualité de vie et de réduire les inégalités sociales. Des études scientifiques ont d'ailleurs démontré l'impact significatif de l'éducation sur nos compétences cognitives, nos résultats économiques, notre santé et même notre bien-être émotionnel.
L'enfant doit sentir que ses parents accordent de l'importance aux apprentissages qu'il réalise à l'extérieur du contexte familial. Mais, il doit également prendre conscience que les devoirs et les leçons relèvent de sa responsabilité propre et non celle de ses parents.
Plusieurs facteurs influencent l'apprentissage, notamment le style d'apprentissage, la motivation intrinsèque et extrinsèque, les stratégies cognitives, les émotions, les stratégies métacognitives, les expériences et les connaissances antérieures, le niveau d'implication, l'hérédité, le genre, la personnalité et l'âge ...
La réussite est un état d'esprit avant d'être une norme sociale : elle correspond à un sentiment de satisfaction de soi. Lorsque l'on manque d'assurance, on n'a jamais l'impression de réussir, on a une mauvaise opinion de soi.
L'élève idéal, c'est celui qui répond juste aux questions de la maîtresse, qui a de très bonnes notes et un air très appliqué, parce que l'école, attention, c'est du sérieux !
Le bon élève est attentif et concentré. Il en donne les signes : les mains sur la table, le regard fixe tourné vers le professeur, il ne crayonne pas sur une feuille de papier et ne joue pas avec son stylo. Le bon élève est toujours souriant, de bonne humeur ; mais pas trop, s'il rit, il devient un élève perturbateur.
En ce qui concerne le rendement scolaire, ils arrivent à la conclusion que le climat social de l'école et les caractéristiques socio-économiques des étudiants sont les facteurs qui influencent le plus leur réussite.
La notion de réussite scolaire renvoie à l'origine et au sens sociologique du terme à la question de l'égalité des chances, notamment les années 50, 60. La problématique est alors « réorganisée » dans les années 60,70 pour viser surtout les performances scolaires de l'élève.
L'environnement familial des élèves a une influence sur leur parcours scolaire, l'acquisition de connaissances, ainsi que le niveau de diplôme en sortie du système éducatif. Les conditions de vie des parents, leurs ressources économiques et culturelles, sont plus ou moins favorables à la réussite scolaire.
Le premier secret de la réussite est de vous focaliser sur ce que vous voulez. Cela signifie prendre la décision de réussir et rester concentré sur votre but. Vous gardez à l'esprit que ce que vous voulez est votre priorité. Pour moi, l'une des plus grandes causes d'échec est d'oublier ce que vous voulez.
Au travail: célébrez chacune de vos victoires ainsi que celles de vos collègues. Cela renforcera l'équipe ainsi que sa motivation. Dans votre vie personnelle: focalisez-vous sur les bonnes choses de la vie quotidienne, appréciez-les et exprimez votre reconnaissance.
D'après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, l'attention favorise l'apprentissage. Elle accélère même les enseignements. Dompter son attention et sa concentration permet donc de mieux intégrer les nouveaux apprentissages.