Dans la langue soignée, il vaut mieux éviter l'expression « qu'est-ce qui (ou qu'il) ». Grevisse, dans le Bon usage, précise : « Qu'est-ce qui est remplacé par ce qui », en donnant l'exemple suivant : « Qu'est-ce qui se passe —> Dites-moi ce qui se passe ».
Bonjour, "Qu'est-ce qui t'arrive ?" est parfaitement correct. Quelque chose est en train de t'arriver. "quelque chose" est le sujet réel, on peut donc parfaitement dire "qu'est-ce qui t'arrive".
Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
Qu'est-ce que est la tournure servant à introduire une question posée directement. La phrase se termine alors par un point d'interrogation. Qu'est-ce qu'il attend de cette rencontre ? Qu'est-ce vous voulez boire ?
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
« Fais ce qui te plaît » : fais ce qui te donne ou te donnera du plaisir. En revanche, « Fais ce qu'il te plaît » sous-entend l'infinitif du verbe précédent : Fais ce qu'il te plaît de faire. Mais dans les deux cas on veut dire : Fais ce que tu voudras.
- Est-ce que est la tournure réservée à l'interrogation directe, c'est-à-dire au cas où l'on pose directement une question sans la rapporter, sans la faire dépendre d'un autre verbe, d'un autre terme. Est-ce que vous avez compris ? Est-ce que je ne perds pas mon temps ?
La réponse simple. On écrit toujours « est-ce que ».
Qu'est-ce que est une expression qui sert à poser une question. Elle s'écrit toujours avec un trait d'union dans est-ce . Dans qu'est-ce que , on trouve le verbe être conjugué à la troisième personne du singulier, son sujet est ce . Mais ils ne sont pas dans l'ordre habituel, c'est : le sujet et le verbe sont inversés.
Les deux sont possibles. Dans la première « qui » pronom relatif mis pour « main » est sujet de « reste », danns le seconde « qu' » ou « que » pronom relatif ms pour main est COD de « il reste ».
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
On utilise ce qui, ce que ou ce dont pour exprimer la chose qui, la chose que, la chose dont. (Elle ne comprend pas la chose qui se passe). (Tu ne sais pas la chose que tu perds).
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » . Exemples : Renseigne-toi sur ce qu'il s'est passé.
Les tournures correctes sont Qu'y a-t-il (que je ne trouve pas du tout pompeux) et Qu'est-ce qu'il y a, plus familier.
On écrit : « ce qui se passe » ou « ce qu'il se passe ». Les deux formes sont acceptées et elles sont interchangeables.
Qu'est-ce que : en début de phrase, pour poser une question. Qu'est-ce que tu penses de lui ? Mais qu'est-ce qu'on attend ? Ce que : après un verbe.
« il » 'et « ce » sont les sujets apparents. . La proposition qui suit est sujet réel. « Il » est un pronom impersonnel. « ce » semble* remplir la même fonction ici.
Contraction de "que" et "est-ce" visant à introduire une question posée directement. La phrase se terminera systématiquement par un point d'interrogation. Exemple : Qu'est-ce que tu vas faire aujourd'hui ?
1. Personne, acte considérés comme un modèle servant de référence à une conduite : Il n'a pas suivi le mauvais exemple de ses prédécesseurs. 2. Ce qui constitue une leçon, comporte un effet dissuasif : Que cet accident vous serve d'exemple.
On l'emploie quand on écrit tu es le bienvenu , tu es sûre ? , tu n'es pas obligé , est-ce que tu es disponible ? Quand on inverse l'ordre du sujet et du verbe dans une question, le verbe garde la même orthographe. On ajoute seulement un trait d'union entre les deux mots : on écrit es-tu .
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait »
Dans la phrase il t'attend , le verbe attendre est conjugué au présent et son sujet est il , troisième personne du singulier. Dans ce cas, le verbe ne prend pas la terminaison s . On conjugue j'attends , tu attends , il attend : comme on le voit, il n'y a qu'avec je et tu qu'on met un s .