Un black-out est un effondrement de la totalité du réseau électrique qui peut être la conséquence d'une pénurie s'étant aggravée ou d'un problème technique imprévu. Le délestage est une mesure prise par le gouvernement fédéral en cas de pénurie d'électricité.
Boire rapidement beaucoup d'alcool entraîne des pertes de mémoire ponctuelles aussi appelées « trou noir » ou « black-out ». Le cerveau perd temporairement sa capacité à enregistrer les souvenirs même si on continue à agir et parler tout à fait normalement.
Éviter un blackout, c'est simple ! Il suffit de ne pas boire de trop grandes quantités d'alcool rapidement, de manger et d'alterner avec des boissons non alcoolisées.
Des études de cas ont montré que les informations oubliées lors d'un trou noir peuvent être récupérées par l'utilisation de l'hypnose. Le traitement de l'alcoolisme par hypnose est sans équivoque. Non seulement il permet de retrouver la sobriété mais aussi de se réparer.
A quoi sont-elles dues ? Les études montrent que l'alcool perturbe fortement l'hippocampe, cette zone cérébrale qui joue un rôle de premier plan dans les processus de mémorisation. Le sujet vit des informations que son cerveau ne peut plus encoder pour les stocker sous forme de souvenirs à long terme.
Les troubles de la mémoire entraînés par l'alcool
En cas de consommation excessive d'alcool, la personne réfléchit plus lentement, a des difficultés d'orientation et voit ses capacités d'adaptions diminuer. Ces troubles de la mémoire sont en partie dus à une mauvaise absorption de la vitamine B1, réduite par l'alcool.
Passez en revue vos habitudes et modifiez celles qui vous incitent à boire de l'alcool. Privilégiez les activités où vous n'allez pas être tenté de boire. Retardez le premier verre en commençant par des boissons non alcoolisées. N'oubliez pas de boire régulièrement de l'eau et de manger pendant vos soirées.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Symptômes : «sensation de malaise» général, fatigue, mal de tête, «bouche sèche», nausées, envies de vomir, vertiges, hypersensibilité aux stimulations, et parfois aussi: angoisses, mélancolie, culpabilité et remords («je ne boirai plus jamais»).
L'alcool favorise la graisse du ventre
Beaucoup de personne ignorent cela, mais l'alcool est grand facteur de prise de graisse superflue au niveau du ventre. La consommation de l'alcool favorise grandement l'accumulation des graisses au niveau de l'abdomen surtout chez les grands consommateurs de bière.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
L'aspect physique peut aussi vous apporter des indications supplémentaires. Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Cette dépendance se manifeste à travers des symptômes physiques de manque quand vous ne consommez pas (tremblements, sueurs, crises de tachycardie, hypertension, nausées, vomissements), mais elle est aussi psychologique, au point de ne plus arriver à vivre sans l'alcool.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Que sont les démences alcooliques ? La plus connue est le syndrome de Wernicke-Korsakoff (SWK), une maladie neurodégénérative causée par une grave carence en vitamine B1 qui endommage certaines régions du cerveau.
1. Obscurcissement total utilisé comme mesure de défense antiaérienne. 2. Silence volontaire observé sur une information : Faire le black-out sur un scandale.
La modification du comportement de la personne va augmenter les conflits, la violence verbale et/ou physique, les comportements à risque. L'agressivité ou des comportements inappropriés sont plus souvent exprimés car l'alcool désinhibe.
L'asaret est généralement utilisé comme émétique (qui provoque des vomissements). Grâce à son odeur nauséabonde d'éthanol, il donne une sensation de dégout de l'alcool. L'asaret provoque non seulement des nausées en contact avec l'alcool, mais comme les autres remèdes de grand-mère.
Il se pourrait que l'alcool cause chez vous une hypoglycémie, c'est à dire une baisse du taux de sucre dans le sang. Les symptômes sont les sueurs, les tremblements, des palpitations, de la faim, etc. Pour éviter cela, modérez votre consommation d'alcool et ne buvez surtout pas en étant à jeun (estomac vide).
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
De plus, l'effet désinhibiteur et dépresseur de l'alcool fait en sorte que certaines personnes finissent justement par exploser en libérant les émotions qu'elles refoulent depuis des mois, voire des années. C'est pour cela que l'on voit plusieurs personnes devenir très émotives ou agressives sous l'effet de l'alcool.
Cernes gonflés, teint gris, rougeurs… autant de petits désagréments qui, à terme, laissent des marques visibles sur notre visage. Le bon geste en cas d'excès : l'eau est toujours la meilleure amie des excès. Par ailleurs, put opter pour une monodiète ou des jus detox pendant une journée afin de purifier son organisme.
L'alcool est un cancérogène avéré pour l'homme (groupe 1 du CIRC). Les cancers dont le lien avec la consommation d'alcool est avéré sont les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) , de l'œsophage, du foie, du sein chez la femme, et le cancer colorectal (WCRF/AICR, 2018).