La sténose de l'urètre est une pathologie qui touche près de 0,5 % des hommes. Les causes sont multiples : traumatisme du périné, interventions chirurgicales endoscopiques, sondage traumatique, lichen scléroatrophique, séquelle d'hypospade, mais dans plus de la moitié des cas aucune cause n'est retrouvée.
Pour soulager rapidement et efficacement, une seule solution : vider la vessie par la pose d'une sonde urinaire ou d'un cathétérisme sus pubien (petit tuyau placé sous anesthésie locale à travers la paroi abdominale dans la vessie, relié à une poche collectrice) provisoire ou maintenu pendant plusieurs jours.
L'urétrite est une infection de l'urètre, le canal qui véhicule l'urine de la vessie vers l'extérieur de l'organisme. Les bactéries, y compris celles qui sont sexuellement transmissibles, constituent la cause la plus fréquente de l'urétrite.
En général, les premiers symptômes qui apparaissent en cas de sténose sont un ralentissement du débit de la miction et une miction incomplète. Ces manifestations obligent souvent le patient à pousser et à faire des efforts pour uriner.
Boire beaucoup d'eau permet de laver la vessie et de nettoyer l'urètre. Entretenir une bonne hygiène assure l'élimination des microbes. S'essuyer vers l'arrière après la selle est très important : cela évite de transporter les germes vers l'urètre. L'hygiène intime, si elle doit être régulière, doit aussi rester douce.
Une urétrographie permictionnelle est un examen radiographique qui consiste à visualiser l'urètre grâce à un produit opacifiant. Elle permet à l'urologue d'apprécier le siège et la longueur de la sténose ce qui peut déterminer le type de geste thérapeutique possible.
Les urétrites sont la manifestation la plus fréquente des infections sexuellement transmises (IST). La transmission de l'agent ou des agents pathogènes se fait par contact avec le pénis, le vagin, la bouche ou l'anus d'une personne infectée, même asymptomatique.
Une sensation de brûlure ou une douleur à la miction est typiquement provoquée par une inflammation de l'urètre ou de la vessie. Chez les femmes, une inflammation du vagin ou de la région située autour de l'ouverture vaginale (vulvovaginite Vulvite La vulvite est une inflammation de la vulve.
La sténose de l'urètre est une pathologie qui touche près de 0,5 % des hommes. Les causes sont multiples : traumatisme du périné, interventions chirurgicales endoscopiques, sondage traumatique, lichen scléroatrophique, séquelle d'hypospade, mais dans plus de la moitié des cas aucune cause n'est retrouvée.
Des difficultés à uriner, des troubles de l'érection, un problème de fertilité : une consultation chez l'urologue peut s'avérer nécessaire. Ce médecin est en effet le spécialiste de l'appareil urogénital masculin.
La sténose urétrale est une cicatrisation qui restreint l'urètre. Une sténose urétrale peut être : Présente à la naissance. (Voir aussi Présentation des malformations congénitales des reins et des voies urinaires.)
Ne pas pousser : la vidange de la vessie doit se faire en douceur pour ne pas abîmer le périnée ; Vider complètement la vessie : lorsqu'une vessie ne se vide pas complètement, les germes présents dans la région peuvent proliférer et entraîner une infection urinaire.
Une envie pressante et récurrente d'uriner et des douleurs à la miction sont les symptômes typiques de la cystite. Les symptômes de la cystite microbienne de la femme surviennent brutalement : Envie fréquente d'uriner, mais peu d'urines évacuées à chaque tentative. Brûlures en urinant et après.
On parlera plutôt de boissons à privilégier comme une eau riche en bicarbonates voire additionnée de pur jus de citron pour alcaliniser le pH des urines. Le citron aura une vertu antibactérienne non négligeable même si la quantité utilisée est faible.
Le traitement par antibiotique est le traitement de choix de l'infection urinaire. Les antibiotiques restent le seul traitement réellement efficace contre l'infection urinaire. Il existe un traitement monodose de l'infection urinaire qui agit très rapidement pour calmer les symptômes.
1/ Buvez beaucoup d'eau ! Pourquoi ? Parce que la solution la plus simple, c'est d'évacuer les bactéries de la vessie en urinant. En plus, le fait de boire de l'eau permet de diluer l'urine ; quand elle est moins concentrée, les sensations de brûlures sont réduites.
Buvez un grand verre de jus de cranberry (240 ml) par jour. Une étude récente a en effet montré que cette consommation pendant 24 semaines d'affilée réduit les infections urinaires de 40 %. Ce qui serait un bon moyen de diminuer la prise d'antibiotiques, et donc l'apparition de bactéries résistantes.
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
L'urétrite chez l'homme est une inflammation de l'urètre. Elle est le plus souvent d'origine infectieuse, provoquée par une infection à gonocoque, Chlamydia ou Trichomonase. Dans de plus rares cas, l'urétrite a une origine non-infectieuse.
Cet examen n'est pas douloureux si le patient est détendu. En effet, le fait d'être détendu permet l'introduction quasi indolore de l'endoscope. En général, le médecin donne ses observations directement au patient.
Quels sont les risques de la cystoscopie ? La cystoscopie présente un risque d'infection urinaire. Des picotements et des envies fréquentes d'uriner peuvent aussi être ressentis dans les heures suivantes. Il peut également y avoir un peu de sang dans les urines durant quelques jours.
Lorsqu'il s'agit d'un endoscope souple en fibres optiques, on parlet également de « fibroscopie vésicale ». L'examen dure quelques minutes. Le patient peut ensuite se rhabiller et quitter l'établissement. Bien que parfois ressentie comme désagréable, la cystoscopie n'est habituellement pas qualifiée de douloureuse.
3. Le citron. Acide et donc irritant pour la vessie, le citron – tout comme les autres agrumes — vous donnera envie d'aller aux toilettes.