Phytosome de curcuma. La curcumine possède un effet antidépresseur naturel. Son action a été jugée aussi bonne que certains antidépresseurs (fluoxétine) lors d'une étude sur des patients présentant une dépression modérée.
Pour traiter les cas de dépression, on utilise surtout des comprimés contenant 30 mg de safran. Elle peut également s'utiliser en teinture mère, 50 gouttes matin et soir diluées dans une infusion de mélisse.
Phytothérapie : le Millepertuis, pour retrouver la joie de vivre.
Comment les antidépresseurs détraquent votre cerveau
Et lorsqu'ils se connectent, ils se transmettent des « messagers chimiques », comme la sérotonine, impliquée dans la gestion de l'humeur, ou la noradrénaline, impliquée dans la gestion du stress.
Proposez-lui de faire des activités seul (e) ensemble, sans insister. Écoutez-le, même si son discours est toujours le même. Offrez-lui de petites attentions. Valorisez ses efforts même si cela vous paraît minime et soulignez les améliorations de son état.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
Idéalement il faut déjà commencer par s'alimenter suffisamment et correctement, avec des produits frais, bien dormir, au besoin en s'aidant de la passiflore pour un bon sommeil, et pratiquer une activité physique pour soutenir son moral. Prendre soin de soi cela veut aussi dire avoir recours aux aides disponibles.
Au cœur de la dépression, c'est la régulation émotionnelle qui est atteinte, mais toutes les autres fonctions révèlent également des difficultés à travers les symptômes. Les émotions, changements d'humeur, pensées, perceptions et comportements sont tous liés à l'activité des cellules nerveuse de notre cerveau.
La dépression sévère mélancolique (niveau le plus élevé de dépression) : forme très douloureuse, avec perte d'intérêt total pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d'estime de soi, autodépréciation constante…
La durée d'un premier épisode dépressif est variable (de quelques semaines à plusieurs mois). La plupart des épisodes dépressifs dure moins de six mois. Si l'épisode dépressif est isolé, on parle de guérison.
La Griffonia est une plante qui contient un dérivé de L-tryptophane, une molécule synthétisée par l'organisme et qui intervient dans la synthèse de la sérotonine, hormone dite de la "bonne humeur". En cure sous forme de gélules ou de comprimés, elle contribue à l'amélioration de l'humeur et à la réduction du stress.
Les antidépresseurs n'entraînent pas ces effets secondaires. Comme tout traitement, ils peuvent cependant en générer d'autres, tels que prise de poids, troubles digestifs ou troubles cardiaques. Ces effets, bien connus avec les molécules utilisées depuis une vingtaine d'années, sont surveillés.
La dépression est une maladie qui se soigne et se guérit. La prise de médicaments antidépresseurs peut accélérer la guérison. Ces médicaments sont plus efficaces si vous suivez en même temps une psychothérapie. Beaucoup croient faussement qu'il faut choisir entre psychothérapie et médicament.
La dépression résulte d'une interaction complexe de facteurs sociaux, psychologiques et biologiques. Les personnes qui ont vécu des événements difficiles dans leur vie (chômage, deuil, traumatismes) sont davantage susceptibles de développer une dépression.
En effet, la baisse de moral des personnes souffrant de dépression engendre des déficits neurocognitifs. Les déficits les plus communs sont : la mémoire, la concentration et l'attention. Une étude récente a mis en lumière la présence d'altérations neurocognitives chez les patients dépressifs et chez les cas témoins.
La maison de repos pour dépression est un établissement psychiatrique de soins médicalisé qui assure la poursuite des soins de suite et de réadaptation (SSR) pour chaque patient. C'est en sortie d'hospitalisation, généralement, que la prise en charge s'effectue.
Dans la dépression, les risques de rechute sont importants, surtout si le traitement n'a pas été correctement suivi lors du premier épisode dépressif. Dans la moitié des cas, la rechute survient dans un délai de deux ans. Elle peut être évitée par un traitement à long terme et le suivi régulier d'une psychothérapie.
Une psychothérapie pour aller en profondeur
En fonction de la personne, de son histoire, de l'importance de la dépression, il faudra envisager une thérapie comportementale, cognitive (TCC) qui permet – en principe – de transformer ruminations et pensées négatives en pensées positives.
Première étape : repérer ces signes et se rendre compte qu'on ne va pas bien. Sans ça, on ne peut pas résoudre le problème. Deuxième étape : si l'on y arrive : identifier la ou les causes du mal-être. Ça permet d'expliquer aux autres ce qui ne va pas et voir sur quoi il faut agir pour améliorer la situation.
Quand le quotidien s'enlise, que les objectifs deviennent flous et que l'on manque d'entrain, comment retrouver l'envie d'avancer ? En se fixant des objectifs qui nous enthousiasment. Et pour cela, il faut commencer par savoir vraiment ce qui nous motive, au plus profond de nous.