L'expression désigne les émanations gazeuses et gaz chimiques dont l'inhalation procure une sensation d'euphorie (un « high »). La majorité de ces substances, dont la colle, l'essence, les solvants de nettoyage et les aérosols, sont des produits d'usage courant, non destinés à la consommation humaine.
Les amphétamines et la méthamphétamine
Plus marginaux, certains consommateurs choisiront de s'injecter la drogue, ou encore d'inhaler ses vapeurs, particulièrement dans le cas de la méthamphétamine sous forme de cristaux, augmentant ainsi les effets de la drogue.
Il s'agit de drogues comme le fentanyl, l'héroïne, l'oxycodone, la codéine, la morphine, l'hydromorphone, les benzodiazépines et l'alcool.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de gaz hilarant, est un gaz d'usage courant stocké dans des cartouches pour siphon à chantilly, des aérosols d'air sec ou des bonbonnes utilisées en médecine et dans l'industrie.
Planer avec de la noix de muscade
La noix de muscade peut avoir des effets psychotropes, principalement à cause de la myristicine qu'elle contient, et dans une moindre moindre mesure, le safrole et l'élémicine.
Planter la seringue, le biseau de l'aiguille vers le haut, dans le sens de la circulation du sang. Faire une tirette (tirer légèrement le piston de la seringue) pour voir si vous êtes dans la veine. Desserrer le garrot AVANT d'injecter. Injecter doucement.
Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
Pour faire plus chic, cela s'appelle aussi « priser » un produit. En entrant dans ton nez, la poudre se dissout presque immédiatement pour pénétrer directement dans le sang direction le cerveau, par les nombreux petits vaisseaux sanguins qui s'y trouvent.
Les trois produits les plus consommés par les adolescents, au potentiel addictogène, sont : le tabac, l'alcool, le cannabis.
Plus connue quand elle se trouve sous la forme d'ecstasy, cette drogue ne détrône pas le cannabis en termes de consommation en Europe, mais elle talonne la cocaïne.
Il peut y avoir un risque de transmission des hépatites et, éventuellement, du VIH en cas de saignement. L'intérieur du nez est tapissé d'un tissu fragile. Des lésions des muqueuses nasales, fréquentes chez les sniffeurs, peuvent constituer des voies de passage pour les virus des hépatites.
La cocaïne est écrasée, mise dans une cuillère à soupe, et ensuite mélangée à de l'ammoniaque ou du bicarbonate de soude. Le tout est chauffé, transformant la cocaïne en forme base solide. Le « caillou » obtenu est ensuite rincé avec de l'eau puis cassé en petits morceaux prêts à être fumés par l'entremise d'une pipe.
Cette voie d'administration est très commune pour les consommateurs de drogue (cocaïne majoritairement) car elle permet parfois un effet plus rapide et une meilleure biodisponibilité centrale, que la voie orale ou la voie intraveineuse (cette dernière présentant, de plus, un risque dans la manipulation des seringues).
Le GHB est un dépresseur du système nerveux central qui cause la somnolence et réduit le rythme cardiaque. Il sert à traiter les troubles du sommeil, mais peut être dangereux en cas d'abus.
La consommation de MDMA est souvent associée un effort physique prolongé comme la danse dans les milieux festifs. C'est pourquoi il est très important de bien penser à s'hydrater régulièrement en buvant de l'eau et en gardant une bouteille avec soi, même si la sensation de soif n'est pas présente.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
Les slameurs sont des poètes des temps modernes. Il faut oser monter sur scène, prendre la parole en public et délivrer des émotions à vos auditeurs. Nécessairement faire de l'argent." Il coupe les phrases à des endroits étonnants, il accélère parfois le rythme, il joue avec les mots de la langue française.
Le slam. Le Slam, c'est la consommation de produits psychostimulants, principalement des cathinones en intraveineuse et en contexte sexuel. Cette pratique est décrite chez les hommes faisant du sexe avec les hommes (HSH).
"Qui n'a jamais essayé de sniffer sa colle d'écolier ?" Ouvrez une banane, mangez-la, puis prenez la peau et grattez l'intérieur (pas uniquement les fils, contrairement à une idée répandue) jusqu'à ce que vous ayez un tas de « moelle » de banane.
Depuis 2016, le fentanyl est la drogue la plus tueuse par overdose aux États-Unis. Au deuxième rang, l'héroïne obtient un score de 45/50. Elle est suivie de l'alcool (41/50), du crystal méthamphétamine ("crystal meth") et du tabac (14/50).
Snorting : Les inhaler par la bouche. Bagging : Les inhaler dans un sac de plastique ou de papier. Huffing : Les inhaler sur un linge ou une guenille imprégné de la substance et placé sur la bouche ou le nez.
Dans la capitale nicaraguayenne, Managua, une drogue fait rage: la colle. Son succès s'explique par son prix bon marché et par la facilité avec laquelle on peut se droguer avec.