"Avant une relation sexuelle, faites quelque chose pour vous sentir sexy et vous donner de l'assurance", conseille-t-elle: prendre une douche, porter des sous-vêtements dans lesquels vous vous sentez beau/belle, ou écouter une chanson sensuelle.
Selon le docteur David Kaufman, uriner avant de faire l'amour est la cause numéro 1 des infections urinaires post-coïtales. Il vaut mieux aller aux toilettes après, afin d'éliminer directement les éventuelles bactéries.
Cela permet de «nettoyer» l'urètre en faisant disparaître les germes qui pourraient le coloniser. Ces microbes sont rarement dangereux ou synonymes d'infection, mais ils peuvent gêner l'analyse du sperme ou compromettre la réussite d'une tentative de fécondation in vitro.
Nul ne sert donc d'uriner avant, puisque l'échange de bactéries a lieu pendant l'acte sexuel. Chez l'homme, un nettoyage du prépuce à l'eau est également recommandée après le coït, afin d'éviter que les petites bactéries s'installent à l'extrémité du pénis.
Hydratez-vous
« Boire de l'eau après un rapport sexuel peut vous aider à vous hydrater et à maintenir votre niveau d'énergie, car la stimulation sexuelle peut certainement épuiser les forces », conseille Sunny Rodgers. « Cela peut aussi aider à éliminer les bactéries des voies urinaires. Buvez à petites gorgées. »
Le sildénafil (Viagra) est souvent préféré parce qu'il peut être pris juste avant l'acte sexuel.
Faire pipi après l'amour n'a rien d'une méthode contraceptive naturelle. Et ce même si vous allez aux toilettes immédiatement après l'éjaculat. Plusieurs raisons à cela. Immédiatement après l'éjaculation, environ 65% des spermatozoïdes commencent déjà à migrer vers le col de l'utérus.
Que ce soit la grenade, le safran ou le café vert, les plantes peuvent aider lors d'une baisse de libido. Le ginseng : Il s'agit d'une plante réputée pour être stimulante et qui pousse en Asie. La maca : Les aztèques l'adorait ! C'est sur le tonus sexuel et la vigueur de l'homme qu'elle aurait un effet.
Tout d'abord, un point commun. Le fait d'obtenir un orgasme en faisant l'amour ou en se masturbant apporte une relaxation immédiate permettant de réduire le stress et l'anxiété. Et dans ces conditions de détente, le sommeil vient plus facilement, pour les deux sexes.
Le système nerveux central est ralenti.
L'alcool inhibe certaines parties du système nerveux central, système qui joue un rôle capital dans l'excitation et l'orgasme via la respiration, la circulation sanguine et la sensibilité des terminaisons nerveuses.
Que ce soit la grenade, le safran ou le café vert, les plantes peuvent aider lors d'une baisse de libido. Le ginseng : Il s'agit d'une plante réputée pour être stimulante et qui pousse en Asie. La maca : Les aztèques l'adorait ! C'est sur le tonus sexuel et la vigueur de l'homme qu'elle aurait un effet.
Faites le plein de vitamine
Bref, moins vous avez de vitamine A dans le corps, moins vous aurez envie d'exprimer votre libido à son plein potentiel! À prioriser dans votre assiette : le saumon, le fromage, la pomme de terre douce, la courge et la carotte.
En effet, le rapport sexuel entraîne toujours une petite remontée de microbes dans l'urètre. Une fois présents, ces microbes ont tendance à remonter jusque dans la vessie, pouvant entraîner des infections urinaires récidivantes. Uriner provoque un effet de nettoyage, refoulant les microbes à l'extérieur.
Rhumes, grippes et infections ont donc une voie royale pour attaquer le corps qui est ainsi privé de sa principale ligne de défense. Autre effet du manque de sexe chez les femmes, les parois du vagin s'amincissent et la lubrification est réduite, notamment pour les femmes en ménopause.
Tout d'abord, un point commun. Le fait d'obtenir un orgasme en faisant l'amour ou en se masturbant apporte une relaxation immédiate permettant de réduire le stress et l'anxiété. Et dans ces conditions de détente, le sommeil vient plus facilement, pour les deux sexes.
L'urine, elle, est expulsée par l'urètre. Ce sont deux « conduits » distincts. Uriner après un rapport sexuel présente tout de même un intérêt : celui de prévenir le risque d'infection urinaire.