avoisinant adj. Situé dans le voisinage ; proche, voisin. avoisiner v.t. Être voisin, proche d'un lieu.
Être voisin, proche d'un lieu : La propriété avoisine la rivière. 2. Ressembler à quelque chose, en être très proche : Son attitude avoisine l'insolence.
Participe présent du verbe avoisiner.
La langue française évolue sans cesse. On cesse d'utiliser certains mots, mais on en crée aussi de nouveaux pour désigner de nouvelles réalités. On peut également donner un nouveau sens à un mot déjà existant. On appelle néologismes les mots nouvellement créés.
étymologie
1. Science qui a pour objet la recherche de l'origine des mots d'une langue donnée, et la reconstitution de l'ascendance de ces mots. 2. Origine ou filiation particulière de tel ou tel mot.
Synonyme : absent, contemplatif, dans les nuages, dans sa bulle, distrait, méditatif, pensif, romanesque, songeur, tête en l'air. – Littéraire : contemplateur.
Synon. je veux dire, disons, à savoir, autrement dit, soit, en d'autres termes. A.
Politesse, affabilité qui charme.
Synonyme : s'apparenter, avoisiner, confiner à, égaler, se rapprocher, ressembler à, rivaliser avec.
Être situé près de, être contigu, attenant à.
mansuétude
Littéraire. Disposition d'esprit qui incline à une bonté indulgente : Faire preuve de mansuétude à l'égard d'un coupable.
Synonyme : stupéfiant. – Argotique : chnouf, coke, crack, dope, schnouf, schnouff. – Familier : hasch.
Le contraire du contraire est identique. Il s'agit tout simplement d'un synonyme.
Contraction de "que" et "est-ce" visant à introduire une question posée directement. La phrase se terminera systématiquement par un point d'interrogation. Exemple : Qu'est-ce que tu vas faire aujourd'hui ?
Définition "rêveuse"
n. Personne guidée davantage par l'idéal que par des considérations pratiques. Personne qui idéalise. Utopique, rêveur.
Modification de l'état de veille d'une personne, la rêverie est une sorte de rêve éveillé (rêve diurne) qui se traduit par un détachement mental transitoire de son environnement réel immédiat.
1. Se dit de quelqu'un qui fait, qui a fait un rêve pendant son sommeil. 2. Qui se laisse aller à la rêverie, qui se complaît dans des pensées vagues ou chimériques : Garçon rêveur.
Du latin ecclésiastique dies dominicus «jour consacré à Dieu, au repos», le mot dimanche est selon le CNRTL d'abord apparu dans le calendrier sous les formes didominicu puis diominicu par «dissimilation consonantique».
Du nom Bébé donné en 1747 par le roi Stanislas Leszczyński à un nain qu'il avait comme bouffon, ou de bab-, issu de babiller, babine et sous l'influence du mot anglais baby. Le terme bébé n'a pas été utilisé en français avant le XX e siècle. Avant, on disait « nouveau-né », « nourrisson », voire « enfançon ».
De l'espagnol chocolate , traditionnellement supposé tiré du nahuatl xocolātl (« eau amère »).
Relatif à l'iconoclasme ; partisan de l'iconoclasme. 2. Qui est ennemi de toute tradition, qui cherche à faire disparaître tout ce qui est le passé.