En bactériologie, le clone désigne une population de bactéries qui descendent toutes de la même cellule. Dans une boîte de Petri, au laboratoire, le clone forme une colonie facilement repérable sur un milieu de culture solide.
Le gène est inséré dans le plasmide et ce dernier est introduit dans une bactérie, comme Escherichia coli. Les bactéries portant le plasmide recombiné sont clonées : le clone bactérien portera un grand nombre de copies du gène d'intérêt porté par le plasmide.
1. Être vivant engendré par un parent unique, sans sexualité (c'est-à-dire par reproduction végétative ou asexuée) et par conséquent identique, d'un point de vue génétique, à son parent.
Un clone est un individu génétiquement identique à un autre, mais c'est aussi un ensemble d'individus génétiquement identiques. Une bactérie qui réplique un morceau d'ADN fait du « clonage de gènes ». Les vrais jumeaux (« jumeaux monozygotes ») sont des clones naturels : ils sont génétiquement identiques.
On distinguera deux types différents de clonages : -Le clonage reproductif : son but est de créer entièrement un individu identique à la base à un autre individu, mais qui pourrait se développer de manière différente. -Le clonage therapeutique qui consiste à reproduire des cellules distinguées aux fonctions précises.
Malformations, vieillissement et mort prématurés, utilisation de femmes comme cobayes et dérives mercantiles, le clonage d'un bébé humain comporte risques médicaux et éthiques, selon les spécialistes.
Le clonage est un nouvel outil très utile pour étudier le développement précoce de l'embryon, ou la différenciation cellulaire et ses dérèglements, à l'origine des cancers.
Le but du clonage n'est pas de modifier le génome, mais de le transmettre d'une façon qui ne nécessite pas la reproduction sexuée et qui génère des individus identiques présentant les mêmes caractéristiques que leur (unique) parent.
De plus à la naissance le clone développe souvent de nombreux problème immunitaires et cardiaques à la naissance l'espérance de vie d'un clone est donc limitée. Enfin le clonage pose des problèmes éthiques dans la mesure où le clone est souvent considéré comme un objet pour des expériences.
Il est possible qu'on ne puisse jamais cloner un être humain, a-t-il ajouté. Il ressort en effet du clonage des animaux qu'il est très difficile d'arriver à un clone en bonne santé. Parmi les animaux qui naissent de cette façon, beaucoup sont malades et meurent prématurément.
Souvenez-vous, c'était le 5 juillet 1996. Le Dr Ian Willmut et son équipe de l'Institut Roslin à Edinburgh annonçaient la naissance du premier mammifère cloné à partir de cellules adultes.
La limite scientifique se situerait plutôt dans l'âge des organes des clones : les clones ont en quelques sortes le « même âge » que leurs parents. Cela ne provoque pas le décès des animaux mais des douleurs intenses au niveau de certains organes et des articulations.
En Corée du Sud, l'équipe du professeur Hwang Woo-Suk est la première à cloner un embryon humain pour la recherche scientifique en février 2004. Ces résultats ont été partiellement contestés en décembre 2005 par une étude indépendante, une partie des résultats ayant été falsifiée.
Le pouvoir invasif est la capacité de la bactérie à se répandre et à se multiplier dans les tissus de l'hôte, soit par un processus d'endocytose permettant leur pénétration intracellulaire, soit pour certaines bactéries en passant entre les cellules des muqueuses afin de coloniser la lamina propria sous-jacente.
La reproduction, toujours asexuée chez les bactéries, peut se faire de deux manières : par multiplication des cellules ou scissiparité, chaque cellule se divisant par cloisonnement en deux autres cellules qui s'allongent en restant unies et constituent des chaîne ou bâtonnets plus ou moins allongés, ou bien se séparent ...
Ce type de reproduction produit des clones, c'est-à-dire des individus qui possèdent exactement le même patrimoine génétique que le parent unique dont ils sont issus. On peut définir la reproduction asexuée comme étant un clonage naturel.
Il y a 20 ans, le 5 Juillet 1996, naissait Dolly, la brebis mondialement connue, que des chercheurs écossais, Keith Campbell et Ian Wilmut, avaient obtenue par clonage. C'était une grande première : un mammifère naissait sans qu'il y ait eu fécondation d'un ovule par un spermatozoïde.
— L'utilisation du clonage pour reproduire des êtres humains «n'est pas acceptable sur le plan éthique car elle violerait certains des principes fondamentaux de la procréation médicalement assistée», selon le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, le Dr Hiroshi Nakajima.
Après le Royaume-Uni en janvier 2001, le Corée du Sud a autorisé le clonage thérapeutique en décembre 2003. En février dernier, des scientifiques de la péninsule affirmaient être les premiers au monde à avoir réussi à cloner un embryon humain pour la recherche sur les cellules souches.
Les vrais sosies, les «monozygotes» –issus d'une même cellule oeuf– représenteraient 0,35% des naissances à l'échelle sur la planète. La probabilité de rencontrer un clone génétique de soi sans lien de parenté est infime, pour ne pas dire inexistante.
Un clone est un individu génétiquement identique à un autre, mais c'est aussi un ensemble d'individus génétiquement identiques. Une bactérie qui réplique un morceau d'ADN fait du « clonage de gènes ». Les vrais jumeaux (« jumeaux monozygotes ») sont des clones naturels : ils sont génétiquement identiques.
Le but consiste à faire une extraction rapide de l'ADN du plasmide (ADN plasmidique) afin de faire une analyse par digestion via les enzymes de restriction et la séparation par électrophorèse. Les digestions servent à vérifier un clone et/ou établir une carte de restriction.
Le clonage thérapeutique rencontre davantage de soutien, mais divise encore la communauté internationale. Il permettrait en particulier de guérir certaines maladies dégénératives, comme celles de Parkinson ou d'Alzheimer, et de procéder à des greffes sans risque de rejet du receveur.
STATUT SOCIAL. Le clonage reproductif humain remet en cause les notions-même de famille, d'hérédité, de paternité/maternité, de reproduction sexuée etc. En effet, un clone ne pourrait être considéré ni comme le fils, ni comme le frère de ce donneur, ni comme le donneur lui-même.