Le contrôle technique volontaire. Le contrôle technique volontaire est effectué spontanément par un propriétaire qui souhaite vérifier l'état de son véhicule entre 2 contrôles techniques périodiques. En revanche, il ne se substitue en aucun cas au contrôle technique périodique à effectuer tous les deux ans.
Le prix moyen du contrôle technique est de 78,52 €, d'après notre baromètre 2022. Les écarts de prix varient énormément, de 45 € à 120 € selon le centre de contrôle technique choisi.
En 2022, comptez en moyenne 78,52 € le contrôle technique pour un véhicule "classique" (essence ou diesel), un prix "quasiment stable depuis mai 2019", note les auteurs de l'étude. Il existe néanmoins quelques disparités de tarifs, surtout entre les départements, et ce même pour une prestation identique.
La première condition est liée au gérant du centre de contrôle. Il doit justifier soit : D'une formation d'une durée de 35 heures, dispensée par un organisme de formation reconnu par les pouvoirs publics ; Du suivi d'une formation permettant la qualification de contrôleur technique.
Pour bénéficier de la gratuité, il faut remplir un questionnaire et transmettre un certain nombre de copies de documents (permis de conduire, carte grise, certificat d'assurance carnet d'entretien, dernier PV de contrôle technique, factures des réparations…).
Validité nulle : Interdit à la circulation
Un certificat de contrôle technique rouge, dit 'Interdit à la circulation', est délivré lorsque votre véhicule présente une ou plusieurs défaillances graves qui mettent en péril la sécurité immédiate de ses occupants ou des autres usagers de la route.
Avec une enveloppe globale initiale comprise entre 350 000 et 450 000 €, il est possible de viser un chiffre d'affaires de 1 200 000 € après deux ans. Pourquoi de tels écarts dans les prix ? Car chaque enseigne à ses propres contraintes et ses exigences notamment en termes de choix du local.
Salaires. Autour de 1 500 € brut par mois pour un contrôleur technique débutant (selon la région, le centre de contrôle et la qualification).
Toute personne issue ou non du secteur automobile peut envisager l'ouverture d'un centre de contrôle technique automobile. Dans certains cas, une formation de gérant exploitant, sera exigée par l'administration afin d'obtenir l'agrément pour l'installation de contrôle.
Non il n'existe aucune tolérance, c'est la mauvaise nouvelle . Par contre les Forces de l'ordre peuvent vous verbaliser voir immobiliser le véhicule.
Souvent offerte avant la réforme du 20 Mai 2018, la contre-visite est désormais bien souvent facturée. Une contre-visite « simple », nécessitant un simple contrôle visuel, coûtera entre 10€ et 15€ en moyenne. Une contre-visite « étendue », nécessitant un passage sur machine, sera généralement facturée entre 20€ et 35€.
La durée de validité du contrôle est de un an ; les véhicules auto-école doivent effectuer le contrôle quatre ans après la date de première mise en circulation. Sa durée de validité est de deux ans.
Selon une étude interne DEKRA Automotive réalisée entre janvier et octobre 2020, le prix moyen (TTC) du contrôle technique périodique dans nos centres est de 78 euros. A noter que le prix moyen varie selon le type d'énergie contrôlée : Véhicule essence ou diesel : 78 euros. Véhicule électrique ou hybride : 80 euros.
Cette hausse est liée à l'augmentation du nombre de points de contrôle passant de 124 à près de 132 et couvrant 606 défaillances. Les centres auront donc une charge de travail supplémentaire et les contrôles dureront plus longtemps.
- 175 heures pour les titulaires d'un CAP avec 2 ans d'expérience professionnelle, et pour les personnes sans diplôme avec 5 ans d'expérience professionnelle. La formation spécifique peut déboucher sur un CQP (certificat de qualification professionnelle) ou sur un titre professionnel reconnu de contrôleur technique.
Si vous ne possédez pas un de ces diplômes agréés, vous pouvez préparer un dossier de VAE – Validation des Acquis de l'Expérience. 2 ans d'expérience de pratique de l'expertise au sein d'un cabinet + formation diplômante d'expert en automobile (unité C du DEA).
Un métier d'avenir, où on évolue
Fort d'un développement permanent, le secteur du contrôle technique automobile garantit la sécurité de l'emploi et vous permet d'envisager sereinement votre évolution professionnelle, la reprise ou la création de votre propre centre de contrôle automobile.
Comment devenir contrôleur technique ? Pour exercer ce métier, il est obligatoire de suivre une formation spécifique (environ 9 semaines) et d'obtenir l'agrément de la préfecture. Des études au préalable sont conseillées pour accéder à ce stage de formation au métier de contrôleur technique automobile.
Depuis 2018, les conditions d'accès à la profession ont évolué : les contrôleurs techniques doivent justifier d'un diplôme – ou équivalent – de niveau IV (baccalauréat professionnel maintenance de véhicules) ou de niveau III (diplôme d'expert automobile, brevet de technicien supérieur après-vente automobile).
Un diplôme de niveau III du ministère de l'éducation nationale qui vous qualifie d'expert en automobile ou d'un (BTS) après-vente automobile option véhicules particuliers ou véhicules industriels.
En effet, si les forces de l'ordre contrôlent votre véhicule et constatent un défaut de contrôle technique, vous devrez payer une contravention et votre véhicule pourra être immobilisé le temps de fournir un certificat de contrôle technique valide. L'amende forfaitaire de ce type d'infraction est de 135 euros.
Si l'assuré subit un accident de la route sans en être personnellement responsable, il est indemnisé par l'assurance auto du conducteur incriminé dans l'accident, et ce, même si le contrôle technique de son véhicule est dépassé. En revanche, seul le mauvais état du véhicule peut être à l'origine de l'accident.
Elle peut vous valoir une amende de 4ème classe soit : Une amende forfaitaire de 135€ Une amende minorée de 90€ (si payée dans les 3 jours) Une amende majorée de 375€ (si retard de paiement)