Les déficits immunitaires primitifs (DIP) sont un ensemble de plus de 200 maladies dues au dysfonctionnement de certaines composantes du système immunitaire (principalement les cellules et les protéines).
Les déficits immunitaires primitifs se manifestent généralement au cours de la petite enfance et de l'enfance par des infections anormalement fréquentes (récidivantes) ou inhabituelles. Environ 70% des patients ont < 20 ans au début des troubles; car la transmission est souvent liée à l'X, 60% sont de sexe masculin.
Symptômes des déficits immunitaires. Les personnes atteintes d'un déficit immunitaire ont tendance à contracter des infections à répétition. Généralement, les infections respiratoires (telles que les infections des sinus et des poumons) sont les premières à se produire et récidivent souvent.
Les immunodéficiences primaires (PID) sont un ensemble de maladies hétérogènes qui résultent d'erreurs innées du système immunitaire. Ce sont des maladies rares dont la description est relativement récente mais elles représentent un domaine de progrès rapides et spectaculaires.
Des infections inhabituelles
Un déficit immunitaire doit être suspecté lorsque les infections récidivantes sont sévères, compli- quées, résistantes au traitement ou liées à des microrganismes inhabituels (9 ).
Système immunitaire affaibli : les symptômes
une sensibilité accrue aux infections, qui s'observe par des rhumes fréquents, des infections urinaires, des éruptions d'herpès, des vaginites à répétition, une verrue persistante, etc. ; des blessures qui prennent du temps à guérir ou à cicatriser.
Les maladies auto-immunes résultent d'un dysfonctionnement du système immunitaire conduisant ce dernier à s'attaquer aux constituants normaux de l'organisme. C'est par exemple le cas dans le diabète de type 1, la sclérose en plaques ou encore la polyarthrite rhumatoïde.
On dit d'une personne qu'elle est immunodéprimée lorsque son système immunitaire n'est plus capable de faire face correctement à des agents pathogènes comme des bactéries, des virus, des parasites ou encore des agents toxiques.
D'autres facteurs tels que le stress, l'anxiété, un état émotionnel négatif ou dépressif ou même le manque de sommeil peuvent affaiblir les défenses de notre corps, ce qui augmente la vulnérabilité aux maladies inflammatoires et aux infections.
Trop riche ou déséquilibrée, l'alimentation peut aussi nuire au système digestif et particulièrement au microbiote intestinal, cet ensemble de micro-organismes qui joue un rôle clé dans l'immunité. Autre cause possible de l'affaiblissement des défenses naturelles : le manque de sommeil.
Quelles est la maladie auto-immune la plus grave ? La pire maladie auto-immune est la sclérose en plaques. Le système immunitaire des personnes atteintes détruit la myéline ce qui altère la capacité des différentes parties du système nerveux à communiquer entre elles.
Envisager le traitement substitutif durable par les immunoglobulines pour les déficits en anticorps et la transplantation de cellules-souches hématopoïétiques en cas d'immunodéficiences sévères, en particulier en cas de déficits immunitaires en lymphocytes T.
Il est important de savoir qu'il n'existe à ce jour aucun médicament ni aucun produit officiellement reconnu pour renforcer le système immunitaire. Toutefois, certains produits et aliments naturels sont dotés de propriétés qui peuvent aider, bien que leur efficacité ne soit pas clairement démontrée.
Le système lymphatique est l'ensemble de tissus et d'organes qui fabriquent et entreposent les cellules qui combattent les infections et les maladies. Le système lymphatique comprend les amygdales, la rate, le thymus, les ganglions lymphatiques, les vaisseaux lymphatiques et la moelle osseuse.
« Nous avons confirmé expérimentalement que les hormones du stress qui se lient aux récepteurs β2-adrénergiques réduisent la réponse immunitaire et que cela passe par une diminution de la production de certaines cytokines inflammatoires, requises pour l'élimination des virus, précise Sophie Ugolini».
Analyses de sang : les globules blancs ou leucocytes (lymphocytes, monocytes, polynucléaires) Ils sont chargés de défendre l'organisme contre les virus, les bactéries et les champignons. Leur valeur normale est comprise entre 4 000 et 10 000/mmcube. Une baisse indique un affaiblissement des défenses immunitaires.
Un déficit immunitaire, une immunodéficience (IMD) ou une immunodépression, sont une situation pathologique liée à l'insuffisance d'une ou de plusieurs fonctions immunologiques. On parle aussi de « dysfonctionnement immunitaire ».
Déceler une immunodépression
La plupart du temps, les signes cliniques de la maladie semblent bénins et courants. Il peut s'agir d'otites, de diarrhées, d'infections pulmonaires ou encore de mycoses. Chez l'adulte ou chez l'enfant, certains signes peuvent néanmoins indiquer une immunodépression.
Pour rester en bonne santé en hiver, misez sur les agrumes, les kiwis, la mangue, ces fruits d'hiver particulièrement riches en vitamine C, tout comme les jus de cassis ou de myrtille sans sucre ajouté : ils sont délicieux et constituent une véritable aubaine pour renforcer son système immunitaire.
Le rhumatologue est le médecin spécialiste des affections musculosquelettiques, c'est-à-dire des affections touchant les os, les muscles, les articulations, les tendons et les tissus adjacents.
Les cancers peuvent être à l'origine de manifestations auto-immunes dont le champ d'expression est varié. Les liens étroits entre auto-immunité et lymphogenèse sont peu à peu démantelés, ces 2 événements pouvant correspondre aux facettes d'un même processus.
L'hyperthyroïdie, qui correspond quant à elle à une sécrétion excessive d'hormones thyroïdiennes, peut aussi occasionner une prise de poids. En effet, ce trouble de la thyroïde accroît la faim, ce qui peut entraîner une augmentation de la prise alimentaire et donc une prise de poids.
Cependant, en avoir beaucoup ou plus que la normale peut être le signe d'un problème de santé sous-jacent, comme une colopathie fonctionnelle (syndrome de l'intestin irritable), ou d'une consommation trop importante de boissons gazeuses ou d'aliments qui fermentent.
La prise de poids au niveau du ventre peut provenir de différents facteurs : une mauvaise alimentation, un manque d'activité physique, l'âge, des facteurs hormonaux comme la ménopause ou l'andropause. En général, les kilos pris au niveau du ventre sont plutôt difficiles à perdre.