Lorsqu'un voilier dispose d'un jeu de voiles d'avant permettant d'adapter la surface de la voilure à la force du vent, le foc désigne une voile de surface intermédiaire entre le tourmentin (voile de tempête) et le génois (voile de grande taille).
Sur un voilier, un foc autovireur est une voile d'avant gréée et équipée de telle sorte qu'elle passe automatiquement d'une amure à l'autre lors d'un virement, sans intervention de l'équipage.
Le Foc est une voile d'un bateau. Elle a une forme triangulaire et est située généralement à l'avant du bateau. Le foc est plus petit que la grand-voile.
Le foc, placé à l'avant du bateau, tend a contrario à le faire s'éloigner du vent, à le faire abattre.
Pour la grand-voile, la drisse et la bordure
La drisse ne sert pas qu'à hisser la grand-voile. Elle permet de faire avancer ou reculer le creux de celle-ci. En effet, quand le vent forcit, le creux de la voile recule et la tension de la drisse permet de rapprocher le creux du mât pour éviter d'être en surpuissance.
Les différentes catégories de foc
Pour rappel, le foc (ou voile d'avant) est une voile triangulaire de petite surface située en tête de certains bateaux.
Le Code 0 est une voile très spécialisée, un peu dans la même plage d'utilisation que le gennaker, la différence se situe dans l'interprétation de la jauge, cette voile étant considérée comme un spi et non comme un génois.
Si vous êtes novice, mieux vaut hisser et affaler à l'extérieur du chenal afin de limiter les contraintes de trajectoire de votre bateau. On commence généralement par hisser la grand-voile car elle permet de naviguer face au vent avec l'aide du moteur sans freiner le bateau (ce qui n'est pas le cas du génois).
Le meilleur angle au vent semble être pour la voile Jib, 40° et pour la voile Spi, 148°. Ces données sont issues d'observations sur le Trophée Jules Verne, sur l'Indian Quest les résultats sont différents.
Le foc désigne une voile d'avant de forme triangulaire d'un voilier. Cette voile est retenue par son guindant à l'étai le long duquel elle coulisse pour être hissée.
Un bateau équipé de foils, également appelé foiler, peut être défini comme un voilier qui utilise la portance dynamique liée à la vitesse d'un ou plusieurs plans porteurs immergés, en remplacement de la portance archimédienne de la coque (ou des coques).
Tribord est le côté droit d'un bateau lorsqu'on regarde vers l'avant.
(Marine) Voile triangulaire qui se place à l'avant du bateau et qui est utilisée par grand vent.
Le spinnaker symétrique. Un spinnaker symétrique est idéal pour naviguer aux allures grand-largue et par vent d'arrière. Il offre une grande vitesse, ce qui est idéal pour les voiliers mais aussi les catamarans, néanmoins il nécessite des compétences de manoeuvrabilité supérieure à celles du spi asymétrique.
L'écoute passe en haut du mât, assez loin pour assurer une tension correcte au virement de bord. Elle est renvoyée vers le pont (de façon interne ou externe), puis vers le cockpit avec les autres cordages de pied de mât. L'écoute ne se déplace pas dans les poulies au virement de bord, ce qui minimise le frottement.
Avec l'enrouleur de génois il suffit de dérouler et d'enrouler le génois qui reste à poste autour de l'étai. L'enrouleur s'installe autour de l'étai, c'est le câble qui maintient le mât vers l'avant. On utilise un ridoir pour bien tendre l'étai. Un cordage permet d'enrouler la voile autour de l'étai.
Qu'est-ce qu'un vent violent ? Un vent est en général estimé violent donc dangereux lorsque sa vitesse atteint 80 km/h en vent moyen et 100 km/h en rafales dans l'intérieur des terres. Mais ce seuil varie selon les régions, il est par exemple plus élevé pour les régions littorales ou la région sud-est.
On peut citer la pointe du Raz, où le vent a atteint 216 km/h lors de l'« ouragan de 1987 » et 207 km/h lors du passage de la tempête Ciaran. Sur une île, par exemple Belle-Île-en-Mer, par vent de sud-ouest, le sémaphore situé au Talut (situation au vent) enregistre les rafales les plus fortes.
Le record de vitesse du vent en valeur instantanée (rafale), hors tornade, enregistré à ce jour est de 408 km/h. Ce record a été enregistré durant le cyclone tropical Olivia le 10 avril 1996 sur l'Île de Barrow en Australie, vers la pointe nord-ouest de l'Australie (bordure de l'Océan Indien).
Préférez des génois suffisamment larges sur enrouleurs pour couvrir un large domaine d'utilisation : petits vents et brises portantes. Au moins une voile doit également être envisagée pour la navigation au portant (un spi ou un gennaker). Trois voiles, au moins, peuvent donc suffire.
La voile peut être également affalée partiellement pour réduire sa surface dans le cadre d'une prise de ris. Si la voile est complètement affalée, elle peut être soit simplement rabantée à plat pont (voile d'avant) ou repliée sur la bôme (grand voile) ou rangée dans un sac à voile qui sera stocké dans le bateau.
Quand réduire la voilure ? Si le bateau est largement gîté et que la mer moutonne, c'est que vous êtes déjà en retard ! Avoir la toile du temps est une affaire d'anticipation. Les coureurs au large disent souvent "Peu importe d'être le premier à réduire, il faut surtout être le premier à renvoyer de la toile".
Tous les bateaux qui vont naviguer en haute mer doivent porter des voiles de tempête (couche supérieure ou tourmentin) car les conditions météorologiques peuvent vite changer et nous pouvons être plongés dans de mauvaises conditions pour lesquelles nous avons besoin de voiles spécifiques.
Quand utiliser un gennaker ? Le gennaker brille dans des conditions de vent léger à modéré et est idéal pour le grand largue et le vent arrière. C'est la voile que vous choisirez probablement lorsque vous voulez un peu plus de vitesse mais que vous ne voulez pas vous encombrer de la complexité d'un spinnaker.
Elles sont nommées selon leur taille et leur coupe (de la plus petite à la plus grande) : tourmentin, solent, foc, foc ou génois inter (entre le génois et le foc), yankee, génois, et reacher (génois très creux).