Même si la chute vous semble sans conséquences dans l'immédiat, restez vigilant. En effet, des symptômes peuvent apparaître par la suite (douleurs, malaise, gonflement d'une articulation, hématome, etc.) Dans ce cas, consultez votre médecin traitant.
Le recours à l'amiable
Vous pouvez adresser, en courrier recommandé, une « demande préalable d'indemnité » à l'autorité identifiée comme responsable (ou au riverain concerné). Le dossier doit être particulièrement étayé avec l'ensemble des pièces justificatives, témoignages, photographies, etc.
N'essayez pas de la relever seul. Si elle se plaint au niveau des membres ou du rachis ne la toucher pas. Si la victime ne peut se relever, ne la changez pas de position. Assurez-vous qu'elle est consciente : vérifiez qu'elle réagit lorsque vous la pincer.
Où en trouver ? Pour dénicher ce dispositif de surveillance pour personnes âgées, il suffit de prendre contact avec les services de téléassistance en charge des personnes âgées. Beaucoup proposent le bip d'alerte pour personnes âgées.
Pour s'en équiper, comptez entre 50 et 70 euros par mois. La téléalarme médicalisée : la personne est directement reliée à un centre composé de professionnels médicaux, ce qui peut être rassurant, notamment pour les personnes assez dépendantes. Comptez de 30 à 40 euros par mois.
Téléassistance : combien cela coûte en 2021
En moyenne, les tarifs sont les suivants : Pour la téléassistance à domicile : environ de 20 euros à 30 euros par mois. Pour la téléassistance autonome : environ 40 euros à 50 euros par mois. Pour la téléassistance mobile : environ entre 30 euros et 40 euros par mois.
En France, les chutes des personnes âgées entraînent chaque année plus de 100 000 hospitalisations et plus de 10 000 décès. Ces chutes ont des conséquences physiques, psychologiques, sociales et marquent une rupture dans la vie des individus et une perte d'autonomie.
Les raisons qui peuvent expliquer une chute
Des douleurs, des troubles moteurs ou de la coordination, une prise médicamenteuse, la sédentarité, une consommation d'alcool ou encore des problèmes de vue peuvent aussi être à l'origine des chutes.
Comme à tout âge, tomber peut entraîner des contusions, des plaies ou des ecchymoses ("bleus"), mais également des luxations (une articulation se déboîte) ou des fractures, en particulier une fracture du col du fémur.
Une fois sur le ventre, la personne âgée doit relever la tête et le buste en prenant appui sur ces avants bras. Puis, se mettre à 4 pattes en prenant appui sur le genou plié. Ensuite, s'aider d'une chaise ou d'un meuble stable à proximité pour s'aider à remonter.
Plus généralement, on entend par syndrome post-chute un ensemble de troubles psychologiques de l'équilibre et de la marche observés après une chute. Ce syndrome apparaît chez environ 15-20% des patients victimes d'une chute.
Il est conseillé d'appliquer la règle "GREC" : glace, repos, élévation, compression. Refroidir la zone touchée au moyen d'une compresse ou d'une poche de glace soulage la douleur et limite le gonflement.
Le premier signe à surveiller est la perte de connaissance et la somnolence. La victime ne doit pas entrer dans le coma; c'est pourquoi, on recommande aux proches de le réveiller toutes les 2 à 4 heures, surtout si la victime a eu une perte de connaissance brève après l'accident.
Une commotion cérébrale est une lésion cérébrale causée par un choc qui peut perturber le fonctionnement du cerveau. Les maux de tête, la difficulté à se concentrer, les pertes de mémoire, la sensibilité à la lumière et les problèmes d'équilibre ou de coordination sont au nombre des symptômes.
Qu'est-ce qu'une chute ? Il existe trois types de chutes : la chute lourde, la chute molle et la chute syncopale. Dans le cas de la chute lourde, celle-ci survient suite à la perte d'équilibre et s'associe à un choc rapide contre le sol.
Un environnement inadéquat à domicile
Un manque d'éclairage, des tapis non fixés, des fils électriques mal placés ou un plancher encombré sont tous des facteurs qui augmentent le risque de chuter.
de sources traumatiques (fractures, plaies, contusions, hématomes...) de sources psychologiques (peur de rechuter, désadaptation posturales, chute personnes âgée psychologie...) de manque de lien social (réduction des activités, repli sur soi...).
De nombreux facteurs de risque de chute chez les personnes âgées ont été mis en évidence, tels que des facteurs socioéconomiques (pauvreté, conditions de vie, etc.), environnementaux (organisation de l'espace, etc.), biologiques (morbidité, détérioration cognitive, etc.), comportementaux (manque d'exercice, etc.).
La vidéosurveillance est une solution de surveillance personne âgée à distance fiable. Elle permet de respecter totalement l'intimité des personnes ainsi que leur dignité, tout en assurant les accompagnants dans leur quotidien. Elle permet aux seniors de passer des appels d'urgence 24h/24 et 7j/7.
Le fonctionnement opérationnel
Le boîtier émet une alarme vers le centre d'écoute relié. Le chargé d'écoute entre en contact avec vous à travers le haut-parleur du boîtier. Il vous demande ce qu'il se passe. Si c'est une erreur due à une mauvaise manipulation, le chargé d'écoute en prend note et l'alarme est clôturée.
Comme pour déclarer une aide à domicile ou pour déclarer le portage de repas, les seniors déclareront les sommes dans la case 7DB. Les aidants ayant souscrit une téléassistance pour un proche âgé de plus de 65 ans déclareront, quant à eux, le montant dans la case 7DL.
Trouver un service de téléassistance
Si vous êtes intéressé par la téléassistance, contactez votre point d'information local ou votre mairie qui vous communiqueront les coordonnées des organismes qui proposent ce service près de chez vous. Ils vous informeront également sur les aides dont vous pouvez bénéficier.
En cas de malaise, de chute ou d'autre incident inquiétant, le porteur du bracelet appuie sur le bouton SOS pour être mis directement en relation avec un opérateur d'écoute qualifié. Ce dernier a le choix entre contacter les pompiers ou un proche aidant selon l'urgence de la situation.