l'esclave public (servus publicus) appartient à l'« État » (la cité ou Rome).
Dans la Grèce classique, de nombreux esclaves, recrutés pour leurs compétences, étaient employés par les cités, comme ouvriers aussi bien qu'aux plus hautes fonctions publiques. Un choix délibéré.
Lucius Tarquinius Superbus est le dernier roi légendaire de Rome. Il est le fils de Tarquin l'Ancien et gendre du roi Servius Tullius.
En 509 av. J. -C, une révolte chassait de Rome son dernier roi, Tarquin le Superbe. Le meneur, un nommé Brutus, par ailleurs neveu de ce Tarquin, faisait jurer à ses complices de ne plus jamais tolérer de roi dans Rome.
Les Étrusques sont un peuple de l'Antiquité qui habitait l'Étrurie (l'Actuelle Toscane) une région de l'Italie centrale, au nord de Rome. Les rois étrusques perdent leur pouvoir au Ve siècle sur Rome, qui devient la première puissance lors des siècles suivants en Italie.
Alaric Ier, le roi des Wisigoths, après avoir envahi l'Italie, s'empare de Rome et la livre au pillage, avant de partir s'installer en Gaule méridionale. Le dernier empereur, Romulus Augustule sera détrôné par le roi barbare Odoacre en 476. Ce sera la fin de l'Empire romain d'Occident.
Une dispute éclate et Rémus franchit par dérision le sillon sacré (pomœrium) que vient de tracer Romulus, qui le tue sous le coup de la colère — selon une autre version, le meurtrier serait un sicaire étrusque, Celer.
L'étrusque fut parlé par les Étrusques sur le territoire de l'ancienne Étrurie, en Italie centrale, correspondant environ à l'actuelle Toscane (qui lui doit son nom), à partir du VIII e siècle av. J. -C. , jusqu'à son extinction en tant que langue vivante, aux alentours du II e siècle av. J.
Les historiens romains identifient sept rois : Romulus (avec selon certaines sources Titus Tatius), Numa Pompilius, Tullus Hostilius, Ancus Marcius, considérés comme plus ou moins légendaires, puis des rois d'origine étrusque : Tarquin l'Ancien, Servius Tullius et Tarquin le Superbe.
John Brown (vers 1810 - 1876) était un esclave américain de Virginie. Il est également connu par son nom d'esclave, Fed.
Les work songs (chants de travail) apparaissent entre le XVIIème et le XIXème siècle. Ces chants étaient interprétés par les travailleurs pendant leur labeur, comme la culture du coton ou de la canne à sucre, et avaient pour but de se donner du courage.
Dans la Rome antique, un affranchi (en latin libertus ou libertinus) est un esclave qui a été affranchi par son maître par une procédure appelée manu missio ou manumission.
De même, le maître a des devoirs envers son esclave : le nourrir, le vêtir et le loger. Les privations sont le châtiment le plus courant, mais les coups, les mutilations, ou même, à certaines époques, la mort, peuvent être pratiqués en toute impunité.
Les fourches en terre ne sont pas réservées aux cases des esclaves. Le quart des maisons de maître adopte cette technique, mais essentiellement dans des habitations caféières ou de petites habitations vivrières.
MYTHE: L'esclavage moderne n'existe que dans le monde en développement. RÉALITÉ: L'esclavage moderne existe partout. Plus d'un million et demi de personnes travaillent dans des conditions assimilables à l'esclavage en Europe, en Amérique du Nord, au Japon et en Australie.
De plus, ces Étrusques avaient un génome proche de celui des Latins de Rome et des environs, bien qu'ils ne partageaient ni la même langue, ni la même culture. Ce résultat contredit donc une précédente hypothèse selon laquelle les Étrusques étaient originaires du Moyen-Orient.
Sarcophage des Époux, urne funéraire étrusque, Paris, musée du Louvre. Villanoviens ; Tyrrhéniens. D'ouest en est et du nord au sud : Ligures ; Celtes d'Italie ; Vénètes ; Rhètes ; Sardes ; Falisques ; Latins ; Ombriens ; Sabins et Picéniens (tribu des Vestins).
Le système de croyance étrusque était un polythéisme immanent, c'est-à-dire que tous les phénomènes visibles étaient considérés comme des manifestations du pouvoir divin et que ce pouvoir était incarné par des divinités agissant continuellement sur le monde mais pouvant être dissuadées ou persuadées par des hommes ...
L'archéologue français Alexandre Grandazzi nuance ainsi cette découverte : « Romulus n'a probablement jamais existé mais, avec la découverte du sillon, nous ne pouvons que conclure à l'historicité d'un moment “romuléen” ».
Autres graphies : Remus.
Hors les habitants de Rome que l'on vient juste de citer n'inspirait vraiment pas confiance à leurs voisins (on les comprend) et ceux-ci refusèrent alors catégoriquement de marier leurs filles à ces Romains. Romulus monta alors un stratagème pour enlever les femmes de leurs voisins : les Sabins.
Certains chercheurs estiment que les Huns étaient une tribu turcique descendante des Xiongnu, une confédération de tribus nomades venue de l'actuelle Mongolie qui unifia une grande partie de l'Asie à la fin du IIIe et au début du IIe siècle avant notre ère.
Dernière grande victoire des Romains d'Occident sur les « Barbares », la bataille des champs Catalauniques doit surtout sa célébrité à l'un de ses protagonistes, Attila, roi des Huns, dont la terrible réputation frappa les esprits contemporains et traversa les siècles.