C'est une inflammation aigue ou chronique des glandes sudoripares. Quand elle touche l'aisselle elle est connue comme « boule sous l'aisselle ». Ce n'est pas une infection et elle n'est pas con- tagieuse. Sa cause est inconnue, mais la prédisposition génétique et les facteurs externes favorisent son apparition.
Une grosseur est inquiétante si : elle est dure et/ou douloureuse au toucher ; elle est immobile, c'est à dire fixée à la peau ou aux tissus sous-jacents ; elle augmente de volume.
La boule cancéreuse est souvent dure, non mobile, avec des contours irréguliers (tumeur solide et très compacte en échographie).
Les ganglions lymphatiques sont normalement invisibles, et petits noeuds sont également non palpable. Cependant, plus gros nœuds (> 1 cm) dans le cou, aisselles et les régions inguinales sont souvent comme des masses en forme de haricot, douces, lisses, mobiliers, non-appel d'offres ancrées dans le tissu sous-cutané.
Un ganglion axillaire gonflé est la plupart du temps bénin et résulte d'un mécanisme de défense de l'organisme. Il apparaît suite à une infection : les lymphocytes se multiplient et créent une réaction inflammatoire locale pour tuer le microbe.
gel à pH acide. pour diminuer la friction sur les zones atteintes. Évitez de raser la zone atteinte. la transpiration.
Cependant, parfois, quelques germes survivent et provoquent une infection. Un ganglion lymphatique infecté est douloureux et la peau située en regard devient rouge. Les cellules cancéreuses se détachent souvent d'un cancer et migrent dans les vaisseaux lymphatiques jusqu'aux ganglions lymphatiques avoisinants.
L'enflure des ganglions lymphatiques provoquée par une infection due à une bactérie comme celle responsable de l'angine streptococcique exige des antibiotiques. Donnez de l'acétaminophène ou de l'ibuprofène à votre enfant pour soulager la douleur ou la fièvre.
Chaque ganglion atteint par le cancer ne mesure pas plus de 2 mm.
Dans la plupart des cas, il ne s'agit que d'une inflammation bénigne, le ganglion retrouvera sa taille normale au bout de quelques jours et tout rentrera dans l'ordre. Les ganglions sous l'aisselle peuvent provenir d'une angine. Ils peuvent également se révéler lors de la mononucléose infectieuse.
En cas d'érythème noueux, la boule sous la peau est parfaitement ronde, ferme, sensible et parfois rouge et chaude. On retrouve ces nodules au niveau des tibias. Les tumeurs cancéreuses, elles, se présentent sous forme de petites grosseurs sous la peau et sont dures, indolores et ne bougent pas sous les doigts.
Lorsque ces boules ou grosseurs apparaissent après la ménopause ou qu'elles sont accompagnées d'autres anomalies comme une variation de l'aspect ou de la couleur de la peau, un écoulement mammaire, etc., elles peuvent être suspectes et il est important de les faire examiner.
Les ganglions : dans la majorité des cas, leur gonflement ne dure pas plus d'une semaine. S'ils persistent davantage ou s'ils s'accompagnent de douleur, il faut consulter. « Seul un médecin pourra faire la différence entre un ganglion gonflé, douloureux mais bénin, d'un ganglion tumoral », souligne le Dr Bensoussan.
Le diagnostic est habituellement posé lors d'un bilan clinique avec radiographies : échographie, scanner, IRM... Mais une palpation de la grosseur suffit généralement à la distinguer d'une autre masse graisseuse : mou, malléable, le lipome a des contours réguliers et roule sous les doigts.
Les causes de grosseurs sont multiples. Il peut tout simplement s'agir d'un très gros hématome suite à un choc. L'obstruction d'un follicule pileux peut former un kyste sébacé sur la peau, voire d'un abcès. Une accumulation de graisse sous la peau peut former des lipomes.
Le type de cancer qui se propage aux ganglions axillaires le plus couramment est le cancer du sein. D'autres cancers qui risquent de se propager aux ganglions axillaires sont les cancers de la peau, comme le mélanome et le cancer de la peau autre que le mélanome.
le cancer du sein infiltrant aussi appelé carcinome infiltrant ; les cellules cancéreuses envahissent le tissu mammaire et peuvent s'étendre et affecter les tissus avoisinants. Elles peuvent aussi atteindre d'autres parties du corps pour former des métastases.
Le cancer inflammatoire du sein est un diagnostic clinique et non pathologique : on note une induration diffuse de la peau, un érythème qui peut être prononcé, une douleur, une masse mal définie à croissance rapide, une peau d'orange et une augmentation rapide de la taille du sein affecté.
Un ganglion lymphatique qui devient palpable et sensible sous la peau dans une zone localisée est souvent le symptôme d'une maladie bénigne (infections banales, mononucléose, rubéole...).
Lorsqu'ils enflent, soit à cause d'une infection dans la plupart des cas, soit à cause d'une tumeur, les ganglions sont souvent douloureux et perceptibles à la palpation. Ils mesurent alors facilement plus de 1 cm dans ces cas. On parle dans ce cas d'adénopathie.
Le lymphome hodgkinien se manifeste souvent par la présence d'un ou plusieurs ganglions volumineux et asymétriques dans le cou (dit ganglion cervical ou susclaviculaire) et/ou plus rarement dans les aisselles ou l'aine.
Ce sont les ganglions qui se trouvent dans l'aisselle, c'est à dire sous la racine du bras. Ce sont des formations lymphatiques qui drainent la lymphe du membre supérieur et d'une partie du thorax.
Contrairement aux tumeurs malignes, les cellules d'un lipome ne migrent pas vers les autres organes et ne forment pas de métastases. Ils sont le plus souvent de petite taille : 80% d'entre eux font moins de 5 cm ; les autres ne dépassent pas les 10 cm.
Par ailleurs, le fait de présenter un kyste sur un organe augmente le risque de développer un cancer au niveau de ce même organe. En effet, quoique bénins, les kystes peuvent être le siège de départ de certaines tumeurs malignes, notamment les kystes du pancréas ou de l'ovaire, bien que cela reste rare.
Les signes d'alarme peuvent être : - une grosseur palpable, apparue récemment dans l'un des seins chez la femme ou un nodule sous la peau, ou encore l'augmentation de volume ou l'induration (le fait de durcir) d'un ou de plusieurs ganglions.