Les chutes mécaniques : lorsque la personne a glissé ou heurté un obstacle. Plusieurs facteurs comme un trouble de la vision non corrigé, ou une diminution de la vigilance, souvent imputable aux médicaments, peuvent favoriser la survenue de ce type de chute.
Une chute est définie comme étant un événement à l'issue duquel un individu se trouve par inadvertance sur le sol ou sur toute autre surface située à un niveau inférieur de celui d'origine. Bien que majoritairement bénins, les traumatismes liés aux chutes peuvent parfois être graves voire mortels.
On entend par chute un événement à l'issue duquel une personne se retrouve, par inadvertance, sur le sol ou toute autre surface située à un niveau inférieur à celui où elle se trouvait précédemment. Les traumatismes dus aux chutes peuvent être mortels (1), même si, le plus souvent, ce n'est pas le cas.
Les causes sont multiples : La chute de la tension artérielle ( hypotension orthostatique) lors du passage de la position couchée ou de la position assise à la position debout est due à des troubles du rythme cardiaque, des médicaments, une déshydratation ou une dénutrition, une anémie, etc.
Les trébuchements et les chutes surviennent souvent quand il y a un changement de distance inusité ou inattendu entre le pied et le sol ou la surface de marche, ce qui démontre que la tenue des locaux, la qualité de la surface de marche (le revêtement de sol), le choix des chaussures et la vitesse de marche ont une ...
Il a du mal à bouger un bras ou une jambe. Il a de la difficulté à marcher ou manque de coordination dans ses mouvements. Il a une bosse ou une déformation dans la région du cuir chevelu (sur le dessus, l'arrière ou les côtés de la tête). Il est tombé d'une hauteur de plus de 0,9 mètre (3 pieds) ou de 5 marches.
Les causes des troubles de l'équilibre les plus fréquentes sont : Certains traitements médicamenteux : antiépileptiques, neuroleptiques, antidépresseurs et certains traitements cardiaques. Une faiblesse des muscles. Des perturbations de l'oreille interne (l'organe de l'équilibre).
En vieillissant, la masse musculaire diminue et les capacités physiques peuvent s'en trouver diminuées, favorisant ainsi les chutes.
Pour éviter de tomber, libérez les lieux de passage et éclairez-les. Ôtez les objets ou meubles gênants des espaces où vous circulez (ex. : couloirs). En particulier, fixez au mur les câbles et fils électriques (télévision, lampes) ou utilisez des range-fils (boîtiers de rangement des câbles).
L'état de santé du senior
Vieillir entraîne malheureusement une baisse de la force musculaire qui favorise les troubles de l'équilibre et augmente le risque de glissage. La dégradation de la vision, de l'audition ou la prise de médicaments peuvent également déclencher une chute.
Une alimentation peu équilibrée, le café ou l'alcool, le stress, la sédentarité peuvent vous rendre plus vulnérable aux infections. À force de nous négliger, nous sommes épuisés, en manque de sommeil, sous pression, Notre système immunitaire s'affaiblit alors.
Plaies cutanées, ecchymoses, fractures, perte d'autonomie, peur de tomber à nouveau, etc. peuvent survenir après une chute et diminuer la qualité de vie.
Une chute chez une personne âgée de 65 ans et plus n'est jamais à banaliser, un bilan est nécessaire : outre les éventuelles conséquences traumatiques immédiates telles qu'une plaie ou une fracture à prendre en charge, il faut déterminer le mécanisme de la chute ainsi que les signes de gravité associés.
L'observation peut détecter une faiblesse des membres inférieurs, un déséquilibre en position debout ou assise ou une marche instable. Parfois, le test est chronométré. Un temps de > 12 s indique une augmentation significative du risque de chutes.
Fracture et
il devient très pâle et ne peut plus bouger le membre blessé (un membre fracturé n'est pas toujours déformé); il boite ou est incapable de marcher sur le membre blessé; il a mal et rien ne réussit à soulager sa douleur; il est faible et de plus en plus pâle, et il sent son coeur battre différemment.
Il existe trois types de chutes : la chute lourde, la chute molle et la chute syncopale. Dans le cas de la chute lourde, celle-ci survient suite à la perte d'équilibre et s'associe à un choc rapide contre le sol.
Les chutes de plain-pied sont des glissades, trébuchements, faux-pas et autres pertes d'équilibre sur une surface plane. Sont considérées ici comme surfaces planes les surfaces ne présentant aucune rupture de niveau ou bien des ruptures de niveau réduites (trottoir, petites marches, plan incliné, etc.).
Choisir un fauteuil confortable et adapté avec un repose-pied et des accoudoirs. Préférer les chaussures fermées aux pantoufles, qui peuvent être glissantes. S'équiper d'une aide à la marche (canne, déambulateur…) Consulter régulièrement son médecin traitant pour effectuer des bilans médicaux.
Mettez-vous debout, bien droit, pieds légèrement écartés. Puis levez un pied, en appuyant la voûte plantaire sur le côté du mollet opposé, essayez de garder l'équilibre 10 secondes. Reposez votre pied au sol et faite la même chose avec l'autre jambe. Répétez l'exercice plusieurs fois de chaque côté.
En intégrant une banane à votre alimentation quotidienne, vous aidez votre corps à maintenir un niveau optimal de potassium, contribuant ainsi à prévenir les sensations de vertige.
Même si la chute vous semble sans conséquences dans l'immédiat, restez vigilant. En effet, des symptômes peuvent apparaître par la suite (douleurs, malaise, gonflement d'une articulation, hématome, etc.) Dans ce cas, consultez votre médecin traitant.
S'appuyer sur les avant-bras pour amener la jambe pliée en direction des bras, et se retrouver un genou à terre et l'autre jambe tendue. 3. Une fois dans cette position, ramener la jambe tendue pour se mettre à quatre pattes. Ecarter les genoux pour plus de stabilité.
Outre le risque de blessures, la chute et le fait de rester longtemps au sol avant d'être secouru peuvent avoir un lourd impact psychologique. Cet accident traumatisant peut entraîner une diminution de l'autonomie physique et une incapacité de se lever, alors que l'examen clinique ne détecte aucune blessure.
Le corps a subi une secousse, un traumatisme, auquel il a répondu par de l'auto-défense physique. Le résultat corporel donne lieu à des compressions mécaniques, l'état physique est affaibli. Les mécanismes articulaire, musculaire, et neurologique sont affectés et ont besoin d'une rééquilibration manuelle.