La «résistance au feu» indique le temps durant lequel, lors d'un feu, un élément de construction (paroi, plancher, plafond, porte, …) conserve ses propriétés physiques et mécaniques. Ce matériau est classifié dans trois catégories : résistance mécanique ou force portante.
Selon l'article R. 21-2 2°du C.C.H, la résistance au feu se définit par le temps pendant lequel les éléments de construction peuvent jouer le rôle qui leur est dévolu malgré l'action d'un incendie. La performance feu d'un bloc-porte se caractérise donc par sa capacité à résister au feu pendant une durée déterminée.
La laine de verre et la laine de roche sont les matériaux isolants qui résistent le mieux au feu. Leur composition minérale leur permet effectivement de ne pas brûler comme le feraient des matières naturelles comme le bois ou encore la laine animale.
Le bois fait partie des matériaux particulièrement stables au feux car il se consume par l'extérieur en formant une couche de charbon qui isole le reste du bois de la chaleur et régule la combustion (la conductibilité thermique du charbon est égale à 1/8e de celle du bois massif qui est déjà faible).
Si le chêne affiche une conductivité thermique inférieure aux autres matériaux, il n'est pourtant pas le bois le plus performant. La tenue au feu peut différer selon les essences adoptées. Le mélèze, par exemple, se montre particulièrement résistant.
Lors de la combustion, il se forme en surface des éléments en bois une couche carbonisée qui, étant huit fois plus isolante que le bois lui-même, freine la combustion.
Le béton est un matériau incombustible à faible conductivité thermique, ce qui évite la propagation du feu. La brique céramique est un matériau très résistant au feu. En garnissant les deux faces d'un parement, on améliore sa résistance au feu, en augmentant son temps d'exposition.
Définition de incombustible adjectif.
À 3 420 °C, le tungstène a le point de fusion le plus élevé de tous les métaux. La stabilité thermique et le module d'élasticité élevés du matériau donnent au tungstène une grande résistance au fluage.
2. Les différentes formes de résistance. Les moyens de cette guerre souterraine sont multiples. Néanmoins, on peut esquisser trois modes d'action principaux : la résistance civile, improprement qualifiée parfois de passive ; la lutte armée ou résistance militaire ; la résistance humanitaire ou caritative.
Incombustible signifie simplement qu'un matériau ne contribue pas à un incendie. Le degré d'incombustibilité est déterminé par le système des Euroclasses, dont les classes A1 et A2 sont incombustibles et B-F combustible.
Les extincteurs poudre constituent un moyen rapide et efficace d'éteindre un début d'incendie. Grâce à la réaction chimique du mélange, la poudre va étouffer le feu et inhiber les flammes. Cependant, cette poudre est extrêmement corrosive et doit être nettoyée rapidement.
Le bois doit être brut, exempt de vernis, lasure ou peinture. Si ce n'est pas le cas, un ponçage s'impose. L'imprégnation doit se faire principalement par trempage ou en autoclave vide et pression, quand le format le permet.
Les contraintes σ = (E/ρ)y doivent équilibrer le moment M égal à : En introduisant le moment d'inertie de surface : on exprime la variation de courbure due au moment fléchissant par 1/ρ = M/EI. La contrainte s'en déduit immédiatement par la relation σ = − (M/I)y.
M1 : Matériau combustible mais ininflammable comme le PVC, des matériaux composites et les matériaux ignifugés tels que le bois. La norme M1 indique qu'un matériau résiste au feu. Le matériau qui aura été ignifugé pour un traitement feu M1 sera toujours combustible, mais pas inflammable.
Les causes les plus fréquentes des incendies
La surcharge des prises électriques, le linge posé sur les radiateurs électriques, l'éclairage halogène situé près des rideaux, les appareils électriques en veille, etc… sont des exemples de causes d'incendie directement liés aux comportements.
En effet, un bois traité contient de nombreuses particules toxiques se dégageant dans l'air une fois enflammées et pouvant alors être inhalées par les adultes, les enfants et les animaux de compagnie. Il est donc fortement recommandé de mettre uniquement du bois non traité dans votre cheminée ou poêle à bois.
Non inflammable. Utiliser des moyens d'extinction appropriés aux matières environnantes. Moyens d'extinction non appropriés : Aucun n'est connu.
La laine de verre et la laine de roche font toutes deux partie de cette catégorie, ce qui signifie qu'elles sont ignifuges. Elles ne contribuent donc pas à la propagation du feu et ne dégagent pas de fumées toxiques.
la propreté de la bûche, qui ne doit pas présenter de champignons ou de moisissures ; un bois humide crépite lors de la combustion et de la fumée plus foncée s'échappe du conduit d'évacuation. Vous pouvez également sentir la bûche : si elle ne présente pas d'odeur de sève, elle a plus de chance d'être sèche.
En brûlant, les gaz libèrent 75 % de l'énergie contenue dans le bois et produisent de la chaleur jusqu'à 800°C. La combustion : Entre 800 et 1 000°C, le bois se décompose et laisse place à des braises ardente.
Les bois du type sapin, mélèze ou épicéa, ne sont pas recommandés pour vous chauffer. Ils vont certes très bien brûler, mais beaucoup trop vite. À la rigueur, ils peuvent être utilisés bien secs pour démarrer ou relancer un feu.
Il s'agit du Mélèze, du Red Cedar, du Robinier faux-acacia et du Douglas. Le Mélèze est l'un des bois européens doté de la plus forte densité. De ce fait, il est également très résistant et durable.
Choisir des essences à fort pouvoir calorifique
Celles-ci sont classées en trois groupes, du plus fort pouvoir calorifique au plus faible : Le chêne, le charme, le hêtre, le frêne, l'orme et l'érable offrent le meilleur rendement : 2 000 kWh par mètre cube apparent.