Une marnière est le résultat de l'exploitation de la marne, craie tendre, qui servait à l'amendement des terres agricoles. C'est à partir du XIXème siècle que l'exploitation de marnières devient intensive. Le marnage fait augmenter le pH du sol et améliore la productivité céréalière.
Si la marnière est totalement ou partiellement effondrée, l'inspection peut être faite depuis la surface, par les sondages tubés, par un passage de caméra ou par relevé laser 3D.
Particulièrement répandues en Normandie, les marnières sont des cavités creusées dans le sol , il y a plus d'un siècle. Elles sont parfois très profondes et fragilisent les maisons construites en surface.
L'exploitation des marnières
Les extractions de craie étaient destinées essentiellement à l'amendement des terres agricoles. Le mot marne est le terme utilisé pour désigner la craie tendre adaptée à cet usage en Normandie. C'est à partir du XIX e siècle que l'exploitation de marnières devient intensive.
Peut-on reboucher une marnière ? Oui, mais avant d'envisager de reboucher une marnière, il est possible de prendre des mesures visant à renforcer sa structure grâce à des piliers en maçonnerie (coût : 75 à 120 €/m2), une projection de béton aux murs, l'injection de ci- ment dans les parois, etc.
Les parcelles dites "napoléoniennes"
Ces documents anciens reposent sur le cadastre de l'époque, et mentionnent en général les références parcellaires. Les plans sont fréquemment perdus, et la localisation de la marnière sur la parcelle est donc imprécise. Ces parcelles sont dites parcelles napoléoniennes.
Une authentique marinière comporte donc sur le torse et le dos vingt rayures bleu indigo larges de dix millimètres, espacées de vingt millimètres et sur les manches, quatorze rayures bleues espacées de vingt millimètres.
Espace vide. Synonyme : alvéole, anfractuosité, concavité, creux, dépression, enfoncement, excavation, fosse, niche, trou, vide.
Le géoradar, également appelé radar à pénétration de sol est un détecteur permettant d'analyser les cavités, les terrains ou encore les étendues d'eau. Le géoradar permet de retrouver des objets enfouis sous la terre, et cela à plusieurs mètres de profondeur.
Depuis une dizaine d'années une nouvelle technique géophysique est utilisée pour detecter les cavités de profondeur inférieure à 50 mètres. Il s'agit du géoradar (Ground Penetrating Radar), qui donne à peu pres les meme resultats que les ondes sismiques, mais qui est beaucoup plus économique.
Contrairement aux détecteurs de métaux qui peuvent sonder la terre sous plusieurs dizaines de centimètres, le Georadar peut sonder le sol sur plusieurs mètres de profondeur. Pour pouvoir fonctionner, le georadar transmet à travers le sol des ondes électromagnétiques grâce à une antenne émettrice.
D'après la légende, les rayures permettaient de repérer plus facilement un marin tombé à l'eau. Aussi, les 21 rayures réglementaires, toujours d'après la légende, faisaient référence aux victoires napoléoniennes.
Pourquoi les marinières ont des rayures ? C'est parce que la technique de tissage du jersey, spécifique à la marinière, produit de telles rayures. C'est également une façon d'économiser la couleur bleu indigo qui était très chère à l'époque.
Les rayures permettaient d'identifier les marins et de les distinguer des capitaines des bateaux. On dit également qu'elles permettaient de repérer les marins tombés à la mer. Tu remarqueras aussi que les rayures étaient souvent portées par ceux qui dérangent ou ceux qui étaient mal perçus dans la société.
Un code couleurs pour déterminer les risques
Il est ici possible de réaliser des constructions dès lors que des précautions ont été prises en amont pour protéger les logements. - La zone rouge est un espace où le risque d'inondation est important, il n'est pas possible de réaliser de nouvelles constructions.
Bon à savoir : pour savoir si votre maison se trouve dans une zone à risques, vous pouvez vous renseigner auprès de votre mairie afin de consulter le PPRN (plan de prévention des risques naturels), et de votre préfecture pour le plan de prévention des risques d'inondation (PPRI).
La zone jaune et orange : le risque est identifié, possibilité de catastrophes naturelles passées ou à venir ; La zone rouge : il est impossible de revendre ou d'emménager ici.
Le coût de l'étude de sol dite « préalable » à fournir lors de la vente d'un terrain constructible est d'environ 500 €. L'étude de sol dite « de conception » à fournir au constructeur est d'un coût d'environ 1.000 €.
Une mission géotechnique obligatoire
Étape préalable d'un projet de construction, l'étude de sol est obligatoire dans les zones définies comme moyennement ou fortement exposées au phénomène de Retrait-Gonflement des Argiles (RGA), phénomène lié à des périodes de sécheresse ou de pluies intenses.
Qui doit payer l'étude de sol ? Le vendeur du terrain est financièrement responsable de l'étude du sol G1 PGC (coût moyen de 1 000 Euros) et le met à disposition de l'acquéreur lors de la vente. L'acheteur doit effectuer une recherche de sol G2 avant la construction.
Depuis une dizaine d'années une nouvelle technique géophysique est utilisée pour detecter les cavités de profondeur inférieure à 50 mètres. Il s'agit du géoradar (Ground Penetrating Radar), qui donne à peu pres les meme resultats que les ondes sismiques, mais qui est beaucoup plus économique.
Le Géoradar utilise des ondes énergétiques dans la bande des micro-ondes. L'émetteur de l'unité de commande est chargé d'envoyer de l'énergie électromagnétique dans le sol ou le matériau à étudier. Lorsque l'onde émise atteint un objet situé sous la surface, celui-ci réfléchit ou réfracte l'onde.
Cavité profonde et irrégulière : Les anfractuosités d'un rocher.