Une proposition placée en tête de la phrase et introduite par "que" : elle est fréquemment reprise par "ce, ceci, la chose, le fait", etc. Si ces reprises sont absentes on peut facilement les introduire. Qu'il le fasse m'étonnerait.
Une proposition est une partie de phrase ou une phrase, dans une phrase. Il y a autant de propositions qu'il y a de verbes. ex: Le chat dort dans le salon.
La proposition est un constituant de la phrase . Elle se compose d'un sujet et d'un groupe verbal. Le groupe verbal a pour noyau un verbe conjugué à un mode personnel (indicatif, subjonctif, conditionnel et impératif).
Reconnaître les propositions dans la phrase
Une proposition, c'est une phrase ou une partie d'une phrase qui comporte un verbe conjugué. Dans la phrase, « Samia sort pour voir Louis ». Il y a un seul verbe conjugué ici « sort », donc une seule proposition, c'est celle-là. Un verbe conjugué donc une proposition.
La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).
Pour repérer le nombre de propositions dans une phrase, il faut donc repérer le nombre de verbes conjugués. Exemple : [Lou a commencé la danse] [quand elle avait six ans]. Cette phrase comporte deux propositions car elle a deux verbes conjugués. Quand le verbe est le même, il n'est pas toujours répété.
Les prépositions sont : à, de, pour, sur, dans, avec, en, par, parmi, ... Les locutions prépositives sont : afin de, à moins de, de façon à, par suite de, ... 2. Les articles définis contractés « au, aux, du, des » contiennent une préposition qui introduit un complément.
La proposition principale
Une proposition qui contient un terme dont dépend une autre proposition est appelée proposition principale. « il explique » est une proposition principale car elle contient le verbe explique dont dépend la proposition « comment l'auteur décrit une période de sa vie ».
Proposition subordonnée conjonctive. (afin que, pourvu que, pour que, quoi que…). On distingue deux sortes de conjonctives : les conjonctives complétives, qui sont introduites uniquement par la conjonction de subordination que ou la locution conjonctive ce que, et qui sont des compléments essentiels de la phrase.
- Une proposition indépendante est une proposition qui se suffit à elle-même, qui ne dépend d'aucune autre et dont aucune autre ne dépend. Une phrase peut comporter plusieurs propositions indépendantes reliées par des conjonctions de coordination ou juxtaposées (séparées par une ponctuation forte (: ;)).
Sa fonction est le plus souvent complément de l'antécédent et elle sert généralement d'expansion du nom.
La phrase contient une ou plusieurs propositions. On distingue trois sortes de propositions: La proposition indépendante comme son nom l'indique, ne dépend de rien, et rien ne dépend d'elle; elle se suffit à elle-même.
La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où et les formes composées : lequel, auquel, duquel, etc.). Le plus souvent, elle complète un nom ou un pronom (= son antécédent), sur lequel elle apporte des précisions. Sa fonction est alors épithète.
3. La proposition indépendante. Sophie a une jolie robe. La proposition indépendante est celle qui ne dépend d'aucune autre et qui n'en détient aucune sous sa dépendance ; elle se suffit à elle-même car elle a une signification complète.
Pour mémoriser les principales prépositions, on peut utiliser le moyen mnémotechnique suivant : Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre. [À] [dans] [par] [pour] [en] [vers] [avec] [sans] [sous] [entre] [derrière] [chez] [de] [contre]. Ce sont les principales prépositions.
Les caractéristiques de l'attribut du sujet
Le verbe attributif est un verbe représentant un état, une manière d'être. L'attribut du sujet sert donc à donner une caractéristique (une propriété, un état, une manière d'être, etc.) au sujet dans une phrase.
Tout(e) est un déterminant quantitatif singulier.
Définition de la phrase nominale
La phrase nominale (qui n'est pas seulement constituée d'un nom, mais peut aussi être formée d'un adjectif, d'un adverbe...) est en réalité une phrase sans verbe. Privée de l'ancrage situationnel donné par le verbe, la phrase nominale est particulièrement sensible au contexte.
La phrase complexe contient plusieurs propositions (= parties de phrases organisées autour d'un verbe conjugué). Elle est constituée d'autant de propositions qu'il y a de verbes conjugués. Ces propositions peuvent être reliées de différentes manières : la juxtaposition, la coordination et la subordination.
La phrase simple est une proposition indépendante, c'est-à-dire une proposition qui ne dépend d'aucune autre proposition, et dont aucune autre proposition ne dépend. Elle se suffit à elle-même tant sur le plan du sens que de la structure : L'enfant lit un livre.
Pour découper le texte en propositions, il faut s'aider du sens de la phrase. Une proposition est composée d'un verbe conjugué et de tous les mots qui y sont rattachés. Dans la phrase "Je suis déçu, j'ai perdu mes billes alors que la récréation n'était pas terminée", il y a trois propositions : "Je suis déçu,"