Tressa Montalvo, une texane de 36 ans a accouché le 14 février de deux paires de vrais jumeaux. D'après les médecins les chances que cela se produise sont rarissimes. D'autant plus que la maman n'a eu recours à aucun traitement pour la fertilité. Une chance sur 70 millions.
L'Américaine Tressa Montalvo, 36 ans, a accouché le 14 février de deux paires de vrais jumeaux, soit quatre petits garçons au total. La naissance a eu lieu ce jour de la Saint-Valentin par césarienne après 31 semaines de grossesse, selon le Woman's Hospital of Texas, à Houston, qui a assisté la jeune maman.
Jumeaux monozygotes ou vrais jumeaux : un seul œuf au départ
Ces derniers donneront deux fœtus puis deux bébés au patrimoine génétique strictement identique, puisque issu du même spermatozoïde et du même ovule. Ce sont des jumeaux monozygotes, que l'on appelle vrais jumeaux dans le langage courant.
L'hérédité compte aussi pour beaucoup : une femme enceinte qui a des antécédents familiaux de jumeaux a 1 chance sur 58 d'avoir elle-même des jumeaux, et si c'est son partenaire qui a des antécédents familiaux de jumeaux, la probabilité passe à 1 chance sur 116.
Qui porte des jumeaux. Femelle, femme gémellipare.
La loi française est claire, elle dit que le premier enfant né est l'ainé, y compris lors d'une naissance gémellaire par césarienne ! S'il s'agit de jumeaux monozygotes, cela signifie qu'ils sont issus du même œuf, de la rencontre d'un seul ovule avec un seul spermatozoïde et que cette cellule s'est divisée en deux.
Bien qu'il existe des familles de jumeaux, il n'y a aucune preuve scientifique concernant la part de l'hérédité dans la naissance de jumeaux monozygotes. En revanche, les faux jumeaux, proviennent de femmes qui ont des poly-ovulations.
La probabilité de donner naissance à des jumeaux est héréditaire. Si la femme enceinte à des antécédents familiaux de jumeaux, elle a une chance sur 58 d'avoir elle-même des jumeaux. Si son partenaire a des antécédents familiaux de jumeaux, la probabilité passe à une chance sur 116.
La seule façon de vérifier s'il s'agit d'une grossesse gémellaire, c'est de faire un examen échographique chez le médecin. Généralement, on peut constater la présence de jumeaux dès la sixième semaine de grossesse.
Élodie Gossuin, ancienne Miss France et Miss Europe, devenue animatrice de télévision et de radio, en sait quelque chose. En effet, celle qui présente chaque jour la matinale sur RFM depuis 7 saisons, est l'heureuse maman de quatre enfants, deux paires de jumeaux, Rose et Jules (14 ans), Joséphine et Léonard (8 ans).
Dans ce cas, il est scientifiquement impossible de déterminer qui est l'aîné. » La législation française considère cependant que chez les jumeaux, le premier enfant né est l'aîné, y compris lors d'une naissance gémellaire par césarienne.
Ce sont des jumeaux monozygotes, que l'on appelle vrais jumeaux dans le langage courant. Par ailleurs, puisqu'ils sont issus d'un même spermatozoïde, qui détermine le sexe (X pour une fille, Y pour un garçon), les vrais jumeaux sont forcément de même sexe.
Le résultat est sans appel : les vrais jumeaux ont un coefficient de corrélation entre leur QI, s'élevant à de 0.85, tandis que les faux jumeaux atteignent un coefficient de 0.58.
–Une primipare est une femme qui accouche ou a accouché pour la première fois ; –Dès qu'une femme a accouché pour la seconde fois ou a accouché au moins deux fois, on utilise le terme « multipare » ; lorsque la femme a accouché plus de cinq fois, on parle de « grande multipare ».
Vrais jumeaux (monozygotes)
Les vrais jumeaux, aussi appelés jumeaux monozygotes, sont le résultat de la séparation en deux d'un ovule fertilisé, ce qui conduit au développement de deux embryons distincts. Les jumeaux sont alors du même sexe, du même groupe sanguin et possèdent les mêmes caractéristiques physiques.
Lors de la conception de vrais jumeaux, un seul spermatozoïde féconde un seul ovule. L'embryon ainsi formé se divise ensuite en deux pour générer deux bébés qui partagent entièrement les mêmes gènes. Au contraire, pour les faux jumeaux, deux ovules distincts sont fécondés par deux spermatozoïdes différents.
Le ventre de la maman
Si son ventre est haut et que lorsqu'elle est de dos, on ne voit pas qu'elle est enceinte, alors elle attendrait certainement une fille. En revanche, si le ventre est bas ou si elle porte son bébé en bouée, au-dessus des poignets d'amour, alors il y aurait plus de chance que ce soit un garçon.
50% de chance à chaque fois
Si on parle de probabilité pur, on est sensé avoir 50% de chance d'avoir un garçon ou une fille à chaque fois. En réalité, c'est plutôt 51 % Garçon et 49% Fille, car ils sont un peu plus nombreux sur terre. Cela marche pour chaque enfant, chaque nouvelle grossesse donne 50% de chance.
Dans plusieurs mythes amérindiens, les jumeaux sont considérés comme antithétiques, c'est-à-dire remplissant des fonctions complémentaires, mais opposées : l'un est bon, l'autre est mauvais, l'un est fort, l'autre est faible, l'un est agressif, l'autre est pacifique, etc.
Donner naissance à des jumeaux nés de pères différents est un événement rare. Il s'agit de ce que les spécialistes en biologie de la reproduction appellent une « superfécondation hétéropaternelle », phénomène au cours duquel un second ovocyte est expulsé lors d'un même cycle menstruel.
Ce phénomène arrive normalement une fois par cycle menstruel. Toutefois, il arrive que deux ovocytes soient expulsés au cours du même cycle et que chaque ovocyte soit fécondé par un spermatozoïde. On parle alors de double ovulation. Les jumeaux dizygotes (ou "faux jumeaux") sont le résultat d'une double ovulation.
La conception de triplés peut se produire de 3 façons différentes. Un ovule est fécondé par un spermatozoïde. Un seul embryon est ainsi formé. Ce dernier se divise ensuite en 3 nouveaux embryons qui se développent côte à côte.
On pensait que le bébé placé le plus au fond de l'utérus était le premier « installé » donc l'aîné. Il naît donc en second puisqu'il est logé le plus loin de la « sortie ». En France, on applique le droit hérité des textes romains, autrement dit, c'est l'inverse : le premier-né est l'aîné.