Alors qu'en France, à peine 20% des femmes accouchent sans péridurale, elles sont 72% au Danemark, et bon nombre le font... à domicile ! Ce choix s'explique principalement par une conviction que l'accouchement naturel reste le meilleur des choix pour maman et bébé.
Les motivations personnelles au refus de péridurale
Parmi les raisons de ce refus, on peut retrouver : L'envie d'un accouchement moins médicalisé. L'anesthésie péridurale nécessite la pose d'une perfusion et d'un cathéter qui vont limiter la possibilité de se lever.
Les positions et les massages
Certaines positions peuvent également aider à diminuer la douleur : par exemple, à la verticale pour soulager le dos, ouvrir le bassin et faciliter l'accouchement. Il vous faut trouver la position qui vous soulage.
Tester plusieurs positions
Votre sage-femme peut vous faire voir toutes les positions possibles pour accoucher sans péridurale. Au moment de l'accouchement, vous pourrez ainsi passer de l'une à l'autre, au fur et à mesure du travail, de manière à atténuer efficacement les douleurs utérines et dorsales.
La péridurale consiste à injecter un médicament anesthésique via un cathéter placé en bas de votre dos. Cette méthode pharmacologique est la plus fréquemment utilisée pour accoucher sans douleur.
La douleur annonce en effet l'arrivée du bébé. Du côté biologique, la douleur est causée par les contractions de l'utérus, ce qui comprime les vaisseaux sanguins et bloque la circulation du sang. Les contractions entraînent aussi une moins bonne oxygénation de l'utérus et une accumulation d'acide lactique.
D'après l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l'accouchement naturel permet d'améliorer les conditions dans lesquelles les mères donnent naissance. En effet, la surmédicalisation de l'accouchement, qui est un processus physiologique, affaiblirait la capacité naturelle à donner naissance.
Marcher entre les contractions et changer fréquemment de position stimulent la progression du travail, facilitent la descente du bébé dans votre bassin, diminuent votre perception de la douleur, réduisent également la durée du travail et augmentent votre confort ainsi que le bien-être de votre bébé.
Dès que vous sentez venir une contraction, inspirez profondément par le nez pendant 4 secondes. Commencez par gonfler l'abdomen, puis terminez par la cage thoracique. Expirez ensuite fortement durant 8 secondes en prenant soin de garder la bouche molle.
Les contractions sont un signe que le travail est commencé et que vous allez bientôt accoucher. Par contre, il peut s'agir de contractions associées au « faux travail », appelées contractions de Braxton-Hicks. Les vraies contractions sont régulières et s'intensifient au fur et à mesure que le travail avance.
Étirez votre périnée.
Dès la 36e semaine de grossesse, étirez quotidiennement le muscle de votre périnée. Il sera plus souple au moment de la poussée, et surtout, vous aurez moins tendance à vous crisper le moment venu, car votre cerveau reconnaîtra la sensation.
L'administration de tranquillisants par péridurale lors de l'accouchement ne ralentit pas le travail de la femme enceinte, selon une étude américaine publiée mardi qui vient contredire la croyance populaire.
La péridurale n'est pas obligatoire sauf dans le cadre de certains accouchement à risque. Le cathéter reste en place pendant toute la durée de l'accouchement pour permettre à l'anesthésiste de pratiquer de nouvelles injections.
Sur le moment, ça peut être un peu douloureux. On sent l'aiguille pénétrer dans le bas du dos. Il est également possible de ressentir de l'électricité dans les jambes ou dans le dos. Mais la douleur ne dure pas, et après quelques minutes la douleur liée aux contractions utérines est nettement soulagée.
Piqure de Paraponera
Cette fourmi vivant en Amazonie délivre par son dard un venin neurotoxique extrêmement douloureux. Une sensation d'intense brûlure irradie dans tout le membre touché et provoque des contractions involontaires des muscles pendant plusieurs heures.
Le temps moyen est estimé à 4 heures environ.
Et si le premier enfant a été long à arriver, le second peut se présenter très rapidement ! La phase de latence par exemple, qui est si lente lors d'un premier accouchement, se trouve diminuée de beaucoup lors du second.
Lors de l'accouchement, le bébé peut présenter un manque d'oxygène ou hypoxie, ce qui le met en danger. C'est la souffrance fœtale aiguë, dont les causes et prise en charge sont différentes de la souffrance fœtale chronique qui survient pendant la grossesse.
L'accouchement, aussi appelé parturition, se déroule en trois phases. La première est la phase de dilatation qui commence avec les contractions de l'utérus, modifiant le col jusqu'à la dilatation complète de celui-ci. Elle est suivie par l'expulsion du fœtus par le vagin. C'est la naissance du bébé.
La conduite après l'accouchement
Reprendre le volant juste après l'accouchement est déconseillé. Mieux vaut attendre 3 semaines avant de conduire. Le délai passe à 6 semaines pour les femmes qui ont accouché par césarienne.
La question se pose, car le miel renferme naturellement un type de bactéries connu sous le nom de Clostridium botulinum. En absence d'oxygène, cette bactérie produit une toxine (une composante toxique) qui peut causer une maladie, appelée le botulisme.
Les dattes:
On en entend beaucoup parler depuis une dizaine d'années, suite à une étude démontrant que la consommation de dattes durant le dernier mois de grossesse favorise la dilatation du col (qui à son tour favorise le déclenchement spontané de l'accouchement et réduit le besoin d'interventions).