L'opération Force alliée (en anglais Operation Allied Force) est l'opération militaire de bombardement par l'OTAN de cibles serbes durant la guerre du Kosovo, du 23 mars au 10 juin 1999 , à la suite du massacre de Račak.
L'Alliance est intervenue militairement au début de 1999 pour mettre un terme à la répression ethnique au Kosovo, où elle a ensuite déployé une force de maintien de la paix placée sous son commandement (KFOR) dans le but de créer les conditions de sûreté et de sécurité nécessaires et de faciliter la reconstruction.
La guerre débute par le siège de Sarajevo en avril 1992, toutes les nationalités y prennent part. L'horreur des massacres liés au « nettoyage ethnique » pratiqué par les Serbes (et dans une moindre mesure par les Croates et les Musulmans) provoque un exode massif de la population et 200 000 victimes.
L'OTAN a déclenché une intervention militaire contre la République fédérale de Yougoslavie à la suite de l'échec des négociations engagées entre plusieurs de ses membres et les autorités yougoslaves concernant la situation au Kosovo, où les forces yougoslaves étaient engagées dans un conflit armé contre l'Ushtria ...
Victoire de l'Armée de libération du Kosovo et de l'OTAN. Mise en place d'une administration internationale au Kosovo.
La KFOR est le contingent de l'Otan stationné au Kosovo depuis 1999, sur mandat de l'ONU. La tension entre le Kosovo et son voisin serbe vient en effet de monter d'un cran, à l'approche de l'entrée en vigueur de nouvelles règles frontalières, qui mettent en fureur la minorité serbe du Kosovo.
L'OTAN est intervenue une première fois dans le conflit bosniaque en 1992, à la demande des Nations Unies, pour aider à imposer le respect de sanctions économiques, d'un embargo sur les armes et d'une zone d'exclusion aérienne.
La Serbie est associée à la politique et au plan d'action OTAN/CPEA sur les femmes, la paix et la sécurité, approuvés au sommet de l'OTAN qui s'est tenu à Bruxelles, en 2018.
En mai 2013 , la Russie et la Serbie ont signé un pacte d'alliance militaire. En fait, la Serbie adhère à l'organisation du traité de sécurité collective (OTSC) en tant qu'État observateur. Elle est donc le premier État non membre du pacte de Varsovie à adhérer à une alliance avec la Russie post-soviétique.
Il y a vingt ans, le 24 mars 1999, l'OTAN lançait une campagne de bombardements aériens contre la Yougoslavie pour mettre fin à la répression des Kosovars albanais, une première contre un État souverain en 50 ans d'existence de l'Alliance.
Cette vieille idée fait déjà les titres de Politika en 1900 ; les quatre frères slaves du sud, Bulgares, Croates, Serbes et Slovènes doivent s'unir pour combattre leurs ennemis communs, les Autrichiens et les Turcs.
L'invasion de la Yougoslavie par les forces de l'Axe, dite également Guerre d'avril (croate : Travanjski rat, serbe : Aprilski rat, slovène : Aprilska vojna), a eu lieu en avril 1941 pendant la Seconde Guerre mondiale ; elle fut suivie par une guerre de libération qui dura jusqu'en 1945 et s'acheva par la victoire des ...
La guerre en Croatie est le résultat de la montée des nationalismes dans les années 1980 qui mène à la dislocation de la République fédérative socialiste de Yougoslavie. La crise s'aggrave avec l'effondrement du Bloc de l'Est à la fin de la Guerre froide, symbolisé par la chute du mur de Berlin en 1989.
Il y a vingt-trois ans, jour pour jour, les premières frappes de l'OTAN s'abattaient sur la Serbie pour mettre fin à la guerre au Kosovo. En pleine campagne pour l'élection présidentielle du 3 avril, percutée par la guerre en Ukraine, la commémoration a pris cette année une tonalité particulière.
l'opération châtiment, bombardement de la Yougoslavie, et notamment de Belgrade, par l'Allemagne nazie en avril 1941. le bombardement d'avril 1944, effectué par les Alliés. l'opération Allied Force, bombardement par l'OTAN en 1999 durant la guerre du Kosovo.
Cependant, la Commission européenne indique en 2018 que l'adhésion de la Serbie ne se fera pas avant 2025. En effet, les accords signés depuis 2013 avec le Kosovo sont loin d'avoir tous été appliqués, et le dialogue a régulièrement été rompu au gré de provocations réciproques.
En 1993, la Russie, la Biélorussie, l'Arménie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Kirghizistan et la Géorgie signent un accord-cadre d'union économique dans le cadre de la CEI (l'Ukraine et le Turkménistan s'y sont associés).
On constate que les pays qui ont le plus aidé l'Ukraine sont ses voisins : l'Estonie (0,830% du PIB), devant la Lettonie, la Pologne et la Lituanie. Les États-Unis sont septièmes (0,216% du PIB), l'Allemagne est 13ème (0,082% du PIB) et la France 19ème (0,045% du PIB).
Pour que la stabilité de la zone euro-atlantique soit assurée, il est indispensable que l'Ukraine soit forte et indépendante. Nouées au début des années 1990, les relations avec ce pays ont évolué jusqu'à constituer l'un des partenariats de l'OTAN les plus substantiels.
Les orthodoxes sont très majoritaires (90%) et le Patriarcat de Serbie est un puissant symbole national. Les Bosniaques confessent un islam sunnite traditionnellement modéré (mais auquel les guerres de Yougoslavie ont, ici et là, donné du tranchant).
Depuis juin 1999, l'OTAN dirige une opération de soutien de la paix au Kosovo, à l'appui d'initiatives internationales plus larges visant à consolider la paix et la stabilité dans la région. L'OTAN dirige une opération de soutien de la paix au Kosovo – la Force pour le Kosovo (KFOR) – depuis juin 1999.
La Géorgie estime que l'adhésion à l'OTAN est une garantie de stabilité pour la région en agissant comme un contrepoids à la Russie, qu'elle considère comme un voisin dangereux.
L'OTAN conduit des opérations au Kosovo et en Méditerranée. En 2018, l'OTAN a lancé en Iraq une mission de formation visant à développer les capacités des forces de sécurité de ce pays, ses institutions de défense et de sécurité, ainsi que ses académies nationales de défense.
Les forces croates et musulmanes de Bosnie sont désormais alliées contre les forces serbes. Selon Daniel Serwer, le diplomate en charge des négociations avec l'ambassadeur Galbraith, l'Accord de Washington constitue la première partie des accords de Dayton [17] cit., chap.