Sparte décide donc d'entrer en guerre contre l'Empire perse. Darius Ier regroupe une force navale en 490 av. J. -C. , sous le commandement de Datis et Artapherne qui attaquent Naxos la même année, avant de recevoir la soumission des autres îles Cyclades.
ATHÈNES AFFIRME SON ASCENDANCE
consacre la flotte athénienne qui piège les Perses, selon les vers d'Eschyle, « comme des thons dans un filet ». Le coup de grâce a lieu à Platées, au nord d'Athènes, en septembre 479 av. J.
Lorsqu'Alexandre le Grand conquit la Perse en 331 av. J. -C., il mit un terme à l'Empire achéménide, fondé par Cyrus le Grand. Pendant les cinq siècles qui suivirent, le plateau iranien fut placé sous le joug d'autres empires, jusqu'à la montée au pouvoir d'une nouvelle dynastie perse.
En 148, les Achéens attaquent Sparte, qui est vaincue. Rome doit intervenir, exigeant que Sparte et Corinthe soient séparés de l'Achaïe. Furieux, les Achéens reprennent les armes, mais ils sont écrasés par Rome en 146.
En cette 11e nuit après l'éclipse de lune du mois de Boédromion, deux armées se font face sur la plaine de Gaugamèles, à l'est de l'actuelle cité iraquienne de Mossoul. Le roi perse Darius III a déjà essuyé deux défaites en Asie Mineure face à Alexandre, au Granique (en 334 av. J. -C.)
J-C, Alexandre devient le commandant en chef de la coalition gréco-macédonienne. Pour lui donner un but commun, il entreprend l'attaque de l'Empire perse, ennemi principal des Grecs. Il veut continuer l'œuvre de son père qui avait envoyé une armée combattre dans l'Empire perse, armée qui y était en difficulté.
Le royaume ptolémaïque d'Égypte
Le royaume ptolémaïque était un royaume hellénistique basé en Égypte et régi par la dynastie ptolémaïque, à commencer par l'accession au trône de Ptolémée Ier Soter après la mort d'Alexandre le Grand. La dynastie ptolémaïque a survécu jusqu'à la mort de Cléopâtre VII en 30 avant J.
Léonidas Ier (en grec ancien : Λεωνίδας / Leônidas), né vers 540 et mort en 480 av. J. -C., est le roi agiade de Sparte de 489 à 480. Il est resté célèbre pour son opposition héroïque face aux Perses lors de la bataille des Thermopyles, durant laquelle il trouve la mort.
"La Sparte actuelle (en grec moderne Σπάρτη / Spárti) est une petite ville du Péloponnèse, chef-lieu du district régional de Laconie, du dème de Sparte et du district municipal des Spartiates. La ville est située dans la vallée du fleuve Eurotas, entre les montagnes du Taygète à l'ouest et du Parnon à l'est.
2.1.
Au nombre de quelques milliers au moment des guerres médiques, les « égaux » ne sont plus que 700 environ au milieu du ive s. avant J. -C. Ce sont eux les véritables Spartiates, le terme de Lacédémoniens désignant en grec ancien les habitants de l'État spartiate, par opposition aux citoyens de la ville elle-même.
Loin devant les Empires grec et romain, l'Empire mongol fut le plus grand de tous les temps. Cela grâce à son fondateur, Gengis Khan, « empereur universel » considéré comme le plus grand conquérant de l'histoire qui unifia les tribus d'Asie centrale au XIIème siècle.
Capitale de l'Empire perse dans la province de Fars, Persépolis doit sa fondation au roi Darius 1 er, en 521 av. J. -C. Il a créé cette cité à la gloire de l'Empire perse achéménide, civilisation qui peuplait cette région du Moyen-Orient.
L'Iran, autrefois connu sous le nom de Perse, a donné naissance il y a 2500 ans au premier empire à vocation universelle.
Revendiquer l'indépendance de la Perse dominée par les Russes et les Britanniques. Il va aussi moderniser le pays en profondeur. Et pour montrer sa détermination, ce 21 mars 1935, donc, il annonce au monde que son royaume s'appellera dorénavant "Iran". L'État impérial d'Iran est né.
Les 300 Spartiates qui l'accompagnaient constituaient un cadre d'élite que Léonidas avait choisi personnellement. Il voulait que seuls les soldats ayant une descendance l'accompagnent, car il savait qu'ils avaient peu de chances de survivre et voulait être sûr que leur lignée se perpétuerait.
Le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse) est la religion traditionnelle de l'ancienne Perse. Cette religion est l'un des premiers monothéismes et, pour la première fois dans l'Histoire humaine, promet à tous les hommes l'immortalité de l'âme sous réserve du jugement dernier.
En grec et en tsakonien, cette langue est appelée "τσακώνικα" (tsakonika). Il se rapproche du dialecte grec antique de Sparte, et est donc nommé "néo-spartiate" par quelques linguistes. Carte des langues du Péloponnèse datant de 1890. Les régions où le tsakonien est parlé sont en bleu.
Avec des batailles sur le territoire national et à l'étranger, ce conflit long et complexe fut préjudiciable aux deux parties. Sparte, avec l'aide financière de la Perse, finit par remporter le conflit en détruisant la flotte athénienne sur l'Aigos Potamos en 405 av. J.
A l'époque classique, Sparte est, avec Athènes, la cité la plus puissante de Grèce. Les deux rivales s'affrontent lors de la guerre du Péloponnèse (431-404 av. J. -C.), qui voit la victoire de Sparte et la disparition de l'empire athénien.
Au guerrier qui part au combat, les mères ou les femmes de Sparte tendent son bouclier avec ces mots : « Avec lui, ou sur lui ! » (grec ancien : « Ἢ τὰν ἢ ἐπὶ τᾶς » (ḕ tàn ḕ epì tâs), « Reviens (victorieux) avec ton bouclier, ou (mort) sur lui ».
Avant toute chose, il faut rappeler que 300 n'est pas un film historique, et encore moins un documentaire. C'est l'adaptation d'un roman graphique inspiré par la Bataille des Thermopyles.
Éphialtès est présenté comme un Spartiate exilé en raison de sa difformité, qui se venge en trahissant l'armée de Léonidas.
Dans le cimetière latin de Terra Santa à Alexandrie, à l'extérieur du téménos antique, a été découvert en 1906 un tombeau d'albâtre, antichambre souterraine d'une tombe monumentale qu'Achille Adriani, le dernier directeur italien du musée gréco-romain, considère comme étant le tombeau d'Alexandre le Grand.
Philippe II (en grec ancien : Φίλιππος / phílippos), né en 382 av. J. -C. , mort assassiné en 336 , est un roi de Macédoine de la dynastie des Argéades qui règne entre 359 et 336. Il est le père d'Alexandre le Grand.
(Histoire) Surnom d'Alexandre III, roi de Macédoine dans l'Antiquité et grand conquérant. (Sens figuré) Surnom affectueux d'une personne ou d'une chose que l'on veut être de grande taille.