C'est le « chiffre de
Le chiffre 6, le nom d'un dictateur romain
Les superstitions à propos du 666 pourraient signifier QSAR NERON (selon le calcul des lettres grecques désignants les chiffres : 100 + 60 + 200 + 50 + 200 + 6 + 50 = 666), soit le nom de l'empereur romain César Néron (37-68 ap JC.).
Le nombre 666 apparait pour la première fois comme nombre de la bête dans la bible, au niveau du livre de l'apocalypse 13:18. « C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. »
L'hexakosioihexekontahexaphobie (littéralement, « peur du nombre six cent soixante-six ») est une phobie qui tire son origine du verset 13:18 de l'Apocalypse, l'un des livres de la Bible. Ce verset indique que le nombre 666 est le Nombre de la Bête, bête associée à Satan ou à l'Antéchrist.
Le chiffre 666 fait référence au diable dans la religion catholique, mais connaissez-vous son origine historique ?
Astaroth est un démon, grand-duc très puissant et trésorier des Enfers, instigateur de plusieurs possessions. La Bible mentionne Astaroth sous le nom de la déesse Astarté. Il essaie de sortir des limbes mais en est empêché 12 fois.
Le plus célèbre d'entre eux et le plus haut dans la hiérarchie est souvent désigné sous le terme du diable ou de Satan.
La superstition vis-à-vis du nombre 13 trouve ses origines dans la religion chrétienne : il est lié à la Cène, lorsque les douze Apôtres se réunissent autour de Jésus. Judas, le traître, porte le nombre d'apôtres à treize. Dès lors le nombre maudit est associé aux affres de Jésus.
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
144 000 est égal à 360 fois 400 : 360 équivaut, dans la Bible, au nombre de jours d'une « année prophétique » (cf. 1260 jours = trois ans et demi) ; 400 correspond à la valeur gématrique de la lettre Tâw (X), autrement dit au sceau divin imprimé sur le front des 144 000 élus (cf.
Le Catéchisme de l'Église catholique précise la position romaine sur le diable : il fut créé par Dieu en ange du bien, mais à la suite de sa rébellion, fut déchu avec ses compagnons selon la volonté de Dieu.
Six-cent-soixante-six.
En Éthiopie, les archanges sont au nombre de sept. Ce sont : Mikâ'él (Michel), Gabre'él (Gabriel), Rufâ'él (Raphaël), 'Urâ'él (Uriel), Râgu'él (Raguël), Suryâl (ou Saryal) et Fânu'él. Seuls les noms de Michel, Gabriel et Raphaël, sont mentionnés dans la Bible, qui sont les trois Archistratèges de l'Église orthodoxe.
Possédant sept têtes et — tout comme la quatrième bête de Daniel — dix cornes, elle représente un système politique dont le pouvoir, conféré par Satan, s'étend sur tous les hommes qui y adhèrent en recevant la « marque de la bête ».
La tradition l'a parfois identifié avec l'apôtre Jean, fils de Zébédée, auquel on a également attribué le quatrième évangile canonique, ou encore à un certain « Jean le Presbytre », c'est-à-dire « l'Ancien ».
Le nombre « sept » trouve de nombreuses occurrences dans les domaines scientifiques, mathématiques, astronomique, théologique, géographique, sportif ou dans les arts. Le chiffre 7 est parfois considéré comme un « chiffre magique » ou sacré.
Le chiffre 8 et l'amour
En dehors de la numérologie, le chiffre 8 est également associé à différents symboles qui renforcent son lien avec l'amour. Par exemple, la forme du symbole "∞" ressemble à un 8 couché sur son côté et est souvent interprétée comme représentant l'infini de l'amour.
De même, le symbole du cœur, largement reconnu comme représentant l'amour, peut être associé au chiffre 8. Dans une perspective relationnelle, le chiffre 8 peut être interprété comme représentant l'union de deux individus pour former une entité harmonieuse et équilibrée.
Symboles du Chiffre 7
Dans la tradition biblique, le 7 symbolise la perfection divine, comme on peut le voir avec les sept jours de la création. Les cultures orientales ont sept chakras, points d'énergie alignés le long de la colonne vertébrale.
Le vendredi 13 tire son origine funeste de la Bible. En effet, le Christ prend la "cène", c'est-à-dire son dernier repas, entouré de 12 apôtres, ce qui fait que 13 personnes seront attablées. Selon la croyance chrétienne, le treizième convive, Judas, aurait trahi le Christ, qui a ensuite été crucifié un vendredi.
Savez-vous que le jour porte-malheur par excellence en Italie est le vendredi 17... une des explications proposées serait que le 17 en chiffre romain s'écrit XVII, qui est l'anagramme du mot VIXI c'est-à-dire j'ai vécu , ou autrement dit je suis mort que l'on écrivait sur les tombeaux des morts dans la Rome antique.
Cette superstition remonte à la crucifixion du Christ un vendredi, précédé la veille, du repas sacré de la Cène réunissant 13 personnes à table. Jésus était entouré des douze apôtres dont Judas qui l'a trahi. Mais c'est la même Cène qui justifie l'effet porte bonheur du vendredi 13.
Le chef suprême de l'empire infernal:
Satan: Celui qui règne sur la Géhènne après Le Créateur est sans conteste Satan et non Belzébuth qui est plus une intérimaire. La plupart des princes voudraient prendre le trône, donc la place de Satan.
Dans la kabbale, la reine de Saba est considérée comme la reine des démons et est parfois identifiée avec Lilith, une première fois dans le Targoum, puis plus tard dans le Zohar. Certains des mythes juifs et arabes maintiennent que la reine était en fait une Djinn, mi-humaine, mi-démon.