Chez Augustin comme on vient de le voir, c'est l'orgueil qui a détourné Adam et a provoqué le péché originel compris non comme un péché remontant aux origines mais comme un péché touchant la nature originelle de la créature.
Les notions de péchés mortels et véniels puisent leurs origines dans les écrits d'Augustin d'Hippone d'après lequel les premiers peuvent être expiés par une pénitence publique tandis que les seconds le peuvent simplement par le jeûne.
Le terme de péché originel a été créé par saint Augustin, probablement en 397, pour désigner l'état de péché dans lequel se trouve tout homme du fait de son origine à partir d'une race pécheresse ; et, ultérieurement, il a été étendu au péché d'Adam, premier père de l'humanité.
« Le péché est une faute contre la raison, la vérité, la conscience droite; il est un manquement à l'amour véritable, envers Dieu et envers le prochain, à cause d'un attachement pervers à certains biens. Il blesse la nature de l'homme et porte atteinte à la solidarité humaine.
L'Église catholique romaine indique sept péchés capitaux, desquels découlent tous les autres : l'acédie (la paresse), l'orgueil, la gourmandise, la luxure, l'avarice, la colère, et l'envie.
Dans l'histoire du péché, l'orgueil a toujours été considéré comme le péché maître, celui dont découlent tous les autres, et on peut le comprendre dans un contexte religieux... Défiant Dieu, et son autorité, en accordant trop d'importance à sa créature, l'orgueil conduisait à la perte de la foi.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
La liste des sept péchés de la chrétienté comprend l'avarice, l'envie, la paresse, la gourmandise, l'orgueil, la luxure et la colère, les définitions en bleu ci-dessous étant issues de Wikipedia.
Étymologie. (Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Le terme de pêcheur d'hommes est, selon l'Évangile selon Luc, celui qu'utilise Jésus-Christ avant d'être ressuscité, au bord du lac de Génésareth. Il exhorte ainsi ses disciples à « jeter leurs filets » pour convertir les humains à la « Bonne nouvelle ».
Le fruit défendu est d'abord, selon le récit biblique de la Genèse, le fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal planté au milieu du jardin d'Éden, qui donne la connaissance du bien et du mal.
Le péché originel est une doctrine de la théologie chrétienne qui décrit l'état dégradé de l'humanité depuis la Chute, c'est-à-dire la désobéissance d'Adam et Ève, premiers êtres humains créés par Dieu : dans le Livre de la Genèse, ils mangent le fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
Péché de chair : désigne le péché de luxure. Doux péché : désigne un péché qui ne semble pas provoquer de conséquences néfastes immédiates ou futures car il est lié au plaisir et au bien être. Cette expression est une manière de s'excuser, mais surtout de relativiser son acte.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
Ce sont l'orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, la négligence spirituelle), la luxure, l'avarice, la colère et l'envie. Ils sont « capitaux » au sens où ils sont la cause, donc à la tête, d'autres péchés ; ce sont des mobiles pour commettre tous les crimes.
4L'ivrognerie, dit Cernay, « est un excès notable dans la qualité ou quantité du boire, par lequel on se prive ordinairement de l'usage de la raison. » Cette définition comprend déjà la principale conséquence peccamineuse de ce péché : la perte de la raison.
La création du monde est relatée dans deux récits successifs dans les deux premiers chapitres du Livre de la Genèse. Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Les divinités premières qu'il cite sont : Chaos (Béance, Faille), suivi par Gaïa (la Terre), Tartare (les entrailles de la Terre), Éros (le Désir), Nyx (la Nuit) et Érèbe (les Ténèbres), puis par Ouranos (le Ciel et la Vie), Éther (le Ciel supérieur) et Héméra (le Jour).
Un moment important dans l'histoire du blasphème est celui où fut inventé le huitième péché capital, le « péché de langue » (peccatum linguae), au milieu du xiii e siècle.
Car, comme Bouddha semblait le penser : « S'accrocher à la rage, c'est comme attraper un charbon ardent dans l'intention de le jeter sur quelqu'un : c'est vous qui vous brûlez. » Pas étonnant de fait, qu'au-delà de la liste des péchés capitaux, l'on retrouve la colère parmi les « trois poisons » du bouddhisme qu'il ...
La gourmandise dans les 7 péchés capitaux
La gourmandise est un péché car les gourmands sont suspectés de manger trop et sans savourer mais aussi de faire preuve de faiblesse ou de dépendance vis-à-vis de certains aliments. Elle est donc souvent confondue avec la voracité.
Relations sexuelles hors mariage, péché de chair. 2. Familier. Relations sexuelles en général ; coït.
La fornication est un rapport sexuel entre deux personnes qui ne sont ni mariées ni liées par un vœu, et plus généralement la pratique des plaisirs sexuels. Cette pratique est considérée comme un péché de la chair par le christianisme, le judaïsme et l'islam.
En résumé, dans la réalité, l'adultère s'entend donc le plus souvent des rapports sexuels volon- taires impliquant une femme mariée et un autre homme que son mari.