L'Histoire a démontré que l'arrivée des colons britanniques était en grande partie responsable du massacre des Indiens d'Amérique. Mais ces derniers sont également responsables de la déportation de tribus ayant accepté les habitudes européennes et ont même mené à la quasi-disparition d'une espèce animale.
Et ils y sont pratiquement parvenus grâce à trois méthodes : la chasse aux bisons, les épidémies et les massacres. C'est ainsi qu'au cours du XIXe siècle, le nombre d'Indiens sur le territoire actuel des États-Unis a chuté de 600 000 environ à 250 000...
En 1492, Christophe Colomb accoste aux Amériques, après quoi l'exploration et la colonisation avanceront rapidement. À compter de 1492, débute la période de l'échange colombien.
Sur le territoire étudié, le nombre d'Amérindiens a chuté brutalement, mais cette disparition s'est produite dans les années 1620: après près d'un siècle de présence européenne en Amérique.
Comme chez la population non autochtone, les deux principales causes de décès étaient le cancer et les maladies du cœur.
La population amérindienne est passée, États-Unis et Canada confondus, d'un peu moins de 500 000 individus en 1930 à plus de 3 000 000 en 2000. En 2001, on comptait quelque trois cents réserves indiennes aux États-Unis et environ deux mille cinq cents au Canada.
Selon David Maybury-Lewis, il y a des formes impérialiste et coloniale de génocide, menées de deux façons : soit par la volonté de « nettoyer » des territoires de leurs habitants d'origine afin d'en exploiter les ressources et en faire des colonies, soit par l'intermédiaire de l'enrôlement des autochtones en tant que ...
Variole, typhus, rougeole, grippe… Lorsque les colons débarquent, ils apportent avec eux les discrètes mais très meurtrières maladies. Les Amérindiens n'ont aucun anticorps contre elles. C'est ce qu'on appelle le choc microbien.
La date est restée gravée dans toutes nos têtes d'écoliers : le 12 octobre 1492, Christophe Colomb découvre le Nouveau Monde. L'explorateur génois, qui débarque dans l'actuel archipel des Bahamas, croit avoir établi une route par l'Ouest entre l'Europe et le continent asiatique ("les Indes").
Tatanka Yotanka,aussi appelé Sitting Bull (1834-1890)Chef et homme-médecine des Sioux Hunkpapas Tetons,Chef indien le plus célèbre sans doute avec Pontiac et Tecumseh,Sitting Bull joua un rôle prédominant dans la résistance indienne.Il y fut poussé par les violations de contrat incessantes de la part du gouvernement et ...
Les premiers navigateurs européens qui abordèrent les côtes du continent nord-américain furent les Italiens Jean Cabot et Sébastien Cabot (1497). Voyageant au service de Henry VII d'Angleterre, ils découvrirent Terre-Neuve et explorèrent les côtes du Labrador et de la Nouvelle-Angleterre.
Très tôt convaincus que l'Asie allait revenir aux Asiatiques, les Britanniques furent les premiers Européens à se résigner à la décolonisation. L'émancipation de l'Inde avait été vainement demandée depuis la fin du xix e siècle par l'Indian Congress, le parti du Congrès.
Préhistoire. Les premières colonies d'humains modernes en Inde sont estimées à des dates entre 60 et 70 000 ans. Les plus anciennes traces humaines trouvées en Asie du Sud remontent à environ 30 000 ans. Au début de l'Holocène, l'Asie du Sud est un continent de chasseurs-cueilleurs.
Les Indiens d'Amérique sont en fait les premiers habitants du continent américain. Lorsqu'il découvrit l'Amérique, Christophe Colomb les appela « Indiens » car il croyait avoir accosté en Inde !
Les Amérindiens ne sont pas exclusivement d'origine asiatique, montre le séquençage complet du plus vieux génome humain connu à ce jour. Les analyses montrent qu'ils partagent aussi des gènes avec les Européens.
Selon cette théorie, longtemps hégémonique, les premiers Américains sont venus d'Asie, il y a 13 000 ans, via le détroit de Bering alors asséché. Cette thèse est en passe d'être détrônée par la datation longue : les premiers Américains seraient plutôt arrivés dès - 30 000 et peut-être même bien avant.
Aujourd'hui, tout le monde retient la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb. L'Histoire nous a appris que ce dernier a débarqué en octobre 1492, croyant découvrir les Indes. Mais nous devons le mot Amérique à un autre homme : Amerigo Vespucci.
Moines irlandais et baleiniers basques. Le continent américain comptait avant 1492 plusieurs millions d'habitants. Les ancêtres des Amérindiens, véritables découvreurs de l'Amérique, sont venus d'Asie plusieurs dizaines de milliers d'années avant notre ère, à l'époque glaciaire.
En l'an 1021, Leif Erikson navigue depuis le Groenland jusqu'à un point restant encore à découvrir en Amérique du Nord (peut-être sur le site actuel de Bay St-Lawrence, au nord de Cape Breton) qu'il appelle Vinland, ce qui fait de lui le découvreur nord-européen de l'Amérique.
Le terme Amérindiens désigne les premiers occupants du continent américain (avant l'arrivée des Européens). On dit aussi les Indiens d'Amérique ou tout simplement Indiens, mais ce dernier terme est à éviter hors contexte, car les Indiens sont aussi les habitants de l'Inde.
Les autochtones d'Amérique constituent les peuples qui habitaient les Amériques avant la colonisation européenne, ainsi que leur descendance. Les termes Amérindiens, Indiens d'Amérique et Indiens sont toujours utilisés pour les désigner, mais sont controversés au Canada.
Le terme Nord-Amérindiens, ou Indiens d'Amérique du Nord, a été longtemps utilisé pour désigner les autochtones d'Amérique du Nord (hors Mésoamérique) et leurs descendants.
En Amériques Centrale et du Sud, beaucoup d'Indiens furent exploités dans des mines et des plantations, parfois réduits en esclavage quand ils voulaient résister à la déculturation et à l'ethnocide qui étaient des constantes coloniales.
Les Navajos vivent aux États-Unis, principalement au sein de la Nation navajo, située entre le nord-est de l'Arizona, le nord-ouest du Nouveau-Mexique et le sud-est de l'Utah. Ils sont étroitement apparentés aux
La majorité d'entre eux habitent dorénavant les villes : ils ont beau les nommer « prairies de ciment », le maintien de leur culture y passe nécessairement par beaucoup de transformations. Quant à ceux qui continuent à habiter dans des réserves - un million environ - ils connaissant des situations très diverses.