La première apparition du Graal se rencontre chez Chrétien de Troyes vers 1170-1180 : dans Perceval ou le Conte du Graal, une jeune fille porte un graal dans une procession à l'occasion du repas chez le Roi Pêcheur.
Galaad est un personnage de la légende arthurienne. C'est un chevalier de la Table Ronde, qui, selon certaines versions, trouve le Graal. Il est le fils de Lancelot et d'Elaine.
Lui qui a reçu en grâce de choisir le jour de sa mort, il est admis à contempler de ses yeux les suprêmes merveilles du Saint-Graal, le vase même où Jésus consacra le vin à la Cène, et où Joseph avait recueilli son sang versé sur la Croix. Alors Galaad meurt.
Robert de Boron reprend cette tradition dans son poème dans lequel Joseph cache le Graal dans sa maison après l'exécution du Christ et est emprisonné peu après pour sa foi chrétienne. Le Christ apparaît à Joseph en prison, lui donne le Graal qui avait été caché, et lui enseigne les secrets de son utilisation.
Perceval, dans le château du Roi Pêcheur, assiste à des prodiges (la lance qui saigne) et voit passer le cortège qui accompagne le Graal, le vase sacré qui contient l'hostie. S'il avait posé des questions sur ce mystère, il aurait guéri le roi et rendu la prospérité à son royaume.
La première apparition du Graal se rencontre chez Chrétien de Troyes vers 1170-1180 : dans Perceval ou le Conte du Graal, une jeune fille porte un graal dans une procession à l'occasion du repas chez le Roi Pêcheur.
Selon certaines croyances, la Cène aurait eu lieu «dans la maison de Saint Marc, un disciple de Saint Pierre». Aussi, lorsqu'il eut à fuir Jérusalem en raison de l'invasion Romaine en 70 après Jésus-Christ, il aurait alors emporté la coupe avec lui, puis trouvé refuge à Rome.
Le Graal du Nouveau Testament, est donc une femme, et « une femme, nous dit Dan Brown, détentrice d'un secret tellement grave que sa révélation menaçait de détruire les fondements de la chrétienté. »
Commencent alors cinq années de quête du Graal ; Perceval découvre que c'est pour le péché d'avoir fait périr sa mère qu'il n'a pas posé la question apitoyée « du Graal et de qui on en sert ? » qui aurait guéri de son incurable plaie le roi Méhaigné et rendu la fertilité à la Terre gaste (dévastée), son royaume.
Pour cette raison, certaines légendes racontent que quiconque boirait dans ce vase atteindrait l'immortalité. À la recherche du Graal, le chevalier chrétien doit avoir le cœur pur, et donc imiter le Christ. Cette quête devient une parabole qui exprime le don de soi, la quête de justice et de vérité.
Le Saint-Graal a le pouvoir d'offrir aux chevaliers de la Table Ronde le plat de viande que chacun préfère, et devient ainsi une sorte de corne d'abondance. Ailleurs, le Graal est une pierre brillante, une gemme précieuse.
Après eux, le Graal devient un calice ou un ciboire précieux où s'incarne parfois le corps divin. Et toujours le mystérieux talisman apporte tout le bien du monde, aux corps et aux âmes souffrants. Héritiers des héros celtiques, les Chevaliers de la Table Ronde ont pour devoir de partir à la quête du Graal.
Celle-ci comprend seize chevaliers : elle est présidée par Galaad, priant debout les mains jointes sous un dais d'honneur et entouré de Perceval, Arthur, Hélias, Tristan, Keu, Baudemagu, Ydier, Caradoc, Rion, Etor, Lionel, Gauvain, Bohort et Lancelot, dont les noms sont inscrit en lettres d'or au revers de leur siège ...
"La légende du Graal est une invention littéraire du 12ème siècle, sans aucun fondement historique", tranche Carlos de Ayala, professeur d'Histoire médiévale à l'Université autonome de Madrid. "On ne peut pas trouver ce qui n'existe pas", ajoute-t-il.
Le Graal est un objet mythique de la légende Arthurienne. C'est l'objet de la quête menée par les chevaliers de la Table ronde. Cet objet mythique est souvent associé à la coupe dans laquelle Jésus aurait bu lors de son dernier repas et où son sang aurait coulé lors de sa crucifixion.
La forme ronde, symbolisant la fraternité, évite toute préséance entre ceux qui s'asseyent, leur rappelant que les chevaliers n'héritent de leur place que grâce à leur courage.
Perceval est dans la légende arthurienne un des chevaliers de la Table ronde. Dans la littérature galloise, son nom est Peredur. Il est surtout connu pour sa participation à la quête du Saint-Graal.
Liée au cortège du Graal et de la lance qui saigne, l'épée brisée constitue une épreuve pour le héros – Perceval ou Gauvain – qui doit résoudre ces énigmes.
Blanchefleur : Nièce de Gorneman de Gordant. Perceval lui déclare un amour courtois. Clamadeu des îles : Ennemi de Blanchefleur. Gauvain : Il s'agit d'un autre chevalier, c'est le neveu du roi Arthur.
De fait, l'Évangile de Philippe fait référence à Myriam de Magdala (Marie-Madeleine) et la présente comme la compagne de Jésus.
Le Graal de la légende arthurienne a de nombreux points commun avec les récipients merveilleux des légendes celtes. A l'instar d'un chaudron magique, le Graal prodigue de la nourriture en abondance même en temps de famine. Il assure la subsistance à tout le château du Roi Pêcheur.
L'Évangile selon Jean donne le nom du village de Marie et Marthe, Béthanie (Jn 11:1). Marie apparaît lors de deux épisodes : lorsqu'elle oint les pieds de Jésus, et lors de la mort de son frère Lazare de Béthanie que Jésus ressuscite.
Depuis les années 1050, la basilique San Isidoro abrite "le calice qui, depuis les quatrième ou cinquième siècle, est considéré par les communautés chrétiennes de Jérusalem comme celui du dernier repas", déclarait à l'AFP Margarita Torres.
Mort du roi Arthur.
Le Graal : la coupe qui aurait servi lors de la Cène, et dans laquelle aurait été recueilli le sang du Christ sur la Croix. Symbole du salut spirituel au Moyen Âge. La quête du Graal. au figuré Objet d'une quête difficile.