Employée en France depuis le XIXe siècle, cette expression s'inspire d'une locution britannique utilisée deux siècles plus tôt, "l'enfer est plein de bonnes intentions", qui elle se rapporte à une phrase prononcée par Saint-Bernard au XIIe siècle.
L'expression « L'enfer est pavé de bonnes intentions » trouve ses origines dans la littérature chrétienne et les écrits religieux. L'idée derrière cette phrase est que, malgré les meilleures intentions, nos actions peuvent mener à des conséquences inattendues et parfois désastreuses.
Disposition d'esprit par laquelle on se propose délibérément un but ; ce but lui-même : Mon intention première était de le persuader de partir.
On use de la mention « à l'attention de » en tête d'une lettre, pour préciser son destinataire et signaler que le document est soumis à l'examen de celui-ci. La locution « à l'intention de » va plus loin : elle signifie que la démarche est faite en l'honneur de quelqu'un, pour qu'elle lui soit agréable ou profitable.
Contraire : automatique, inconscient, instinctif, involontaire, irréfléchi, machinal.
« L'enfer c'est les autres », écrivait Jean-Paul Sartre. Une campagne récente de la Fondation Abbé Pierre, elle, corrige la citation : « L'enfer c'est soi-même coupé des autres ». Une réplique qui rappelle adressées par Simone de Beauvoir à la conception d'autrui que se fait Sartre.
- William Shakespeare. L'enfer est vide, tous les démons sont ici.
Réussir est subjectif
Pour cela, retirez-vous un peu de votre quotidien, faites le vide et imaginez-vous plus tard. Définir ce qui vous rendrait vraiment heureux et ce dont vous avez besoin, vous permettra de poser des bonnes intentions et donc ne pas vous tromper de chemin.
Les personnes toxiques créent le malaise quand elles arrivent dans une pièce et les autres ont tendance à fuir leur présence. Elles n'ont en général pas confiance en elles, veulent tout contrôler, n'arrivent pas à s'affirmer et sont d'apparence "soumises" aux autres.
Votre note d'intention doit être simple, clair, convaincante et accessible à tout le monde. Il faut donc éviter tous les sigles, les autres acronymes et les mots techniques qui pourraient rendre difficile la compréhension. Utilisez des mots simples, des formulations claires et précises et des phrases courtes.
C'est parce que les autres sont ce qu'il y a de plus important pour nous que ce jugement est lourd à porter. Par le biais d'autrui, nous prenons conscience de notre propre existence. C'est par la médiation de leur regard et du sentiment de honte qui en émerge que nous réalisons les conséquences de nos actes.
C'est saint Augustin qui, au début du v e siècle, formule dans ses grandes lignes la conception quasi définitive de l'enfer chrétien.
L'idée selon laquelle le regard d'autrui doit nous laisser indifférent n'est pas envisageable dans l'optique sartrienne. – Troisième conséquence, « l'enfer c'est les autres » seulement si mes relations avec autrui sont problématiques.
Sartre donne ainsi cette définition de l'existentialisme au début de son texte : « une doctrine qui rend la vie humaine possible et qui, par ailleurs, déclare que toute vérité et toute action impliquent un milieu et une subjectivité humaine » (p. 23). En effet, il s'agit de « partir de la subjectivité » (p.
C'est l'une des citations les plus célèbres de l'histoire de la philosophie occidentale, et sans doute la phrase la plus connue de Jean-Paul Sartre : « L'enfer, c'est les autres. » Sa notoriété, cependant, n'empêche pas les incompréhensions.
Et la façon dont ces deux Simone interprètent leur rôle de philosophe en situation peut difficilement être plus divergente. Cet antagonisme passionne le philosophe Wolfram Eilenberger, au point d'en faire le cœur de son nouveau livre, Les Visionnaires (lire l'encadré p.
Ils peuvent donc demander : “Qu'y avait-il avant Dieu ?” Mais le Dieu éternel n'est pas un effet. Il n'y a jamais eu de temps où il ne fut pas. L'existence de Dieu ne dérive de rien d'autre que de lui-même, et elle ne dépend de rien d'autre que de lui-même.
Dans le Traité Erubin, il est dit qu'il existe trois ouvertures vers l'enfer : une dans le désert et une dans la mer et une à Jérusalem (à la vallée de Hinnom).
Mais où se trouve l'enfer ? Dans les mythologies païennes comme dans la tradition populaire médiévale, l'enfer se trouve sous la terre. L'entrée de l'enfer est majoritairement située dans les régions volcaniques de la Sicile ou du sud de l'Italie.
Penser l'enfer, c'est donc le définir en tant que lieu effectivement existant : sans quoi, il perd toute consistance propre, se réduisant à n'être qu'une (insipide) contre-utopie. L'enfer n'est plus alors qu'un monde chimérique qui n'a pas d'autre valeur et réalité que fantasmatique.
Il existe quantité de gens qui sont en enfer parce qu'ils dépendent du jugement d'autrui ». Si on résume et simplifie, l'enfer c'est les autres parce qu'ils sont des miroirs déformants de nous-mêmes. Déformants car nous avons de mauvais rapports entre nous. Dans la pièce, Estelle vit comme un drame l'absence de miroir.
Sartre écrit : « Ma chute originelle c'est l'existence de l'autre ». En effet, si autrui me prends ma liberté, alors, pour Sartre, toute relation à autrui est fondamentalement conflictuelle, tendue, et potentiellement violente : ou bien je suis sujet voyant, ou bien je suis objet vu.
C'est le temps de prière durant lequel tous les fidèles unissent leurs prières autour de différentes intentions générales. Il peut par exemple s'agir d'intentions de prière pour les enfants, les jeunes, l'Église, le monde, les malades, les familles, les personnalités politiques et bien d'autres encore.
par Robert Dilts
Ce principe stipule qu'à un certain niveau tout comportement détient ou a détenu une intention positive. En d'autres termes, tout comportement sert ou a déjà servi un but positif. Par exemple, l'intention positive qui se trouve derrière un comportement « agressif », est souvent la « protection ».