Pierre de Coubertin a dit qu'aux JO, "l'important c'est de participer": pourquoi c'est faux. Cette phrase au firmament du fair-play, mais en réalité bien peu sportive n'a jamais été prononcée par le père des Jeux olympiques modernes. Et elle résume bien mal l'état d'esprit de son soi-disant auteur.
Attribuée à Pierre de Coubertin, rénovateur des Jeux Olympiques, la phrase n'existe pas en ces termes. Un évêque anglican en a posé les bases lors d'un sermon durant les Jeux de Londres, en 1908. Le baron était dans l'assistance. À la cathédrale Saint-Paul de Londres, ce dimanche 19 juillet 1908, il y a foule.
Pierre de Coubertin
La première phrase est souvent la plus importante.
C'est comme la devise olympique : "plus vite, plus haut, plus fort", qu'il a récupérée au collège Albert le Grand d'Arcueil. En fait c'est un peu l'histoire de sa vie, à Coubertin : il emprunte à droite à gauche. Pendant un voyage d'étude en Angleterre, il tombe fou amoureux du rugby.
L'essentiel, ce n'est pas d'avoir vaincu, mais de s'être bien battu. Pierre de Coubertin se serait inspiré du sermon de l'évêque de Pennsylvanie, Ethelbert Talbot, prononcé le 19 juillet 1908, au cours des Jeux de la IVème Olympiade à Londres.
L'essentiel n'est pas d'avoir vaincu, mais de s'être bien battu.” “Le succès n'est pas un but mais un moyen de viser plus haut.” “Voir loin, parler franc, agir ferme.” “Le sport va chercher la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre.”
Déjà, les Jeux flattaient l'orgueil des villes dont les ressortissants étaient sacrés champions. La version moderne des Jeux conserve un idéal de promotion de la paix entre les peuples. Il s'y ajoute la promotion de l'activité sportive, de l'égalité entre les êtres humains et du dépassement de soi.
Pierre de Coubertin (1863-1937), éducateur français, rénovateur des jeux Olympiques.
Excellence, Amitié, Respect! Qu'est-ce que l'Olympisme ? « L'Olympisme est une philosophie de vie, combinant en un ensemble équilibré les qualités du corps, de la volonté et de l'esprit.
« Citius, Altius, Fortius », 3 mots latins qui signifient « plus vite, plus haut, plus fort ». L'auteur, c'est Henri Didon, un religieux catholique qui travaillait dans une école.
Pierre de Coubertin (né Charles Pierre Fredy de Coubertin), baron de Coubertin, né le 1er janvier 1863 à Paris et mort le 2 septembre 1937 à Genève en Suisse, est un historien et pédagogue français fortement influencé par la culture anglo-saxonne qui a particulièrement milité pour l'introduction du sport dans les ...
Celle-ci fait partie des symboles olympiques. Elle remplace et complète la devise originelle « Citius, Altius, Fortius », crée par le père Henri Didon et proposée par le baron Pierre de Coubertin à la création du comité international olympique en 1894 à la Sorbonne.
Après avoir été en démonstration, le football fait son apparition officielle. Le Hockey sur gazon et le patinage artistique sont les deux disciplines nouvelles de ces Jeux de Londres. Après leur absence en 1904, le polo, le rugby, le tir et la voile composent à nouveau le programme olympique.
L'esprit olympique est lié aux valeurs et aux idéaux de l'Olympisme. La dimension spirituelle des Jeux avait été soulignée à l'origine par le baron Pierre de Coubertin et sur cette dimension se sont fondées les valeurs olympiques qui constituent la pierre angulaire de l'éducation olympique et sportive.
Elle comprend le respect de soi et de son corps, le respect des autres, des règles et de l'environnement.
La flamme Olympique est la flamme qui est allumée à Olympie sous l'autorité du CIO. Dans le contexte des Jeux modernes, la flamme Olympique est une manifestation des valeurs positives que l'homme a toujours associées à la symbolique du feu et fait ainsi le lien entre les Jeux anciens et les Jeux modernes.
Les trois valeurs de l'Olympisme sont l'excellence, l'amitié et le respect. Elles constituent la base sur laquelle le Mouvement olympique fonde ses activités de promotion du sport, de la culture et de l'éducation en vue d'un monde meilleur.
Étymologie. Du latin Olympicus (« d'Olympie »).
L'honneur de la première institution des jeux Olympiques appartient donc à Héraclès Idaeen, et ce fut lui qui leur donna ce nom ; il ordonna qu'on les célébrât tous les cinq ans, parce qu'ils étaient cinq frères. »
De 1912 à 1948, les compétitions artistiques font partie des Jeux Olympiques modernes, à l'initiative de Pierre de Coubertin.
Les villes candidates pour accueillir les Jeux olympiques sont sélectionnées et départagées par le Comité international olympique (CIO). La sélection de la ville candidate a lieu lors d'un congrès du CIO, en général sept années à l'avance.
l'obtention des Jeux olympiques par une ville induit des aménagements : infrastructures d'accueil des athlètes, des épreuves et du public, moyens de transport… L'impact urbanistique sur les villes ne peut donc être oublié : l'exemple de Beijing en 2008 est probant à cet égard.
Le Mouvement olympique a pour but de contribuer à bâtir un monde pacifique et meilleur en éduquant la jeunesse par le moyen du sport pratiqué sans discrimination d'aucune sorte et dans l'esprit olympique qui exige la compréhension mutuelle, l'esprit d'amitié, la solidarité et le fair-play.