Le mot « bible » vient du grec ancien biblos ou biblion correspondant à l'hébreu sépher — « livre » — qui a donné τὰ βιϐλία (ta biblia), un substantif au pluriel qui signifie « les livres », soulignant son caractère multiple, qui est traité par les auteurs médiévaux en latin comme un féminin singulier, biblia, avec ...
Du latin biblia (« livres ») issu du grec ancien βιβλίον , biblion (« livre »).
En amont du christianisme, le judaïsme développa certains attributs de YHWH comme Père du fait de sa création, de l'éducation que donne Dieu et de sa paternité envers le peuple d'Israël.
Le « Codex Sinaiticus », rédigé en grec au milieu du IVe siècle sur un parchemin en peau de bœuf par les moines du monastère Sainte-Catherine, sur le mont Sinaï, est considéré comme la plus ancienne bible connue.
Jésus vient du grec ancien Ἰησοῦς , Iēsoûs, lui-même issu du prénom hébreu ancien ישוע , Iéshua (et a la même racine que Josué). Ce mot signifie « Dieu sauve » ou « Dieu délivre ». Christ vient du grec ancien χριστός , khristós, lui-même traduit de l'hébreu ancien משיח , maschiah (« messie »).
Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH. Ce nom est aussi attesté, sous une forme incomplète (Yah), dans un grand nombre d'anthroponymes.
Jésus-Christ Emmanuel, ou Le Sauveur-Emmanuel ou encore Emmanuel (hébreu : עמנואל — Immanuël, « Dieu [est] avec nous ») (en russe : Спас Эммануил) est un type d'icône représentant Jésus-Christ adolescent.
Evénement éditorial dans le monde du protestantisme: la nouvelle version révisée de la Bible du pasteur genevois Louis Segond, qui est aux protestants francophones ce que la Bible de Jérusalem est aux catholiques d'expression française, vient d'être publiée.
Les textes ont été écrits depuis le règne du roi David (1010-970 avant J-C) jusqu'à la fin du 1er siècle après J-C. On ne possède pas les manuscrits originaux des livres bibliques.
La majorité d'entre eux s'accordent toutefois pour situer son écriture entre les VIII e et II e siècle av. J. -C. , et celle du Nouveau Testament entre le milieu du I er et le début du II e siècle. Le plus ancien objet sur lequel on retrouve un texte biblique est l'amulette de Ketef Hinnom, datée vers 600 av.
Dans un texte des apocryphes, les apôtres rapportent le récit que Jésus leur a fait de la vie et de la mort de son père Joseph.
Le mot « dieu » vient du latin deus, lui-même issu de la racine indo-européenne dei- « briller » qui, élargie en deiwo- et en dyew-, sert à désigner le ciel lumineux en tant que divinité ainsi que les êtres célestes par opposition aux êtres terrestres, les hommes.
Histoire. Le plus vieux texte religieux connu est l'hymne au temple de Kesh (en), tablette d'argile sumérienne qui date de 2600 av. J.C. Le Rig-Véda, collection d'hymnes de l'Inde antique composés en sanskrit védique entre 1500 et 900 av.
On appelle Bible dans l'usage chrétien un recueil d'ouvrages considérés comme inspirés par Dieu et formant deux collections : l'Ancien et le Nouveau Testament. La plus ancienne des deux est l'Ancien Testament, essentiellement recueil des livres sacrés des juifs.
Ensemble des textes sacrés pour les religions juive et chrétienne. (En ce sens, prend une majuscule.) 2. Livre qui contient ces textes.
La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
À partir de 1520, la Réforme protestante établit un littéralisme biblique qui envahit la science, si bien qu'un certain consensus se dégage sur un âge de la Terre autour de 6 000 ans. En 1596, Johannes Kepler place la Création de la Terre lors du solstice d'été de 3993 av. J. -C.
Psaume 119 (118)
La Septante diffère de la Bible hébraïque non seulement par la langue utilisée, mais aussi par le fait qu'elle incorpore des livres supplémentaires, dits « deutérocanoniques », et que le texte des livres « canoniques » diverge parfois.
La principale divergence entre catholiques et protestants tient à la lecture de la Bible. Conformément à ce que suggérait Luther, seule l'Écriture compte. Pour aller au plus près du texte, les protestants ont donc décidé de le traduire dans leur langue parlée, et non plus en latin.
Si de nombreuses incertitudes entourent le Jésus « historique », les textes les plus anciens indiquent qu'il avait des frères et des sœurs. Le Nouveau Testament en dénombre six au minimum : Jacques, Joset, Jude et Simon ; les sœurs, si elles sont mentionnées, ne sont jamais nommées.
Jésus est décrit dans les Évangiles comme ayant des « frères » (Mt 12, 46; Mc 3, 31; Lc 8, 19), Jacques, Joset (ou José ou Joseph suivant les manuscrits), Jude et Simon (ou Siméon), ainsi que des sœurs.
On retrouve l'équivalent d'Eloah en Arabe (Ilah, singulier - « un dieu », opposé à Allah - « le Dieu ») et en Araméen (Elaha).