Ces ouvrages inculpent sans ambiguïté Charles de Montholon de l'assassinat de Napoléon par empoisonnement chronique selon la méthode de la Brinvilliers. Les auteurs avancent comme mobile du crime l'hypothèse que Montholon était un agent royaliste et que le meurtre aurait été commandité par le comte d'Artois.
Il réussit à nouer des liens forts avec la coterie qui l'avait accompagné lors de son exil. Bien que certaines rumeurs parlent d'un assassinat, la plupart des historiens s'accordent à dire que la mort de Napoléon, survenue en 1821 alors qu'il avait 51 ans, est due à un cancer de l'estomac.
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie.
Devenu empereur, Napoléon bat l'Autriche et la Russie lors de la Troisième Coalition (batailles d'Ulm et d'Austerlitz), la Prusse et la Russie lors de la Quatrième Coalition (Iéna, Eylau, Friedland), puis l'Autriche seule lors de la Cinquième Coalition (Eckmühl, Wagram).
Le coupable serait le général Charles de Montholon, un proche de l'Empereur. Il aurait empoisonné petit à petit Napoléon en versant quelques gouttes de poison dans le vin que consommait le général à Sainte-Hélène.
Le 5 mai, à 4 h du matin, il prononce avec peine ses derniers mots : « À la tête de l'armée. » À moins que ce ne soit : « France… mon fils… armée… » On l'entend à peine avant qu'il ne plonge dans le coma.
Il devient alors l'un des opposants les plus célèbres à Napoléon III. Victor Hugo met en effet sa plume au service de son engagement politique contre l'empereur. Il proclame les grands principes de libertés et de justice et refuse même de rentrer en France lors de l'amnistie des proscrits en 1859.
Napoléon disait qu'il avait quatre ennemis : la Prusse, la Russie, l'Angleterre et... Madame de Staël.
Le 18 juin 1815, Napoléon Bonaparte perd une bataille décisive dans une petite commune belge, nommée Waterloo.
Pozzo di Borgo, l'ennemi juré de Napoléon.
Des précipitations intenses ont contribué à la déroute de l'armée napoléonienne à Waterloo, en 1815. Des pluies pas tout à fait dues au hasard, selon l'étude que vient de publier un chercheur britannique.
Au total, 19 bicornes napoléoniens ont été recensés à travers le monde sur les 120 portés au cours des quinze années de règne, dont la plupart demeure dans des musées. Celui-ci avait été acheté en 1814 par un politicien écossais dénommé Sir Michael Shaw-Stewart.
Après son retour de l'île d'Elbe, Napoléon affronte une coalition anglo-prussienne entre les villages de Waterloo et Mont-Saint-Jean, en Belgique. Face aux troupes du duc de Wellington et du maréchal Blücher, son armée s'incline. Le 18 juin 1815 signe ainsi la fin de l'épopée napoléonienne.
Après la défaite de Napoléon et le congrès de Vienne en 1815, la monarchie est réinstaurée en France. Louis XVIII (1815 - 1824) est proclamé "roi de France".
Puis il arrive au port de Plymouth où il apprend le 31 juillet qu'il sera finalement exilé à Sainte-Hélène, une petite île sous domination anglaise en plein coeur de l'océan Atlantique.
Napoléon Bonaparte décède à 5h49 le soir du 5 mai 1821 à Longwood sur l'île de Sainte-Hélène. Dans quelles circonstances meurt-il ? Par qui est-il entouré au moment de son décès ? Comment, après sa mort, naît la légende napoléonienne et par qui est-elle véhiculée ?
Chef-d'œuvre de stratégie militaire, la bataille d'Austerlitz, dite aussi « des Trois empereurs » (Napoléon, Alexandre Ier de Russie et François II d'Autriche), demeure la plus célèbre des victoires napoléoniennes.
Bataille gagnée par Napoléon sur les Autrichiens de l'archiduc Charles. Après Essling (20 mai 1809), Napoléon a fortifié l'île Lobau, y concentrant 187 000 hommes et 488 canons, en attendant l'arrivée du prince Eugène avec l'armée d'Italie.
La création de la Banque de France (1800) ; la vente de la Louisiane aux États-Unis (1803) ; la création du premier conseil de prud'hommes à Lyon (1806) ; la future Bourse de Paris (1807) ; le Code pénal (1810) ; la création des 22 Chambre de commerce (1822).
Marengo était devenu le cheval préféré de Napoléon qui l'avait monté dans plusieurs batailles jusqu'à Waterloo en 1815, où il a été capturé par les troupes de Wellington.
Son titre : Napoléon Le Petit, un pamphlet en forme de cri d'indignation pour désigner le neveu du « premier » Napoléon ; ce « traître » celui en qui Hugo avait pourtant placé sa confiance pour les élections présidentielles de 1848.
Hugo voit en lui «l'enfant du hasard […] dont le nom est un vol, et la naissance un faux.» Il brosse, dans Napoléon le Petit, un portrait cruel : «Louis Bonaparte est un homme de moyenne taille, froid, pâle, lent, qui a l'air de n'être pas tout à fait réveillé.
Le drame commence le 16 avril 1846, quand le garde-forestier en chef du domaine de Fontainebleau, Pierre Lecomte, tire deux cartouches en direction du roi Louis-Philippe. C'est qu'il est en pétard, le bougre : le roi n'a pas répondu à son courrier dans lequel il se plaint de ne pas avoir droit à une retraite.
Nom : Napoleone Buonaparte. Dates : 1769-1821. Qualités : Général, premier consul (1799-1804), empereur des Français (1804-1815). Surnom : Le petit caporal.